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L'HOMME D'AFFAIRES ET SON ARGENT

Matthieu Chapitre 19:
 16       Et voici, un homme s`approcha, et dit à Jésus: Maître, que dois-je faire de bon pour avoir la vie éternelle?
17        Il lui répondit: Pourquoi m`interroges-tu sur ce qui est bon? Un seul est le bon. Si tu veux entrer dans la vie, observe les commandements. Lesquels? lui dit-il.
18        Et Jésus répondit: Tu ne tueras point; tu ne commettras point d`adultère; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; honore ton père et ta mère;
19        et: tu aimeras ton prochain comme toi-même.
20        Le jeune homme lui dit: J`ai observé toutes ces choses; que me manque-t-il encore?
21        Jésus lui dit: Si tu veux être parfait, va, vends ce que tu possèdes, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi.
22        Après avoir entendu ces paroles, le jeune homme s`en alla tout triste; car il avait de grands biens.
 23       Jésus dit à ses disciples: Je vous le dis en vérité, un riche entrera difficilement dans le royaume des cieux.
24        Je vous le dis encore, il est plus facile à un chameau de passer par le trou d`une aiguille qu`à un riche d`entrer dans le royaume de Dieu.
25        Les disciples, ayant entendu cela, furent très étonnés, et dirent: Qui peut donc être sauvé?
 
Marc Chapitre 12:
 41       Jésus, s`étant assis vis-à-vis du tronc, regardait comment la foule y mettait de l`argent. Plusieurs riches mettaient beaucoup.
42        Il vint aussi une pauvre veuve, elle y mit deux petites pièces, faisant un quart de sou.
43        Alors Jésus, ayant appelé ses disciples, leur dit: Je vous le dis en vérité, cette pauvre veuve a donné plus qu`aucun de ceux qui ont mis dans le tronc;
44        car tous ont mis de leur superflu, mais elle a mis de son nécessaire, tout ce qu`elle possédait, tout ce qu`elle avait pour vivre.
 
Matthieu Chapitre 27:
 57       Le soir étant venu, arriva un homme riche d`Arimathée, nommé Joseph, lequel était aussi disciple de Jésus.
58        Il se rendit vers Pilate, et demanda le corps de Jésus. Et Pilate ordonna de le remettre.
59        Joseph prit le corps, l`enveloppa d`un linceul blanc,
60        et le déposa dans un sépulcre neuf, qu`il s`était fait tailler dans le roc. Puis il roula une grande pierre à l`entrée du sépulcre, et il s`en alla.
 
Marc Chapitre 15:
 43       arriva Joseph d`Arimathée, conseiller de distinction, qui lui-même attendait aussi le royaume de Dieu. Il osa se rendre vers Pilate, pour demander le corps de Jésus.
44        Pilate s`étonna qu`il fût mort si tôt; fit venir le centenier et lui demanda s`il était mort depuis longtemps.
45        S`en étant assuré par le centenier, il donna le corps à Joseph.
46        Et Joseph, ayant acheté un linceul, descendit Jésus de la croix, l`enveloppa du linceul, et le déposa dans un sépulcre taillé dans le roc. Puis il roula une pierre à l`entrée du sépulcre.
 
Jean Chapitre 19:
38        Après cela, Joseph d`Arimathée, qui était disciple de Jésus, mais en secret par crainte des Juifs, demanda à Pilate la permission de prendre le corps de Jésus. Et Pilate le permit. Il vint donc, et prit le corps de Jésus.
39        Nicodème, qui auparavant était allé de nuit vers Jésus, vint aussi, apportant un mélange d`environ cent livres de myrrhe et d`aloès.
40        Ils prirent donc le corps de Jésus, et l`enveloppèrent de bandes, avec les aromates, comme c`est la coutume d`ensevelir chez les Juifs.
41        Or, il y avait un jardin dans le lieu où Jésus avait été crucifié, et dans le jardin un sépulcre neuf, où personne encore n`avait été mis.
 
1 Timothée Chapitre 6:
 7         car nous n`avons rien apporté dans le monde, et il est évident que nous n`en pouvons rien emporter;
 
8          si donc nous avons la nourriture et le vêtement, cela nous suffira.
9          Mais ceux qui veulent s`enrichir tombent dans la tentation, dans le piège, et dans beaucoup de désirs insensés et pernicieux qui plongent les hommes dans la ruine et la perdition.
10        Car l`amour de l`argent est une racine de tous les maux; et quelques-uns, en étant possédés, se sont égarés loin de la foi, et se sont jetés eux-mêmes dans bien des tourments.
11        Pour toi, homme de Dieu, fuis ces choses, et recherche la justice, la piété, la foi, la charité, la patience, la douceur.
17        Recommande aux riches du présent siècle de ne pas être orgueilleux, et de ne pas mettre leur espérance dans des richesses incertaines, mais de la mettre en Dieu, qui nous donne avec abondance toutes choses pour que nous en jouissions.
 18       Recommande-leur de faire du bien, d`être riches en bonnes oeuvres, d`avoir de la libéralité, de la générosité,
19        et de s`amasser ainsi pour l`avenir un trésor placé sur un fondement solide, afin de saisir la vie véritable.
 
 
LES INVESTISSEMENTS, - B24.11.1962 SHREVEPORT, LA, USA
6 Si... D’habitude, beaucoup de gens aiment noter les passages de l’Écriture que les prédicateurs lisent. J’aimerais attirer votre attention sur l’Évangile de saint Marc, au chapitre 10, à partir du verset 17, pour la lecture, afin d’en tirer un contexte.
 Comme Jésus se mettait en chemin, un homme accourut auprès de lui, et, se jetant à genoux devant Lui:
 Bon maître, lui demanda-t-il, que dois-je... pour hériter la vie éternelle.
 Jésus lui dit: Pourquoi m’appelles-tu bon? Il n’y a de bon que Dieu seul.
 Tu connais les commandements: Tu ne commettras point d’adultère; tu ne tueras point; tu ne déroberas point; tu ne diras point de faux témoignage; tu ne feras tort à personne; hon-... et... honore ton père et ta mère.
 Il lui répondit: Maître, j’ai observé toutes ces choses dès ma jeunesse.
 Jésus, l’ayant regardé, l’aima et lui dit: Il te manque une chose; va, vends tout ce que tu as, donne-le aux pauvres, et tu auras un trésor dans le ciel. Puis viens, et suis-moi.
 Mais affligé de cette parole, cet homme s’en alla tout triste; car il avait de grands biens.
           Je voudrais tirer de ceci un – un texte, dont le sujet est: «Les Investissements». Et je me suis dit que ce serait approprié de parler quelques minutes des investissements aux hommes d’affaires de cette ville, car tout homme d’affaires, si c’est un bon homme d’affaires, s’intéresse toujours aux bons investissements. Il semble que c’est quelque chose qu’ils aiment bien faire, faire de – de bons investissements, des investissements sûrs, parce que ces derniers sont toujours rentables.
9         Un homme qui a de l’argent désire bien sûr le placer dans un investissement rentable. Un homme qui possède un montant, disons de l’ordre, de dix mille dollars voudra l’investir. Vous ne le gardez pas en poche, car vous savez que les voleurs vous le déroberont. Donc vous ne voulez pas faire cela.
Vous voudrez donc, si vous êtes un homme d’affaires vraiment compétent, vous voudrez le placer dans quelque chose qui – qui rapportera des bénéfices. Vous voudrez le placer dans quelque chose qui rapporte un intérêt. Vous connaissez les talents dont il est parlé dans la Bible. Vous devez donc l’utiliser de façon à en tirer des bénéfices – une affaire vraiment rentable.
10       Et alors, ce faisant, vous ne voulez pas le placer dans quelque chose d’incertain. Personne ne voudrait faire cela. Un homme d’affaires bien avisé ne penserait pas à une telle chose. Vous, hommes, ne feriez pas cela, le placer dans quelque chose qui – une de ces histoires qu’on a ici: «Devenez riche du jour au lendemain», et on ne sait pas d’où ça vient. Vous feriez mieux de prendre garde à cela. Vous perdrez tout ce que vous avez, car il s’agit d’un jeu d’argent. Et jouer à l’argent n’est pas une affaire vraiment sûre. C’est un... C’est risqué. Et vous ne cherchez pas à courir ce genre de risques.
Vous chercherez plutôt à le placer dans quelque chose, dans une entreprise vraiment sûre et qui rapporte d’importantes dividendes, dans quelque chose de stable, de fiable, dans quelque chose que vous savez être rentable, et dont la rentabilité a été prouvée.
Lorsque vous avez une affaire comme cela pour y investir, eh bien, alors vous avez l’assurance d’être – de gagner quelque chose. Quand vous y placez votre argent, vous pouvez être assuré. Mais si l’affaire n’est pas très sûre, eh bien, vous ne voudriez pas l’essayer. Un projet vraiment fiable, quelque chose qui rapporterait beaucoup...
63       La Bible n’a-t-elle pas dit: «Tu es riche et tu t’es enrichi (à cet âge-ci), mais tu ne sais pas que tu es nu, misérable, pauvre, malheureux, aveugle, et tu ne le sais même pas»? Quelle condition déplorable! Hommes, frères, ne faites pas d’investissement dans une telle affaire. Cela doit périr. Pourquoi ne pas faire un investissement dans quelque chose qui est prouvé dans toute la Bible? Et vous savez, avec les – les textes que j’ai notés ici, nous pourrions rester ici ce soir, toujours sur ces textes à montrer par cette Bible ceux qui ont fait cela et ceux qui ont rejeté cela.
Je vous montre un véritable investissement à faire. Placez votre vie, votre temps, votre argent, votre talent, placez tout ce que vous avez en Christ. Dieu nous a garanti cela en Le ressuscitant. Nous ressusciterons dans les derniers jours. Il l’a promis. A quoi d’autre vous attendriez-vous? Dites-moi un investissement que vous pourriez faire et qui rapporterait autant que cela?
Dites-moi dans quoi vous pourriez investir ce matin et gagner dix millions de dollars, mais pour être un cadavre demain? Quel bien cela vous fera-t-il? A quoi servirait-il à un homme de gagner le monde entier mais de perdre son âme? A quoi bon être populaire, être appelé ceci, cela, diacre, docteur membre du conseil presbytéral, évêque, ancien, pape, ou peu importe le titre qu’on puisse vous donner? Ce sont des éloges des hommes.
Je préfère être traité d’exalté par les gens, et être un fils de Dieu dans mon cœur, étant né de nouveau, et ayant Esprit de Dieu en moi, et Lui prouvant cela en confirmant Sa Parole et en me faisant vivre. «Je ne vis plus comme autrefois», a dit Paul. Et pourtant c’était un enseignant et un érudit. Mais sa vie changea quand il rencontra Christ, et il fit son investissement en Christ. Il devint dès lors un autre homme.
64       Oh, il s’enrichit! Certainement, cet homme s’était enrichi. Vous savez quoi? Si vous remarquez ici, Jésus lui a parlé, disant: «Va, vends tout ce que tu as, et donne-le aux pauvres. Et viens, suis-Moi. Prends ta croix et suis-Moi, et tu auras des richesses dans le Ciel.» Voyez-vous? Quel investissement à faire! Mais il a choisi de ne pas le faire.
Eh bien, de même l’âge de l’église de Laodicée a choisi la même chose: ne pas le faire. Et souvenez-vous, quand il devint extrêmement riche (comme l’est devenue l’église aujourd’hui), le pauvre se couchait à sa porte, et n’obtenait que les miettes qu’on balayait et qui étaient jetées aux chiens: Lazare, le pauvre en esprit!
Jésus a dit dans Matthieu 5: «Heureux les pauvres en esprit, car le Royaume des cieux est à eux.» Nous ne voulons pas occuper cette position, cette position difficile, cette position de pauvre en esprit. Nous ne voulons pas de cela. Nous voulons que quelqu’un nous fasse des éloges, que l’on soit quelqu’un d’important.
Comme l’a dit un frère il y a un moment, c’était bien conclu, lorsqu’il a dit: «Comment pouvez-vous avoir la foi, du moment que vous faites acception les uns des autres ou désirez les – les éloges les uns des autres?» Ne faites pas cas de ce que dit quelqu’un. Cherchez les éloges de Dieu, que Dieu vous estime. Il ne vous estimera que si vous gardez Sa Parole. Très bien.
65       Bon. Et nous voyons que cet homme pauvre en esprit, était couché à sa porte et se précipitait pour avoir les miettes. Oh, peut-être que si ç’avait été l’Armée du Salut, il leur aurait donné une pièce de dix cents en passant, ou quelque chose comme ça, pour faire bonne figure. Mais j’imagine qu’Il avait énormément investir dans sa propre église, dans son organisation qui le tenait pour quelqu’un de très important.
Mais, en fin de compte, la récompense vint. Elle finit par venir: on tint un grand service funèbre pour lui. J’imagine qu’un vieux licencié s’est amené, vêtu d’une large robe et a dit: «Notre cher frère est maintenant au ciel. Oh, il a fait ceci et cela. Il est membre de notre congrégation. Il est maintenant au ciel. Oh, combien nous sommes reconnaissants pour notre cher frère.» Combien c’était contraire à la Parole de Dieu.
Sa récompense, dit Jésus, c’était qu’il se retrouva en enfer. Il avait fait un mauvais investissement. Et alors qu’il était en enfer, il leva les yeux et vit le pauvre en esprit qui avait fait son investissement et qui en jouissait dans le sein d’Abraham. Et il devint alors un mendiant.
Écoutez. Il était un soi-disant croyant. «Père Abraham, envoie ce mendiant ici.» Cela s’était retourné. Il avait investi là où il ne fallait pas, dans les biens du monde et les éloges des hommes.
Mais ce mendiant qui était couché là affamé, s’était retrouvé dans le sein d’Abraham. «Envoie Lazare. Il se trouve là où il peut avoir de l’eau quand il veut. Il peut apprécier là les bénédictions de Dieu. Envoie-le avec une petite goutte d’eau sur ses doigts afin qu’il puisse toucher mes lèvres desséchées, car ce feu me tourmente.» Voilà la récompense. Pourquoi? Le refus de faire un bon investissement.
Vous les hommes, ne faites pas cela. Vous les hommes d’affaires, ne faites pas cela. Je – j’ai plus confiance en vous qu’en cela. Si vous êtes un homme d’affaires, vendez toutes les perles que vous avez et achetez Celle de grand prix. Faites votre investissement en Christ, dans Sa Vie qui est en vous.
 68      Seigneur, nous nous tenons solennellement sur le seuil, là où une décision doit être prise, ce glorieux moment de – de jubilé que nous célébrons, ici au Life Tabernacle, à l’occasion de Ton invitation à Ton peuple il y a 50 ans. Et nous avons tout terminé, au mieux de notre – de ma connaissance; et ça dépend de Dieu Qui connaît le cœur de l’homme, de révéler cela comme il faut; que les hommes puissent comprendre et revenir, et la seule façon de le faire, c’est de venir à la vérité de la Parole. Je Te prie, Père céleste, qu’aucun de nous ne soit assez insensé pour refuser un tel investissement.
Puissions-nous investir notre temps, notre talent, et tout ce que nous avons pour la gloire de Dieu, sachant ceci, que peu importe que le – que nous gagnions le monde entier, si nous perdons nos âmes, à quoi cela nous servira-t-il? A quoi sert la gloire d’un homme, alors que le feu atomique va brûler la terre? Quel bien cela fera-t-il aujourd’hui? Peut-être quand nos tombes seront recouvertes de sable, quand les vents mugissant... quand cette terre sera balayée là sous le soleil, et déplacée comme ce fut le cas avant la destruction du monde antédiluvien; rejeter... au lieu d’être jeté loin du soleil, il sera jeté dans le soleil. Il n’y aura plus d’eau, mais le feu cette fois... Le sable mugira sur la terre avant le grand millénium, et nos tombes deviendront visibles: «Dr Untel, frère Untel ou Évêque Untel.» Quel bien cela nous fera-t-il si nos âmes sont quelque part là dans l’éternité?
 
ECOUTEZ-LE - 13.03.1960 PHOENIX, AZ, USA
 7         Ce sont des gens vraiment gentils qui viennent aux réunions. Ces hommes, beaucoup d'entre eux, ont fermé leurs églises pendant ces réunions. Nous vous en remercions. Les hommes d'affaires chrétiens, un congrès, a été organisé pendant ce séjour-ci. J'aime ça. Je suis content que cela soit arrivé pendant que j'étais ici. Je suis pour les hommes d'affaires chrétiens, aussi longtemps qu'ils continuent à avancer de cette manière pour aider l'église, pas pour prendre la place de l'église, mais, pour aider l'église. Ainsi, fraternisez avec les hommes d'affaires. Un homme d'affaires peut témoigner à d'autres hommes d'affaires. C'est du bois, si c'est exécuté ainsi; comme dans le passé, cela édifiera l'Église, la fera grandir. Nous sommes reconnaissants pour tout ce qui édifie le Royaume de Dieu.
 9         Maintenant, je désire tous vous remercier de... on vient de me dire à l'instant... Frère David et mon secrétaire, frère Mercier, viennent de me dire que vous avez fait deux offrandes d'amour à mon intention dans cette réunion. Merci, mes chers amis! Cette offrande d'amour sera versée à la fondation du Branham Tabernacle et sera utilisée pour financer les réunions. Je reçois un salaire de cent dollars par semaine. Ainsi, cela ira pour le Royaume de Dieu. Dans chacune de ces églises: Dans l'église de frère Outlaw, ce matin, et dans l'église de frère Fuller, Dimanche passé, j'ai essayé de les empêcher de le faire, mais, au moment où je passai la porte, frère Fuller mit un chèque dans ma main. J'ai oublié de combien il était exactement, environ cent dollars, je crois, comme offrande missionnaire.
Et, ce matin, l'église de frère Outlaw a donné cent un dollar cinquante comme offrande missionnaire aussi. Elle est entre les mains du secrétaire qui la fera parvenir à la fondation qui nous envoie outre-mer prêcher l'Évangile. Je prie qu'un jour, aux cieux, cela devienne du mortier pour votre demeure éternelle de l'autre côté.
 
SANS ARGENT, SANS RIEN PAYER (LE SALUT SANS RIEN PAYER) - Jeff, Indiana, USA - 02 août 1959
93.      Aujourd'hui, les gens sont si séduits. Ils pensent que s'ils peuvent aller faire leurs prières, payer un prêtre pour qu'il dise quelques prières pour eux, payer leur entrée, s'ils projettent de construire une grande église quelque part, alors un homme riche va parrainer cela, ils continueront à vivre dans la convoitise, en ayant quelqu'un d'autre qui prie pour eux; ils pensent que c'est ce qu'il faut. Dieu ne veut pas de votre sale argent. Tout ce qu'Il veut, c'est votre dévotion et votre vie pour que vous Lui parliez. Dieu vous a donné de l'argent; ne le dépensez pas pour des choses qui ne rassasient pas. Dépensez-le pour des choses qui rassasient. Et pour apporter une vraie satisfaction... Vous ne pouvez l'obtenir à moins que vous ne parliez au Rocher.
 
L’ETAT PRÉSENT DE MON MINISTÈRE, - 08.09.1962 JEFF, IN, USA
57       Maintenant, Démas sortait d’une famille riche et il était fortuné, et parfois l’argent signifie la religion pour certains. Comme on dit en Californie, «Si vous ne possédez pas trois Cadillac, vous n’êtes pas spirituel.» Donc cela veut dire que, si vous n’avez pas de succès, si vous n’avez pas l’église la plus belle de la ville, les gens ne viendront pas. C’est presque ainsi ici. Cela vous prouve que vous – vous devez avoir la plus belle église du pays, sinon on dira: «Vous, oh! Vous voulez dire que vous vous êtes joint à un petit groupe pareil?»
66             Oh! Vous savez, cet esprit ne quitte pas le monde, ils ont encore la même chose. L’argent n’est pas Dieu. Il n’y a qu’un seul Dieu, voyez-vous. Mais les gens pensent que parce que vous avez un grand ministère, vous devriez posséder tout ceci et tout cela, et toutes ces grandes choses, et de grandes écoles et de grands ceci et cela. Dieu ne traite pas avec ces choses-là. Ou, du moins, c’est cela mon opinion. Dieu traite avec un individu. Il ne nous a jamais ordonné d’aller faire de telles choses.
 
LE RESPECT,  - E15.10.1961 JEFF, IN, USA
30       Cet après-midi je parlais à un homme âgé; je crois qu'il a dit qu'il avait quatre-vingt-huit ou quatre-vingt-neuf ans, et qui est devenu Chrétien tout récemment. Je l'ai baptisé au Nom de Jésus-Christ, alors qu'il n'avait rien d'autre sur lui que son complet du dimanche. Je l'ai emmené dans l'eau; je crois que frère Wood lui a prêté une paire de pantalons et nous l'avons baptisé, ici, dans l'eau. Il m'a dit que lorsqu'il était un jeune garçon... C'est un homme assez fortuné, maintenant. Eh bien, lorsqu'il était un jeune homme, il a dit comment il travaillait pour trente dollars par mois. Il ne s'est jamais marié ou autre chose jusqu'à un âge avancé. Il a dit combien il soupirait après ce temps où, devenu vieux, il n'aurait plus à mendier et à coucher dans la rue. Épargnant jusqu'aux petites pièces de cinq cents, il fit travailler son argent et cela travailla vraiment et son bien augmenta. Et maintenant, le voici, à quatre-vingts et quelques années, quatre-vingt-huit ou quatre-vingt-neuf, je crois qu'il m'a dit, près de quatre-vingt-dix, et il va toujours; il était assis ici même dans l'église, ce matin. Et il s'est arrangé pour ne pas avoir de soucis. S'il doit vivre encore cent ans, ils n'auraient pas de soucis d'argent ou de choses de ce genre. C'est un frère qui a bon coeur... un bon frère qui fait tout ce qu'il sait faire et tout ce qu'il peut pour les Chrétiens.
 
JÉHOVAH-JIRÉ I - 02.04.1964 LOUISVILLE, MS, USA
§130 : Il y a quelques mois, j’étais avec mon bon ami John Sharrit à Phœnix. Je demeure à Tucson, comme vous le savez. Et je me trouvais à Phœnix, chez frère John Sharrit, un très bon frère chrétien. Il était très très pauvre, et le Seigneur l’a béni. La première fois que je suis allé à Phœnix, il y a des années, il n’avait pas d’enfants. Mais il en voulait. Ils étaient pauvres; il travaillait à concasser le béton et gagnait quelque vingt-cinq cents, trente cents l’heure. Et il était venu à l’église, et il avait cru chaque parole du message. Il m’avait demandé: «Prieriez-vous pour moi?» Il a maintenant cinq enfants.
§131 Et ça, et à part ça, il donne entre trois et quatre millions de dollars chaque année à la cause de Christ. C’est vrai. J’étais ici avec lui, il n’y a pas longtemps, et on regardait sa ferme à coton. Il a acheté tout le conté, et mille cinq cents Mexicains s’occupent de la ferme. Et, il y a quinze ans, il concassait le béton pour vingt-cinq cents l’heure.
 
L’ INVASION DES ÉTATS-UNIS - 09.05.1954 JEFFERSONVILLE, IN, USA
14       Et lorsque ce sont les prédicateurs qui patronnent la réunion d'habitude ils disent... l'aviez-vous annoncée?
«Oui, à l'église.»
C'est tout ce qu'il faut. Ce sont des bergers et ils désirent que leurs troupeaux en sachent quelque chose. C'est juste un... ça c'est leur affaire.
15       Mais les hommes d'affaires étaient un peu différents. Ils voulaient le faire connaître à tout le monde. Donc ils avaient dépensé une valeur d'environ trois ou quatre mille dollars pour la publicité sur les tramways, les taxis, les pare-chocs des voitures et partout. Nous avons eu un moment merveilleux.
16       Après le service, ils m'appelèrent à côté et dirent: «Frère Branham, maintenant que pouvons-nous faire pour vous? Qu'est-ce que nous vous devons?»
17       Je dis: «Pourquoi? bien sûr que rien.» Je dis: «Vous ne me devez rien.» Je dis: «Si vous le désirez, vous pouvez payer ma note pour l'hôtel.»
18       «Oh! nous voulons faire quelque chose pour vous.» Et ils ne... Je ne voulais rien recevoir d'eux.
 19      Ainsi le directeur les rassembla et dit: «Je crois qu'il aime chasser et pêcher, n'est-ce pas?»
Ils dirent: «Oui.»
20       Et comme l'un des hommes d'affaires avait un ranch là, il dit: «Je vais lui en faire cadeau.»
21       Bien! monsieur Moore monta pour le voir, et il devait rentrer à cheval à une distance d'à peu près 55 kilomètres. Je dis... Monsieur Moore dit: «Je voudrais voir la soeur Branham en rentrant, assise sur un cheval.» Donc il, ils, et...
22       Mais après cela, quoique, ils étaient partis là-bas à un endroit à une ferme à Silver Plumb, au Colorado. Ceci est censé se trouver de ce côté-ci maintenant. Et là ils achetèrent un petit ranch et dressèrent une maison à cinq chambres pour moi aussi, à Silver Plumb au Colorado, qui est juste au coeur des montagnes. Ainsi vous, les pêcheurs de poissons, je pense que c'est un temps agréable, c'est un bon endroit pour se relaxer après les réunions, et ces choses, si Dieu le permet. C'est pour lui, vous voyez.
 
LA COMMUNION PAR LA RÉDEMPTION - 03.04.1955 JEFFERSONVILLE, IN, USA
51 J’ai un bon ami à moi ici, ce matin. Je sais qu’il est un peu timide, réservé. C’est un de mes frères. Il est devenu mon co-équipier et mon compagnon, suite à la grande Alaskan Highway, en Alaska.
52 C’était au cours des réunions qui se tenaient à Grande Prairie, où je retournerai dans peu de jours J’étais à Dawson Creek, en Colombie-Britannique, après quoi j’étais descendu à Grande Prairie. Et là un jeune homme s’était introduit à la réunion, et c’est alors que Dieu s’était saisi de lui. Et il lui a fallu revenir. Et il a reçu le baptême du Saint-Esprit. Et si frère Fandler voulait bien se lever, pour que les gens le voient. Il est originaire de Suisse. Que le Seigneur vous bénisse, frère Fandler. Nous sommes contents de l’avoir avec nous aujourd’hui.
53 Il est celui qui a découvert ce remarquable médicament qui sera sous peu sur le marché, lequel fera le tour du monde. C’est un remède contre l’arthrite. Le Seigneur lui a donné. Ils en ont un échantillon, au gouvernement, et ainsi de suite. C’est un remède contre l’arthrite, donné par le Seigneur Dieu seul, amen, lui disant comment faire. Il n’y avait jusqu’à ce jour rien sur le marché touchant l’arthrite. Mais à présent, le Seigneur l’a donné à frère Fandler, et nous en sommes heureux.
54 Avec nous à la rencontre des Hommes d’Affaires Chrétiens, il y a quelques jours à Los Angeles, où ils ont¼ Oh, Dieu œuvre de façon si merveilleuse parmi les chrétiens. Un frère, que chacun d’entre nous connaît très bien, ou qui est un des nôtres, ici, c’est frère Shakarian, un frère vraiment remarquable. Le Seigneur l’a aussi utilisé pour une invention. Simplement pour vous montrer comment Dieu opère tout ça. C’est un petit machin qu’il porte sur sa poitrine, comme ceci, et qui se présente comme ceci, et qui sert à trouver du pétrole. Il a découvert un puits de pétrole abondant au Colorado, d’une valeur de vingt-cinq millions de dollars, je crois; rien que pour un seul puits. Il prend tous les profits pour envoyer des missionnaires dans les champs étrangers. Amen.
55 C’est ce que frère Fandler est en train de faire avec sa découverte. Cela rapportera des millions de dollars par année.
56 Et en plus de cela, ce frère a inventé un appareil pour récupérer le sang, alors qu’ils ne pouvaient pas le conserver très longtemps.
57 Ceux-ci sont des hommes remplis du Saint-Esprit. Savez-vous quoi? À la Maison Blanche, quarante pour cent de nos officiers sont pentecôtistes (amen!) ou ont des antécédents pentecôtistes. Oh là là!
Les nations s’effondrent; Israël s’éveille.
58 Et ils peuvent¼ Ces frères ont découvert une formule qui déshydrate le sang et le conserve indéfiniment. Et ils viennent de bâtir un laboratoire de un million de dollars. Oh, combien le Seigneur bénit, partout!
59 Voyez ce qui va arriver? Dieu se hâte d’envoyer ces messagers du Saint-Esprit dans toutes les parties du monde, car le temps est proche. Nous y sommes allés, non pas pour passer des pamphlets, lesquels sont toujours d’appoint, mais pour apporter le message de la délivrance divine à ces captifs qui sont assis dans les ténèbres. Nous L’aimons.
Très bien. Nous lirons maintenant l’Écriture très rapidement.
 
ETRE CONDUIT (SUIS-MOI) - A31.10.1965 PRESCOTT, AZ, USA
55       L’instruction c’est bien; vous devez aller à l’école et apprendre. Voyez-vous, c’est bien, mais cela ne vous sauvera pas. Avoir beaucoup d’argent c’est bien, vous pourriez élever vos enfants, leur donner de bons habits et le reste. Et comme papa et maman ont travaillé pour vous tous, etc. C’est bien, mais cela ne vous sauvera toujours pas. Voyez-vous? Ou vous pourriez aller dans un laboratoire et apprendre comment mettre différentes choses ensemble, ou faire la fission de l’atome, ou quoi que ce soit que l’on puisse faire, et – et entrer dans une – une fusée et aller sur la lune, mais cela ne vous sauvera pas.
 
RENDRE UN SERVICE À DIEU EN DEHORS DE SA VOLONTÉ - M18.07.1965 JEFF, IN, USA
196    Guéris les malades et les affligés, Seigneur. Nous Te prions de nous donner ce soir un si grand service, qu'il n'y ait plus une seule personne faible au milieu de nous, à cause de Ta présence, Seigneur. Puissent nos coeurs être continuellement fixés sur Toi. Nous savons, Seigneur, que l'argent, les biens et les choses du monde ne signifient rien, car elles ne sont que temporelles. Toutes doivent disparaître. Notre travail, notre place, nos amis, tout doit disparaître. Peu importe que nous soyons riches, pauvres, populaires ou impopulaires, tout cela doit disparaître. Mais il n'y a qu'une chose, ici, sur laquelle notre être doit être centré, c'est sur Jésus-Christ. Ainsi, ô Dieu, puissions-nous mettre de côté tout ce qui est secondaire et nous attacher à Lui; et Il est la Parole (accorde-le, Seigneur!), la Parole confirmée de l'heure.
 
ENTREZ DANS L’ESPRIT - 28.04.1961 CHICAGO, IL, USA
 7        Certains de vous, hommes d'affaires de cette ville, si vous n'avez jamais assisté à l'un de ces déjeuners, cela vous fera sûrement du bien de venir entendre ce que Dieu a fait pour d'autres hommes d'affaires. Bon, vous êtes peut-être un homme prospère, pour ce qui est de vos affaires, toutefois... Nous n'essayons pas de vous présenter quelque chose qui fera de vous un meilleur... ou qui améliorera vos affaires. Nous tentons de vous présenter quelque chose qui vous rendra meilleur, vous. C'est Christ, voyez. Christ.
 
LE CHEF-D’ŒUVRE, - 05.07.1964 JEFF, IN, USA
10       Or, nous devons trouver un endroit où faire reposer notre foi. Et si–si moi ou n’importe lequel d’entre nous, dans la vie, nous cherchions à réussir dans la vie, et que nous devenions bien des fois multimillionnaires, mais qu’est-ce que nous allons faire avec ça? Il nous faudra arriver au bout du chemin, et à quoi–à quoi est-ce que ça va nous servir à ce moment-là? Voyez? Et l’argent, c’est un titre provisoire, c’est un moyen d’échange, mais on ne peut pas l’échanger contre la Vie. Dieu seul possède la Vie.
 
TOURNEZ LES REGARDS VERS JÉSUS - E29.12.1963 JEFF, IN, USA
181 L'homme riche regarda et vit exactement qui Il était, mais il refusa de Le suivre, parce qu'il aimait trop les choses du monde pour suivre Jésus. Combien d'hommes riches, de ce type, écouteront cette bande? Vous n'avez pas toujours besoin d'être riche, quant à l’argent. Non! Vous pouvez aussi être riches dans la convoitise, riches dans les plaisirs de cette vie.
 
VIENS, SUIS-MOI - 01.06.1963 TUCSON, ARIZONA, USA
31 Dès qu'une voix est une fois lancée comme cela dans l'air, elle ne meurt jamais. Il n'y a rien que vous puissiez dire au jugement; elle est bien là. Il y aura la Voix de Jésus-Christ invitant ce jeune homme: "Suis-Moi." Et lui apparaîtra à l'écran, rejetant cela, ce qui est pitoyable; parce qu'il avait de grandes richesses. Voyez-vous?
Nous pourrions même ne pas être - doit toujours être de l’argent. Cela peut être autre chose. Voyez-vous? Tout ce que nous estimons plus précieux que cet appel (voyez-vous?), cela devient comme de l’argent pour nous. Cela devient quelque chose qui nous corrompt.
35       Et vous remarquez que lorsqu'il dit: "Père Abraham..." Maintenant, il se rappelait encore qu'Abraham était le père des Juifs. Il dit: "Père Abraham, envoie ce mendiant Lazare ici avec un peu d'eau sur ses doigts pour mettre sur mes lèvres. Ces flammes me tourmentent."
Il dit... Et Abraham répondit carrément: "C'est... Je ne peux pas le faire." "Et en plus de tout cela, (voyez-vous?) tu as eu ta chance dans la vie."
Quand l'avait-il eue? C'est lorsque Jésus avait dit: "Suis-Moi." Mais lui avait rejeté cela. Il suivit la voie qui lui permettait de gagner de l’argent. Et c'est très bien, il n'y a rien de mal dans le fait de gagner de l’argent. Mais suivez Jésus pendant que vous faites cela. Voyez-vous? Il suivit l'autre voie avec la foule. Et vous constaterez qu'il dit - et Abraham dit: "Et en plus de tout cela, il y a un gouffre établi entre toi et lui, que personne n'a jamais traversé et ne traversera jamais. Ceux qui sont là-bas ne peuvent pas venir ici, et ceux qui sont ici ne peuvent pas aller là-bas. C'est ainsi établi. Personne ne l'a traversé ni ne le traversera."
 
LA STATURE D'UN HOMME PARFAIT, - M14.10.1962 JEFF, IN, USA
297    Pierre a dit: «Et, parce que vous avez fui la corruption qui existe dans le monde par la convoitise de l’argent, et la convoitise des amusements, du plaisir, manger, boire, et la convoitise que nous avons, vous avez fui cela; et maintenant, vous êtes édifiés, pour vous donner des moyens d'existence.» «J'adresse cela à l'Église», a-t-il dit. Voilà, ça y est! L'avez-vous lu? L'avez-vous saisi? L'avez-vous entendu, quand nous l'avons lu auparavant? Dans II Pierre, écoutez simplement ce qu'il dit ici; c'est si beau comme c'est écrit, et la manière dont il le présente. Très bien. Écoutez-le maintenant parler. Très bien:
298    La convoitise de l’argent. La convoitise des grandes choses. La convoitise de la popularité. Ces choses sont mortes pour le croyant! Peu nous importe – une tente ou une petite maison! Pourquoi m'en faire? Que je vive ou que je meure; quoi qu'il advienne, voici la chose qui m'intéresse: le Royaume de Dieu!
 
SE RANGER DU CÔTÉ DE JÉSUS - 01.06.1962 JEFF IN, USA
1         ...quelque part à Louisville où l'on - l'on mange d'habitude et ça s'appelle... Voyons! Restaurant Dogpatch. J'en ai pris un aujourd'hui. Lorsque quelqu'un y mange, ils prennent alors l’argent qu'on leur a payé et ils en envoient la dîme à l'église. C'est quelque part au 319, rue West Jefferson. Je pense que c'est pour cette raison que Billy a placé cela ici; c'était afin qu'on puisse s'en apercevoir. C'est très bien.
 
QUE VOTRE LUMIÈRE LUISE AINSI DEVANT LES HOMMES - 03.09.1961 JEFF, IN, USA
36       Bien, j'ai commencé à méditer sur cela. Les gens n'étaient pas tellement... Généralement s'ils ont un restaurant plus loin, ils - ils essayent de vendre mieux que l'autre. Ils représentent de gros steaks fumants et ainsi de suite. Et lorsque vous y entrez, vous n'y trouvez généralement rien qui corresponde à ce qu'ils ont fait comme publicité, mais c'est juste une - une publicité.
           Cependant, ceci semblait avoir une approche différente. Et nous savons, dans ce jour où nous vivons aujourd'hui, que la publicité fait gagner de l’argent. Et nous trouvons que les gens qui font de très grands progrès dans les affaires sont - sont les champions de la publicité.
           Ils - ils font passer cela à la télévision. Ils affichent cela sur des panneaux, partout où ils le peuvent pour faire la publicité de leur produit. «Fumez celle-ci, un wagon plein et pas de toux», «Le filtre d'un homme qui réfléchit» et «Le journal d'un autre homme» ou quelque chose de ce genre. Je pensais...?... c'est dans un ...?... «pleins d'entrain pendant plus longtemps avec leurs bières.» Tous les trucs de ce genre, c'est de la publicité. Et ils réduisent de beaucoup leur impôt sur le revenu, uniquement pour la publicité. Et cela est certainement rentable.
 
LA REINE DE SÉBA, - E19.01.1961 BEAUMONT, TX, USA bb077873
49       Aussi elle a dit: «Attendez une minute. J'ai toujours donné des dîmes importantes ici, aussi...» (Maintenant je ne fais pas de la réclame pour les ministères et ainsi de suite.) Mais elle a dit: «Si c'est ainsi--si c'est ainsi, je vais le supporter. Je vais prendre de l'or, et de l'encens, et de l’argent. Si c'est juste, cela mérite d'être supporté. Si ce n'est pas juste, alors je ramènerai mon argent.»
           Elle devrait venir et prêcher aux Américains quelques fois--vous soutenez des choses qui ensuite se moquent de vous, et qui vous appellent un saint comédien; et néanmoins vous le soutenez. C'est juste. Mais vous y êtes.
           Elle a dit: «Je découvrirai par moi-même. Et si c'est juste, cela vaut la peine que je fasse tout ce que je peux pour le soutenir.»
           Et c'est la vérité. Cela vaut... Pas plus... Non pas 10% de votre argent, cela vaut votre vie entière. Cela vaut toutes les choses du monde que vous avez, si c'est juste. C'est ça qui est la perle de grand prix.
           Si Dieu vit encore... si Jésus-Christ est le Fils du Dieu Vivant aujourd'hui, et vivant ce soir, Il est le même hier, aujourd'hui, et pour toujours, alors cela vaut chaque moment de notre temps, notre talent, notre tout. Nous devrions nous défaire de toute chose; dire «au revoir» à toute chose, et Le servir. Si cela n'est pas, bien, allons juste joindre quelque chose et allons-y, et restons avec une bonne clique, et vivons une gentille vie décente et continuons. Mais si c'est juste, tenons... tenons-nous avec cela. C'est ce qu'elle a dû penser aussi.
50       Aussi elle a chargé les chameaux avec de l'or et de l’argent. Alors la pensée est venue... vous savez, les enfants d'Ismaël étaient dans le désert en ces jours-là, et ils étaient des voleurs. Et ils étaient réellement une caravane d'hommes, aussi--une véritable caravane de cavaliers, de meurtriers, là dehors dans le désert. Et elle avait--avait un long chemin à faire. Maintenant elle s'est mise en route avec ses petites jeunes filles et ses eunuques, une petite poignée parmi eux, pour traverser le désert du Sahara.
           Maintenant, Frère, j'ai du respect pour cette femme-là. Elle n'a pas... vous savez, quelque chose à ce sujet: si vous... si Dieu parle réellement à votre coeur, vous n'avez pas de crainte. Si--si Dieu a parlé à votre coeur, et vous a dit qu'Il allait vous guérir ce soir, vous ne vous souciez pas que le docteur dise que ça ne va pas avec vous. Cela enlève juste--cela enlève simplement toute la crainte d'une certaine façon.
           Elle ne s'est pas inquiétée. Elle était allée voir si c'était juste ou pas. Aussi elle a commencé à traverser le désert du Sahara. Maintenant regardez ce que cette petite femme... Elle a dû probablement voyager de nuit. Ces rayons directs du Désert du Sahara... et souvenez-vous, elle... ça lui a pris...
 
L’INFLUENCE - Phoenix, Arizona, USA - Samedi 12 janvier 1963, matin
17.      Eh bien, ce jeune homme, Ozias, avait une si grande formation dès son bas âge que, lorsqu’il a accédé au trône, il ne s’est point détourné ni à gauche ni à droite de ce qui était correcte. Il y est resté fermement attaché. Il n’a jamais laissé la politique l’influencer d’aucune façon. Il était un homme déterminé à servir Dieu sans tenir compte de quoi que ce soit. Ainsi, la politique ne… Il a ignoré toutes ces choses. Et une autre chose que j’ai appréciée dans Ozias, c’est qu’il a ignoré la popularité ou les opinions populaires. Peu importe ce que n’importe qui d’autre pensait, ou ce qu’était la tendance populaire de l’époque, il voulait servir Dieu, sans tenir compte de quoi que ce soit.
           Oh! il nous faut de tels hommes dans notre monde politique. Il nous faut de tels hommes à la Maison Blanche. Il nous faut de tels hommes dans les affaires. Il nous faut de tels hommes à la chair, des hommes qui ne se tourneront pas vers les opinions populaires ni vers la popularité. Mais des hommes qui s’en tiendront parfaitement à la Parole, sans s’En détourner ni à droite ni à gauche.
18.      Dieu, en commissionnant Josué, lui a dit: «Que ce Livre de la loi ne s’éloigne point de ta bouche, médite-le jour et nuit. Car c’est alors que tu auras du succès dans tes entreprises, c’est alors que tu réussiras.» Et non seulement cela, mais vous influencerez quelqu’un par votre manière même de marcher.
Ainsi, j’apprécie donc cette position qu’Ozias a prise, sa détermination… La première chose qu’il s’est mis à faire, c’était de réparer la Maison de l’Eternel, et de reconstruire les endroits qui avaient été détruits; ensuite, il est allé combattre l’ennemi, après avoir prouvé à Dieu qu’il était sincère. Et il – il était décidé de prendre la position correcte, sans se soucier de ce que son entourage, ses conseillers pouvaient faire pour l’influencer sur le plan politique du royaume. Il ne pouvait pas accepter cela. Il voulait la volonté de Dieu et rien d’autre.
 
UNE TROMPETTE QUI REND UN SON CONFUS - Phoenix, Arizona, USA - Lundi 14 janvier 1963, soir
49.      Si vous avez une affaire… Et, en fait, nous avons des hommes d’affaires ici présents, peut-être beaucoup parmi eux. Si vous gérez une affaire qui n’est pas certaine, vous n’allez pas beaucoup y investir, car le–le bénéfice est incertain, et vous n’investirez pas beaucoup. Ou, si vous êtes un bon homme d’affaires avisé, vous attendrez et vous ferez des prospections, si vous avez de l’argent à investir, jusqu’à ce que vous trouviez quelque chose de certain, quelque chose de fiable, quelque chose sur lequel vous pouvez compter. En effet, vous n’aimeriez pas perdre le peu d’argent que vous avez épargné, parce que c’est avec ça que vous devez gagner votre vie, de la rémunération du–du bénéfice de cet investissement. Eh bien, il vous faut avoir de quoi vivre.
50.      Et ce peu d’argent que vous aviez épargné, ne le mettez pas dans votre poche pour le laisser là, car les voleurs le voleront. Voyez ? Ne–ne faites pas ça. Si vous en avez, investissez-le dans une activité. Et alors, il vous faut vous rassurer que votre investissement est certain. Sinon, eh bien, n’investissez pas du tout cela.
51.      Ainsi, les affaires sont certainement chancelantes aujourd’hui. Pratiquement toute affaire dans le monde est chancelante, parce que le monde est dans une situation chancelante. Vous ne pouvez simplement pas vous permettre…
52.      « Eh bien, je vais épargner tant d’argent pour me construire une belle petite maison quelque part. » C’est–c’est vraiment chancelant. Je vais vous le démontrer ; en effet, le gouvernement peut prendre tout cela en une nuit.
53.      Oh ! ça a tellement corrompu notre démocratie que c’est devenu très chancelant ! Autrefois, nous comptions beaucoup sur notre démocratie. Et, en fait, je pense vraiment que c’est le meilleur système de gouvernement. Mais cependant, notre démocratie est chancelante. En effet, nous, cette nation, notre peuple, nous avons une constitution, et cette constitution est–est notre absolu. Mais cependant, sur ce point, notre constitution est chancelante, car elle a été déjà violée plusieurs fois. Feu monsieur Roosevelt l’a ravagée. Alors, voyez, vous voyez qu’elle peut être violée. Elle n’est pas tellement digne de confiance.
 
SOYEZ CERTAINS DE DIEU - 25.01.1959 JEFFERSONVILLE, IN, USA bb066635
11       On pourrait me demander d'expliquer ce que je viens de déclarer, disant qu'il s'agit là d'un tableau tout à fait comparable à aujourd'hui. Peut-être ne nous considérons-nous pas comme des adorateurs d'idoles, mais nous le sommes. Et le gouvernement souscrit à cela. Les gens aujourd'hui sont des adorateurs d'idoles, parce qu'ils... ils adorent des idoles. Certains d'entre eux adorent des vedettes de cinéma et en font leurs idoles. Certains adorent l’argent et en font leur idole. Et certains adorent des vedettes de télévision et en font leurs idoles. En fait, tout ce que vous faites passer avant Dieu est une idole, peu importe ce que c'est.
 
SENTINELLE, QU'EN EST-IL DE LA NUIT? - 30.11.1958 JEFFERSONVILLE, IN, USA
50       Je préférerais être dans la volonté de Dieu plutôt qu'avoir tout l’argent que le monde pourrait vous offrir.
 
IL Y A ICI UN PLUS GRAND QUE SALOMON - 25.06.1958 SOUTHERN PINES, NC, USA
42       Je sais que vous croyez que je suis excité; si vous vous sentiez comme moi, vous le seriez aussi. Je sais qu'Il est réel, non pas parce qu'Il est dans mon coeur c'est une des raisons, oui. Les Musulmans disent: «Il est réel, parce que Mahomet est dans mon coeur.»
           Eh bien! laissez-moi voir Mahomet faire les choses qu'il faisait quand il vivait. Je peux vous montrer que Jésus fait les mêmes choses. C'est sûr, Il est le Dieu vivant. Alors la reine dit: «Eh bien! vous pouvez effacer mon nom du livre. Faites ce que vous voulez. Je suis fatiguée de ces vieux credo. Je vais aller voir si cette chose est vraie ou pas», et quand elle se prépara à partir, elle n'allait pas y aller les mains vides. Elle chargea des chameaux d'or, de l'encens et de l’argent et elle dit: «Si c'est vrai je vais Le soutenir. Si ce n'est pas vrai, je ramènerai mon argent.» C'est une bonne chose. C'est juste.
           Si vous, les gens, étaient plus sincères concernant cela et que vous souteniez quelque chose où Dieu se trouve au lieu de soutenir tant de vieilles choses comme un bâtiment de million de dollars qui n'est rien d'autre qu'une vieille morgue quelque part. Entrez-y et vous verrez que le thermomètre spirituel tombe jusqu'à quatre-vingt-dix au-dessous de zéro, si quelqu'un dit: «Amen.»
           Le reste d'entre eux s'évanouit. Qu'est-ce qui ne va pas? Si Christ accomplissait un miracle, vous seriez jeté hors du bâtiment.
 
LE DEUXIÈME SCEAU, - 19.03.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA
153    Disons qu’un homme vienne ici, et qu’il puisse dire: “Cette église est trop petite. Construisons une grande église. Je vais vous en construire une, là, c’est… elle vaudra tant, un demi-million de dollars. C’est ce qu’on va investir là-dedans. Je vais m’occuper moi-même de faire diffuser la chose.” Quand ils font ça, ils agissent dans un but intéressé, neuf fois sur dix, vous savez, ce genre de personne là. Et puis, s’il exécute cela, bientôt il dirigera les choses à sa guise. “Vous ne pouvez rien dire, parce que le Frère Machin Chouette là-bas, c’est lui qui a financé l’église.” Voyez? Ensuite vous allez voir arriver un petit Ricky, qui sort d’un séminaire et qui connaît Dieu à peu près autant qu’un Hottentot peut connaître un chevalier égyptien, et il va faire les quatre volontés de cet homme-là, parce qu’il lui achète toujours une voiture neuve, pour lui permettre de se promener, et qu’il lui achète ceci, cela et autre chose.
 
SENTINELLE, QU'EN EST-IL DE LA NUIT? - 30.11.1958 JEFFERSONVILLE, IN, USA
205    J'ai pris cette petite dîme. Je ne sais qu'en faire. Je vais l'investir quelque part, dans une oeuvre pour la gloire de Dieu, au meilleur endroit que je sache.
 
L’Éden de Satan 29.08.1965   Jeffersonville IN
 32   Tel un homme d’affaires qui n’est pas chrétien, il va prendre tous les moyens possibles pour vous faire voir une chose de travers. S’il poursuit un--un but et qu’il a avantage à vous faire agir ainsi, à vous faire voir la chose comme ça, il vous présentera tout ce qu’il peut, et vous empêchera de voir la vérité là-dessus, parce qu’il ne pense qu’à lui-même. Peu lui importe combien il peut mentir, tricher, et quoi encore, il a un avantage à en retirer.
 
EXPOSE DE SEPT AGES DE L’EGLISE
Si vous pensez que ce n’est pas vrai, écoutez ceci. Dans le monde entier, aussi bien dans les groupes pentecôtistes que dans les groupes fondamentalistes, on forme des organisations d’hommes d’affaires. Ils ont envahi la chaire sans avoir un appel de Dieu. Ils se sont fait passer pour des pêcheurs d’hommes et pour les fondateurs d’un mouvement de Dieu, et ils disent que le ministère d’Éphésiens 4.10-13, ce don que Dieu a fait à l’Église, a échoué, et que, par conséquent, eux prennent la relève. Nous voici en plein dans l’accomplissement de la prophétie, de ce qu’on appelle la révolte de Koré, et ils ne se rendent même pas compte que c’est eux qui ont accompli cette prophétie. Ils continuent aveuglément à prêcher leurs expériences en guise de vérité. Que Dieu ait pitié d’eux. Que leurs yeux s’ouvrent avant qu’il ne soit trop tard. Oh, écoutez-moi. Quand le prestige de l’argent, l’influence sociale, l’habileté en affaires ou les capacités intellectuelles ont-ils rendu un homme apte à être un conducteur spirituel, ou quand ces choses ont-elles donné un quelconque poids à la Parole de Dieu? Et dès que les choses matérielles ou les valeurs humaines commencent, d’une quelconque manière, à être prises comme le moyen d’agir de Dieu, au lieu que ce soit le Saint-Esprit ET LUI SEUL, alors nous combattons contre Dieu, et non pour Lui.
 
LE ROI REJETÉ - M15.05.1960 JEFFERSONVILLE, IN, USA
 5         Mais maintenant, malgré toute cette épreuve et tout ça, ce qui s'est passé, je veux remercier le Seigneur pour un examen parfait. J'ai réussi, avec cent pour cent; je peux aller n'importe où dans le monde, partout où je veux aller. J'ai demandé aux médecins, c'étaient trois des meilleurs spécialistes, je pense, de Louisville, je leur ai demandé, j'ai dit: "Est-ce que j'ai une incapacité d'au moins dix pour cent?"
Il a dit: "Vous n'avez pas la moindre incapacité." Il a dit "Vous êtes en parfaite santé, sur tous les plans." Et j'en suis vraiment reconnaissant à Dieu. Qui d'autre que notre Père Céleste aurait pu permettre qu'il en soit ainsi, voyez-vous, que ce soit comme ça. Et il a dit: "Votre... Selon votre diagramme, là, tout ce qu'on peut voir, c'est que vous êtes jeune." Il a dit: "Il ne s'est même pas encore produit de changement au niveau des cellules sanguines, ni rien." Il a dit "Vous êtes en grande forme, Frère Branham."
Et j'ai dit: "Eh bien, je suis vraiment content."
6          Et j'ai eu le privilège de parler, de rendre témoignage du Royaume de Dieu à toutes les infirmières de l'hôpital et à tous les médecins. Et un certain médecin, je pense qu'il est censé être ici ce matin. Et je–je–je vais... je suis heureux de voir qu'il y a encore des braves hommes dans ce monde, des vrais hommes. Des hommes qui me feraient subir un examen médical complet, pendant cinq jours, – chaque examen aurait probablement coûté deux ou trois cents dollars, – et quand je suis arrivé au bout, ils ont dit: "C'est notre contribution à l'œuvre que vous faites pour le Seigneur." Pas même... Ils ont dit: "Mais, vous nous mettez mal à l'aise, rien que de nous demander si vous nous devez quelque chose." Ils ont dit: "Priez pour nous, c'est tout."
16       Je n'aurais pas été obligé de rester là-bas, à l'hôpital, mais ils ont été tellement gentils avec moi: ils m'ont fourni la chambre pour environ le tiers du prix. Alors j'ai simplement pris mes Bibles, mes livres, et j'ai remonté la tête du lit, je me suis assis là, bien confortablement, avec toutes mes Bibles et toutes mes choses éparpillées autour de moi; et je passais vraiment des moments bénis, jusqu'à ce qu'ils arrivent avec l'huile de ricin. Les bons moments, pour moi, ça s'est arrêté là; c'était–c'était terminé pour moi, alors. Mais, Frère Pat, j'étais vraiment malade. C'est quelque chose que je ne peux tout simplement pas supporter. Et, mais jusque-là je passais des moments bénis, pendant les trois ou quatre premiers jours là-bas.
 
ECOUTEZ-LE - 13.03.1960 PHOENIX, AZ, USA
 7         Ce sont des gens vraiment gentils qui viennent aux réunions. Ces hommes, beaucoup d'entre eux, ont fermé leurs églises pendant ces réunions. Nous vous en remercions. Les hommes d'affaires chrétiens, un congrès, a été organisé pendant ce séjour-ci. J'aime ça. Je suis content que cela soit arrivé pendant que j'étais ici. Je suis pour les hommes d'affaires chrétiens, aussi longtemps qu'ils continuent à avancer de cette manière pour aider l'église, pas pour prendre la place de l'église, mais, pour aider l'église. Ainsi, fraternisez avec les hommes d'affaires. Un homme d'affaires peut témoigner à d'autres hommes d'affaires. C'est du bois, si c'est exécuté ainsi; comme dans le passé, cela édifiera l'Église, la fera grandir. Nous sommes reconnaissants pour tout ce qui édifie le Royaume de Dieu.
8          Je désire remercier chacun d'entre vous de votre bienveillante coopération en venant soir après soir. Cela a fait environ quinze jours de réunions et lorsque mon jeune fils, Joseph, apprit qu'en Indiana il était tombé quarante-cinq centimètres de neige fraîche et que l'état d'urgence avait été décrété, que toutes les écoles avaient été fermées, il dit: «Papa, pourquoi ne pouvons-nous pas rester deux ou trois jours pour aller à South Mountain chasser le monstre de Gila.» (Ce qui est une sorte de gros lézard.) C'est un garçon assez intelligent pour quatre ans.
Je lui dis: «Mon petit chou, j'aimerais bien, mais tes soeurs doivent retourner à l'école et nous devons aller directement à Tulsa avec frère Roberts et frère Osborn, ainsi qu'avec tous les frères du pays pour une entière coopération.»
C'est merveilleux de voir les gens se rassembler de cette manière. C'est ce que j'ai désiré voir... C'est que des frères puissent se tendre la main par-dessus la barrière. C'est cela. C'est cela. Soyez des frères.
Nous ne sommes pas divisés,
Mais formons tous un seul Corps.
Un dans l'espérance et la doctrine,
Uns dans la charité.
En vrais soldats chrétiens qui marchent de l'avant. Ce que nous attendons, c'est la venue du Seigneur Jésus.
9          Maintenant, je désire tous vous remercier de... on vient de me dire à l'instant... Frère David et mon secrétaire, frère Mercier, viennent de me dire que vous avez fait deux offrandes d'amour à mon intention dans cette réunion. Merci, mes chers amis! Cette offrande d'amour sera versée à la fondation du Branham Tabernacle et sera utilisée pour financer les réunions. Je reçois un salaire de cent dollars par semaine. Ainsi, cela ira pour le Royaume de Dieu. Dans chacune de ces églises: Dans l'église de frère Outlaw, ce matin, et dans l'église de frère Fuller, Dimanche passé, j'ai essayé de les empêcher de le faire, mais, au moment où je passai la porte, frère Fuller mit un chèque dans ma main. J'ai oublié de combien il était exactement, environ cent dollars, je crois, comme offrande missionnaire.
Et, ce matin, l'église de frère Outlaw a donné cent un dollar cinquante comme offrande missionnaire aussi. Elle est entre les mains du secrétaire qui la fera parvenir à la fondation qui nous envoie outre-mer prêcher l'Évangile. Je prie qu'un jour, aux cieux, cela devienne du mortier pour votre demeure éternelle de l'autre côté.
 
LA FOI SANS LES ŒUVRES EST MORTE   --CLEVELAND OH            22/08/1950
8.         Autrefois, je pensais que ce n'était pas bien de recevoir un cadeau offert par quelqu'un. Frère Sharrit, c'est lui qui a fait pression sur moi à ce sujet. Il a dit : "Frère Branham, je suis obligé de vous corriger là-dessus. Mais, a-t-il dit, là vous vous trompez." Il a dit : "Vous faites faire des pertes à ces gens en refusant leurs cadeaux; vous leur faites manquer leur récompense." Il a dit : "Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir."
            Ensuite, il m'a raconté son histoire. J'ai fait... Je crois que je vais vous la raconter maintenant même. Je viens juste d'y penser il y a un instant. John B. Sharrit, de Phœnix en Arizona, l'un des directeurs commerciaux de la campagne… beaucoup d'entre vous l'ont sans doute rencontré. Y a-t-il par hasard quelqu'un ici qui connaît frère Sharrit, ou plutôt quelqu'un qui connaît John Sharritt, de Phœnix, en Arizona? Bien, c'est un produit de l'école biblique de Dieu à Cincinnati, dans l'Ohio.
            Le doyen de l'université me parlait de lui il y a quelques mois, un très brave homme, Frère Stanley. Beaucoup d'entre vous ont entendu parler de Frère Stanley de… un revivaliste de Dieu. Il m'attend chez moi maintenant.
9.         Alors lui et le frère Raymond T. Richey… Beaucoup d'entre vous ont entendu parler de lui, n'est-ce pas? Il est de Houston, au Texas. Il est membre de l'église : les Assemblées de Dieu, et a un… évangélique…?… Là.
            Et ainsi, frère Sharritt, c'est le genre de - d'homme qui est né sans posséder beaucoup de biens de ce monde. Son père était très pauvre, et il était un grand bagarreur. Et il avait quitté sa mère. Et John Sharrit, il y a environ quinze ans, vendait des pommes à cinq cents la pièce là, devant lui comme ceci à Saint-Louis, dans le Missouri. Des pommes… Quand bien même cela ne pouvait pas lui procurer une charrette pour prendre soin de sa maman.
            Et il bégayait. Il ne pouvait pas du tout parler. Quand vous vous mettez à parler, tenez-vous simplement à…?… Il essayait…?… [Espace vide sur la bande -N.D.E.] Et c'est à peu près là où vous…?…
10. Bien, mais il s'est mis à chercher le Seigneur lorsqu'il était un jeune garçon. Alors que tous les garçons sortaient à différents endroits avec les jeunes filles, lui a dit : "Seigneur, moi je - je vais Te faire confiance. Je - ce serait affreux pour moi - moi - moi - moi d'aller essayer de parler aux jeunes filles. Mais je veux me marier et avoir des enfants. Et je vais Te servir, mais donne-moi une femme." Il confia cela au Seigneur : il avait environ vingt-cinq ans.
            S'il avait pu passer à côté de chaque femme au monde, il n'en aurait pas eu de meilleure que celle qu'il a. Dieu lui a donné une charmante petite sainte. Mais une chose importante est qu'il aimait tellement les enfants… Elle était stérile. Ils s'étaient mariés ça faisait beaucoup, beaucoup d'années, ça faisait dix-sept ans, sans enfants.
            Il cassait du béton dans la rue, à vingt-cinq cents par heure pour gagner sa vie. Et ils avaient épargné leur argent, ils ont acheté une petite maison à trois pièces. Je pense que cela coûtait environ mille cinq cents dollars à l'époque de la crise. Et ils ont payé, payé, et payé. Et…?… payé jusqu'à ce qu'ils ont tout réglé.
11.       Juste au moment où ils avaient tout réglé, ils ont eu un réveil à Phœnix. Et il y avait là un homme du nom de Docteur Sutton. Je ne sais pas si oui ou non vous le connaissez, un…?… Un Evangile - un prédicateur du Plein Evangile était venu là à Phœnix, et il séjournait dans un camp de touristes.
            Et le Seigneur apparut à frère Sharrit une nuit dans un songe. Il lui dit : "Prends ton argenterie, tes vêtements et ta femme, ensuite, quitte ta maison, et remets-la à frère Sutton que voici."
            Pensez-y. Après environ dix ans de dure labeur pendant la crise, faisant de l'épargne et déployant des efforts, et le Seigneur lui dit de remettre cette maison au Docteur Sutton, qui était un - un prédicateur réputé.
            Frère Sharritt a dit : "D'accord, Seigneur."
            Il alla auprès de sa petite compagne et dit : "Chérie, le Seigneur m'a parlé et m'a dit de remettre notre maison… de prendre juste notre argenterie et nos vêtements, et de remettre la maison à Docteur Sutton."
            Quand il est allé en parler à sa femme, elle a dit : "D'accord, chéri." Elle crut en son mari et dit : "Si le Seigneur t'a demandé de le faire, c'est que Dieu a autre chose à faire pour nous."
12.       Ainsi, elle… il a donc remis tout ce qu'il avait. Et cette nuit-là, il ne savait où amener sa femme. Et ils ont trouvé un camp de touristes où on payait soixante-quinze cents. Et ils sont restés dans ce camp cette nuit-là, et il gagnait vingt-cinq cents par heure en cassant du béton dans la rue (C'est vrai.), travaillant chaque jour pour… c'est un très grand homme, pesant environ 225 livres [112, 5 kg - N.D.T.]
            Et environ une semaine plus tard, une dame riche lui a dit que - qu'elle reculerait quelques-uns de ses meubles dans son garage, et elle lui demanda d'habiter dans son garage, là vers la montagne Camel Back (Vous savez où ça se trouve), c'est une sorte d'endroit très aristocratique de la région, là-bas. Elle a dit : "Vous… Si vous entretenez ma cour…?… venez et arrosez le gazon, et ainsi de suite." Elle a dit : "Vous pouvez habiter dans mon garage gratuitement." Il a emménagé là pour environ un cent. Il avait quelques malles, il s'est procuré un…?… Il a mis cela par terre, il s'est procuré un matelas…?… Lui et sa femme dormaient là.
            Frère Sutton a dit : "Frère Sharrit, je ne…"
            Il a dit : "C'est le Seigneur qui m'a dit de le faire. C'est en ordre."
13.       Il est allé de l'avant. Et il est resté dans cette situation environ une année, il a vécu une bonne vie chrétienne. Finalement, la jeune dame chez qui il vivait était une multimillionnaire, elle avait vu son intégrité. Il était un chrétien juste comme Daniel à Babylone.
            Un jour, elle alla le voir, elle dit : "John, dit-elle, tu sais quoi? Hier soir, le Seigneur m'a parlé dans un songe, et il a dit que je dois te prêter dix mille dollars pour une affaire."
            "Eh bien, a-t-il dit, bon…?… a-t-il dit, Madame, je - je ne peux même pas…?… Je ne serai jamais un homme d'affaires."
            Elle a dit : "Mais le Seigneur m'a demandé de le faire, et voici le chèque."
            Il a répondu : "Bien, ah, je - je - je ne peux pas vous laisser faire ceci." Il a dit : "Je - je ne veux pas de dix mille dollars dans mon… non, huh-uh"
            Alors, elle a dit : "Mais le Seigneur m'a dit de te les donner." J'ai vu que tu es un homme bon et honnête, je t'ai vu lire la Bible. Et je me suis procuré une Bible et je L'ai lue. Et le Seigneur m'a dit de te donner le chèque, de te prêter cela, dix mille dollars pour faire des affaires."
14. Alors, il prit le chèque. Il ne savait quoi faire. Ainsi, il est allé de l'avant. Et un soir, il se promenait et il a vu une vieille petite maison de cinq pièces qu'on vendait à deux mille dollars. Il est donc parti là et a encaissé le chèque et, il a acheté cette maison à deux mille dollars. Et ils sont allés là, sa femme et lui, et se sont mis à casser le plâtrage de la maison et ils ont bien replâtré cela, lui et sa femme travaillant ensemble. Et il a plâtré toute la maison, il a arrangé le parquet et il y a accroché une enseigne de mise en vente. Et s'il avait reçu trois mille, il aurait fait de l'argent. Et il a vendu cela à six mille.
            Aujourd'hui la fortune de John Sharrit s'élève à un demi-million de dollars. Ça fait environ six ou sept ans depuis qu'il a commencé, sa fortune s'élève à un demi-million de dollars. Il est père de trois beaux petits enfants. Oh! la la!
            Il a dit : "Frère Branham, et si j'avais… Et si Docteur Sutton avait refusé de prendre…?… Ce que Dieu m'avait dit de faire. Voyez ce qu'il en serait?"
             Et alors, il s'est tenu là, il a dit : "Seigneur…" [Espace vide sur la bande - N.D.E.]
15. Je ne sais pas. Il est propriétaire d'orangeraies, des maisons style ranch. Il est propriétaire du grand ranch Thunderbird là, l'un des plus grands qu'il y a en Arizona.
            Et il a dit : "Toutes ces choses…" Il a dit : "Je - j'ai tellement d'argent que je ne sais qu'en faire."
            Et Dieu lui a donné une belle petite fille, puis un petit garçon, ensuite une petite fille. C'est la raison pour laquelle il n'est pas avec nous ce soir. Le petit bébé est né tout récemment. Sa femme était stérile toutes ces années. Et maintenant, elle enfante, juste…?… faisant. Ô, quelle heureuse famille!
            Et il a dit : "Lorsque je suis venu à Phœnix…" Il a dit : "Je suis allé à la réunion un soir", et il a dit : "Seigneur n'est-ce pas cela l'endroit dont Tu parlais?" Et ensuite, il a dit… venu vers moi. Il a dit : "Frère Branham, vous ne me devez pas un centime. Mais si je peux faire passer votre chapeau, ou plutôt amener votre manteau, je veux participer à la campagne."
            Et j'avais prié pour lui, et Dieu lui a de nouveau restitué la parole. Maintenant, il est guéri, il a un bon foyer, en tout. Il donne au Seigneur les dîmes de tout ce qu'il produit. Oh! la la! Il est vraiment béni. Ainsi, il y a plus…
16.       Eh bien, si vous voulez lui écrire, écrivez simplement à John B Sharrit à Phœnix, en Arizona. Ça lui parviendra. Et demandez-en vous-même le témoignage.
             Eh bien, il imprime des traités et tout, il répand l'Evangile partout. Il sera probablement avec nous bientôt dans la campagne.
            Il y a plus de bonheur à donner qu'à recevoir. Voyez? De…
            Et maintenant, cela ne veut pas dire… Laissez Dieu vous dire ce qu'il faut faire. Voyez? Et lorsque Dieu vous dit que madame Dupont là-bas est veuve, et a besoin de quelques - de quelques habits, et Il vous demande d'aller aider cette veuve, allez l'aider. Vous - vous le faites. Parce que, écoutez mes amis, tout l'argent que nous avons, passera un jour. C'est vrai. Ça n'existera plus, excepté les choses éternelles qui se trouvent dans notre âme. Est-ce vrai?
            Nous sommes venus au monde nus. Nous quitterons le monde nus. Comme Job a dit : "L'Eternel a donné, et l'Eternel a ôté ; que le nom de l'Eternel soit béni!" C'est vrai.
 
 
JEHOVAH-JIRE 1ère PARTIE - Louisville, Mississippi, USA - 02 avril 1964
130.Il y a quelques mois, j'étais là, à Phoenix, avec mon cher ami, John Sharrit. Moi, je vis à Tucson, comme vous le savez. Et alors, j'étais là à Phoenix, avec Frère John Sharrit, un très bon frère       chrétien. Et il était très, très pauvre. Après, le Seigneur l'a béni. Et - et quand j'étais allé pour la première fois à Phoenix, il y a des années, il n'avait pas d'enfants. Et - et il désirait avoir des enfants. Et - et il était pauvre, travaillant là, sur la voie publique, cassant du béton pour vingt-cinq, trente cents l'heure. Et il est venu là, et il a cru chaque Parole du Message. Et il a dit : «Voudriez-vous prier pour moi?» Il a cinq enfants maintenant.
131.Et cela - à part cela, il donne environ trois ou quatre millions de dollars chaque année pour la cause de Christ. Et c'est vrai. J'étais avec lui là-bas, il n'y a pas longtemps, en train de visiter son champ de coton. Il a acheté tout un comté, il a mille cinq cents Mexicains qui en prennent soin. Et, il y a quinze ans, il cassait du béton pour vingt-cinq cents l'heure.
 
AU COMMENCEMENT, IL N’EN ETAIT PAS AINSI - Santa-Maria, Californie, USA - Samedi 30 juin 1962, Petit-déjeuner
15.       Eh bien, maintenant, il y a quelques mois, j’étais en Arizona, chez un précieux ami à moi, John Sharritt. Et il possède beaucoup de plantations d’agrumes. C’était un frère très pauvre, un frère pentecôtiste, et le Seigneur l’a béni. Et aujourd’hui, il possède… Il… Eh bien, il… L’autre jour, je pense, il me disait qu’il avait une plantation de quarante-neuf mille et demi d’hectares de coton et tout, juste ce que… Le Seigneur l’a béni sur le plan financier. Et il roule dans une ancienne Chevrolet aux vitres fumés.
 
LE CHRIST N'EST PAS LE BIENVENU - Chicago, Illinois, USA - 2 octobre 1955
44.      Oh! j'aurais bien voulu être ce laquais, là, à la porte. Si je savais qu'Il allait venir, frère, j'aurais apprêté un bassin d'eau, en attente. Mais avant que je Lui lave les pieds, je dirais : «Seigneur, je ne suis pas digne de laver les... T'adorer après que je T'ai lavé les pieds. Laisse-moi d'abord T'adorer.» Oh! j'aurais aimé faire ça.
            Mais Le voilà assis là, mal accueilli. Pensez-y. Mal accueilli, assis là au coin. Personne ne prêtait attention à Lui. Et le pharisien était trop occupé avec son ami docteur. Il n'avait pas remarqué Jésus assis là dans un coin. Et Il était assis, la tête baissée.
            Vous savez, je pourrais m'imaginer qu'Il ne Se sent jamais très bien accueilli parmi les riches qui ne veulent pas Le recevoir. Il est assis... Il se sent plus à l'aise parmi les gens qui veulent s'humilier.
 
AVOIR SOIF DE LA VIE - Tacoma, Washington, USA - Dimanche 28 juillet 1957, soir
34.      Maintenant, remarquez, cette vie pervertie, c’est le diable qui l’inspire... Cette vie-là devient misérable. Je ne l’ai jamais vue, à tous les niveaux, depuis les riches jusqu’aux pauvres. J’ai eu le privilège d’être dans les palais des rois. De là, je suis allé jusqu’à des habitations les plus basses dans les quartiers des pauvres. Et de ma vie, je n’ai jamais vu un pécheur satisfait. C’est vrai. Il n’y a pas de joie ni de satisfaction en dehors de Jésus-Christ. J’ai vu des hommes très riches au point d’être obligés d’avoir des gardes du corps avec eux. Et j’ai vu des hommes très pauvres au point de quémander du whisky à boire. Que ce soit chez les uns ou chez les autres, il n’y a point de satisfaction dans le péché. Alors, pourquoi appellent-ils ça la vie ? Comment pouvez-vous appeler cela la vie alors que vous cherchez à avoir la Vie ? Ça, ce n’est pas la vie.
 
 
 
LES EVENEMENTS RENDUS CLAIRS PAR LA PROPHETIE - Jeff, Indiana, USA - Dimanche 1er août 1965, soir
30.      Maintenant, cela n’est pas juste exposé à la vue de tous de telle façon que tout le monde puisse le voir. En effet, Jésus a remercié Dieu d’avoir caché cela aux yeux des sages et des intelligents et d’avoir voulu le révéler aux petits enfants qui veulent apprendre. Pensez au Dieu Tout-Puissant demeurant dans Sa propre Parole, avec le pouvoir d’aveugler les riches et les orgueilleux, et – et les érudits instruits, aveugler leurs yeux pour qu’ils ne Le voient pas, et d’ouvrir les yeux des pauvres et des illettrés.
 
SANS ARGENT, SANS RIEN PAYER (LE SALUT SANS RIEN PAYER) - Jeff, Indiana, USA - 02 août 1959
93.      Aujourd'hui, les gens sont si séduits. Ils pensent que s'ils peuvent aller faire leurs prières, payer un prêtre pour qu'il dise quelques prières pour eux, payer leur entrée, s'ils projettent de construire une grande église quelque part, alors un homme riche va parrainer cela, ils continueront à vivre dans la convoitise, en ayant quelqu'un d'autre qui prie pour eux; ils pensent que c'est ce qu'il faut. Dieu ne veut pas de votre sale argent. Tout ce qu'Il veut, c'est votre dévotion et votre vie pour que vous Lui parliez. Dieu vous a donné de l'argent; ne le dépensez pas pour des choses qui ne rassasient pas. Dépensez-le pour des choses qui rassasient. Et pour apporter une vraie satisfaction... Vous ne pouvez l'obtenir à moins que vous ne parliez au Rocher.
 
L’ETAT PRESENT DE MON MINISTERE - Jeff, Indiana, USA - Samedi, 08 septembre 1962, soir
65.      Et pour Démas, un homme de position élevée, d’une grande envergure, cultivé, instruit, et un homme riche qui avait beaucoup d’habits de rechange, «Cet homme, quelque chose n’allait pas chez lui. Il avait tant d’amis qui se seraient arraché les yeux pour les lui donner, et pourtant il était si pauvre qu’il n’avait qu’un manteau. Quelque chose n’allait pas chez Paul.»
66.      Oh! vous savez, cet esprit ne quitte pas le monde, ils ont encore la même chose. L’argent n’est pas Dieu. Il n’y a qu’un seul Dieu, voyez-vous. Mais les gens pensent que parce que vous avez un grand ministère, vous devriez posséder tout ceci et tout cela, et toutes ces grandes choses, et de grandes écoles et de grands ceci et cela. Dieu ne traite pas avec ces choses-là. Ou, du moins, c’est cela mon opinion. Dieu traite avec un individu. Il ne nous a jamais ordonnés d’aller faire de telles choses.
 
ISRAËL DANS SA PATRIE - 29.03.1953 JEFFERSONVILLE,IN
107     Il n'y a pas longtemps, là-bas dans l'ouest, je tenais une réunion. Je suis rentré à la maison pour dîner, avec un vieux rancher, oh, alors que certains membres de sa famille avaient été guéris. Il me fit remettre un chèque là-bas qui m'aurait acheté quarante-cinq tabernacles comme celui-ci, si je l'avais voulu. Je dis: "Je ne veux pas de votre argent!"
108     Howard, mon frère, était avec moi; il dit: "Bill, pourquoi n'as-tu pas accepté ce chèque?"
109     Je dis: "Je ne veux pas de son argent." Laissez-moi vivre jour après jour. Ce n'est pas l'argent que je recherche. Je suis un de ceux qui veulent servir le Seigneur Jésus.
110     Il se tenait là quand cette femme avait été guérie là-bas, les Melikians, en Californie. Vous l'avez vu ici dans le journal de Louisville. Lorsqu'ils vinrent ici, deux de ces agents... apportèrent un million cinq cent mille dollars, et me les offrirent quand j'habitais dans cette cabane de deux pièces. Je dis: "Je ne veux même pas le regarder. Non, monsieur. Non, monsieur." L'amour de l'argent est une racine de tous les maux. Tenez-vous éloigné de ces choses-là.
111     Ce rancher sortait de là, il dit: "Révérend Branham?"
           Je dis: "Oui, monsieur."
           Il dit: "Vous voyez ces montagnes là-bas?"
           Je dis: "Oui, monsieur."
           "À quelle distance pensez-vous qu'elles soient d'ici?"
           Je dis: "Je ne sais pas."
112     Il dit: "Elles sont à cent trente kilomètres." Il dit: "Je possède toute cette étendue et encore bien au-delà. Ce sont mes pâturages."
           Je dis: "Oh, là, là, c'est merveilleux."
113     Il dit: "Je regarde ici en bas. Voyez-vous cette ville?" Il dit: "La banque de cette ville m'appartient; je possède tout ce terrain aux alentours là, et je possède ce terrain ici." Oh, tout ce qu'il possédait!
114     Bien installé, dans sa petite voiture familiale. Je le regardai, un homme très gentil. Je posai ma main sur son épaule, je dis: "Mon frère, je voudrais vous poser une question, à vous."
           Il dit: "Très bien."
115     Je dis: "Regardez donc vers le haut par ici. Combien possédez-vous de ce côté-là?" Voyez-vous?
116     Il dit: "Frère Branham, j'ai bien peur que je n'y possède rien."
117     Je dis:
C'est là que résident mes trésors maintenant."
Pourquoi devrais-je me soucier
D'une tente, ou d'une chaumière, louée?
Ils construisent un palais, pour moi, là-haut,
De rubis, de diamants,
Tout en or, en argent,
Ses coffres sont pleins d'indicibles joyaux.
Oui, monsieur! C'est là que se trouvent les richesses, là-haut. Et là où est votre trésor, là aussi est votre cœur.
118     Un jour, on prélevait une offrande d'amour pour Gypsy Smith. Et lorsque tout le monde se dirigea vers le fond du bâtiment, pour sortir ce soir-là, il y avait une pauvre petite fille en haillons se tenant là. Elle était toute... Ses vêtements qu'elle portait étaient tout déchirés. Elle avait quelque chose, elle dit qu'elle voulait voir Mr. Smith. Ainsi Gypsy Smith dit: "Que veux-tu, ma chérie?"
119     Elle dit: "Mr. Smith, je n'avais pas d'argent à vous donner, mais il y a à peu près un mois, c'était Noël, et quelqu'un m'a donné une sucette. Et je vous aime tellement Mr. Smith!" Elle dit: "Mon papa a été sauvé, il n'est plus un ivrogne maintenant. J'ai pensé vous apporter ce sucre d'orge."
 
SUR TA PAROLE - Connersville, Indiana, USA - 8 juin 1953, soir
6.         Maintenant, non pas qu'elles ne veuillent pas le faire, ces chères personnes seraient - seraient disposées à se couper les bras pour moi, mais je ne voulais tout simplement pas qu'elles le fassent. Ainsi, je sais toujours que l'argent est une faiblesse qui, d'habitude, éloigne les ministres de l'œuvre de Dieu. Ainsi, "l'amour de l'argent est la racine de tous les maux". Ainsi, nous sommes venus ici. Tous les Branham sont des vagabonds et des pauvres au possible. Je désire être comme les autres Branham.
            Il n'y a pas longtemps, un homme allait me donner une voiture Cadillac, là-bas en Californie. Sa femme avait été guérie d'un cancer, et il m'a dit : "Bien, Frère Branham, nous vous offrons une Cadillac Avack." Il a dit : "Nous irons simplement là-bas vous en acheter une."
            J'ai dit : "Merci, frère. Ma vieille camionnette Chevrolet est encore en très bon état", ai-je dit. On m'a offert une Pontiac, et chaque fois je n'ai cessé de la retourner, et ainsi on... Il a dit : "Je... Nous voulons que vous ayez une Cadillac."
7.         J'ai dit : "Ne serais-je donc pas remarquable en traversant l'Arkansas à bord d'une grosse Cadillac, alors que les miens viendraient là vers moi, de pauvres vieilles femmes là-bas à moitié mortes, souffrant de maux de dos et de troubles féminins, traînant un sac de coton à travers le champ comme cela, traînant derrière elles environ 50 livres [22,68 kg - N.D.T],100livres [45,36 kg - N.D.T] de coton - peut-être qu'elles ont pris du lard gras et du pain de maïs comme déjeuner et elles diraient : 'Oh! Voilà Frère Branham qui passe en Cadillac!'" Cela - cela ne me paraît pas juste.
            Eh bien, si vous avez une Cadillac, c'est très bien, comprenez-moi, vous voyez, mais je parle simplement de moi-même.
            Je me rappelle que je m'étais rendu à une convention, l'une des conventions de la "Voix de la guérison". Je m'étais arrêté. Voici qu'un homme se tenait là avec une très grosse Packard fabriquée sur commande. Une autre personne avait là une Lincoln; et moi, j'avais une vieille Chevrolet modèle 35. Je vous assure qu'au milieu de ces grosses voitures, elle faisait tache. Néanmoins, elle m'a amené là-bas, tout autant que les leurs. Je suis quand même arrivé là-bas.
            Ainsi, je n'oublie pas le prélèvement de cette offrande-là. Je me rendis là-bas et le vieux frère Wisehart - que son âme soit bénie, il est ce soir dans la gloire - un vieux diacre, un homme âgé, était là. J'ai dit: "Je vais prélever une offrande. Je veux que vous le fassiez. J'ai quelque chose..."
 
LE PECHE IMPARDONNABLE - Jeff, Indiana, USA - Dimanche 24 octobre 1954, soir
102.    J'ai connu la crise économique, j'ai connu la prospérité, j'ai vu tout cela, mais je ne lâcherai pas la main de Jésus-Christ pour tout l'argent, pour toute la richesse et tout, qu'on peut s'amasser sur terre. Il est mon Ami lorsque je suis fauché, Il est mon Ami lorsque je suis dans l'abondance. Je L'aime lorsque je suis affamé, je L'aime lorsque je suis rassasié. Je L'aime lorsque je suis dans la tristesse, je L'aime lorsque je suis heureux. Je L'aime parce que je L'aime, parce qu'Il m'aima le premier. Amen! Alléluia!
 
ECOUTER SA VOIX - Jeffersonville, Indiana, USA - 05 octobre 1958, matin
54.      Considérez Esaïe, le prophète. En tant que jeune homme, il avait fait cela. Le grand roi préféré en ce temps-là, Ozias, un homme juste, un homme bon, aimait Esaïe, car il savait que celui-ci était prophète. Alors, Esaïe s'appuyait sur le roi. Tout ce qu'il désirait, eh bien, Ozias le lui procurait. Et chaque fois qu'il désirait quelque chose, eh bien, le bon roi le lui procurait.
            Mais il arriva que le roi mourut. La prospérité ruine toujours les gens. C'est dur comme déclaration. Mais la prospérité éloigne l'homme de Dieu. Dieu a dit à un endroit dans la Bible quelque chose dans ce sens, Il a dit : « Quand Je t'ai béni, et que Je t'ai donné beaucoup de choses... Quand tu étais pauvre et que tu n'avais rien, Je suis venu vers toi et tu M'écoutais et Me servais. Mais quand Je t'ai béni et t'ai donné plein de choses, alors tu as détourné ta tête de Moi. »
 
LA TEMPETE APPROCHE - Phoenix, Arizona, USA - Lundi 29 février 1960
96.      Aujourd'hui les gens semblent être très à l'aise dans le péché, puisqu'ils possèdent une nouvelle voiture, parce qu'ils peuvent prendre trois repas par jour, et dormir dans un lit propre. Cela est merveilleux. Cela peut être cependant une bonne chose, mais lorsque la prospérité vient comme cela, on oublie Dieu. Je pense que nous avons été tellement... Nous les prédicateurs et nous les chrétiens, nous nous sommes trop préoccupés du - du programme de construction de nos églises, et d'avoir une meilleure église, ou quelque chose comme cela, ou une plus grande église, de meilleurs bancs, ou bien, vous savez comment et ce que je veux dire. Et nous avons oublié l'essentiel : le jugement, la justice, la puissance du Saint-Esprit, la résurrection, le jugement éternel.
 
ELIE ET L'OFFRANDE DE FARINE - Phoenix, Arizona, USA - Jeudi 10 mars 1960, soir
30.      Et le pays prospérait; et ils pensaient que la prospérité était un signe que Dieu était avec eux. Ce n'est pas tout à fait vrai. Dieu vient vers vous...
31.      Il y a un vieux proverbe, un proverbe impie qui dit : "Aide-toi et le Ciel t'aidera." Cela est une injure pour Dieu! Dieu aide ceux qui ne peuvent pas s'aider. Il est le Dieu de ceux qui ont besoin de miséricorde. Et Il est un Dieu miséricordieux. Et ce proverbe dit : "Aide-toi et le Ciel t'aidera!" Si vous pouvez vous aider, vous n'avez pas besoin de Son aide. Mais Il aide ceux qui ne peuvent pas s'aider.
 
ABANDONNANT TOUT - Tempe, Arizona, USA - Jeudi 23 janvier 1962, soir
21.      Eh bien, vous voyez, à ce jeune homme il avait été demandé de tout abandonner, mais il a refusé de le faire. Et parfois, si nous considérons la prospérité, les richesses, ainsi de suite, le succès… Mais ce jeune homme, c'est un jeune homme qui avait réussi, mais qui n'avait pourtant pas la Vie éternelle. Ainsi, parfois le succès ne signifie toujours pas que Dieu a béni.
 
PRESUMER - Cleveland, Tennessee, USA - Dimanche 08 avril 1962, matin
40.      C'est pareil pour nos pentecôtistes ; une grande partie d'entre eux renie la guérison divine et tout le reste. Vous voyez ? Le pire traitement que j'aie subi à propos de la - à propos de la guérison divine, c'était de la part des ministres pentecôtistes. Eh bien, je - j'avais loué un dépôt d'armes dans une certaine ville, et je n'avais pas suffisamment de sièges pour y faire asseoir les gens. Et ces pauvres gens qui venaient des ces collines de l'Arkansas, de partout, venaient à la réunion.
            Et je suis parti à l'une des plus grandes organisations du - du mouvement pentecôtiste. Et c'était… Eh bien, le thermomètre spirituel était à 90° en dessous de zéro [- 67° celcius - N.D.T.] Eh bien, il vous fallait voir cela. Cet homme avait environ trois cents bancs. Ils avaient construit une belle et grande église. Evidemment, les gens pensent que la prospérité est un signe de bénédiction spirituelle. C'est tout à fait le contraire.
            Et je lui ai demandé, j'ai dit : " Puis-je avoir ces sièges ? Je vous paierai tant pour cela. "
            Il a dit : " Je ne permettrai à personne qui croit à la guérison divine de s'asseoir sur mes sièges. " Voilà le pentecôtiste !
41.      A Kingston, en Jamaïque, au champ de courses, l'année dernière, là où le Seigneur était en train de bénir, il y avait là un ministre pentecôtiste. Et j'étais avec des Hommes d'Affaires Chrétiens. Et j'ai dit : " Hier soir, nous avions, assis là, des hommes d'affaires venant de Cuba, de Haïti, et des îles avoisinantes. Et vous, qu'avez-vous… " J'ai dit : " J'ai honte de vous. De quoi avez-vous parlé ? D'un parc de Cadillacs. "
            " J'étais un tout petit homme dans les affaires là au coin. Gloire à Dieu ! Alléluia ! Le Seigneur m'a donné ceci, le Seigneur a béni ceci, et le Seigneur a béni cela. "
            J'ai dit : " Ces hommes étaient assis et se regardaient l'un l'autre. " J'ai dit : " Je suis avec vous depuis assez longtemps pour que vous sachiez que je connaissais leurs cœurs. Le Seigneur m'a permis de connaître cela. J'ai vu ce qu'ils pensaient. Qu'est-ce que vous leur racontez ? Ils sont membres de ces morgues très formalistes, et ils prospèrent ; ce sont des millionnaires. "
            J'ai dit : " En quoi êtes-vous différents ? Vous vous vantez toujours de ce que vous possédez, de la quantité que vous avez accumulé dans tel espace de temps. " J'ai dit : " Combien c'est différent des pentecôtistes du début ! Eux vendaient tout ce qu'ils avaient et le donnaient aux pauvres. " J'ai dit : " Vous, vous faites le contraire. Ces gens savent très bien ce que c'est être riche. Ils veulent trouver quelque chose qui satisfait et dans lequel il y a la Vie. "
42.      Ce soir-là, sur le terrain, à l'endroit où je parlais aux gens, pendant que je les avais là et que je leur en parlais, un petit monsieur s'est approché de moi et m'a dit : " Combien vous êtes dans l'erreur ! "
            J'ai dit : " Dans l'erreur ? "
            Il a dit : " Oui, monsieur, lorsque vous avez fait cette déclaration sur les pentecôtistes d'autrefois, comment les gens vendaient tout ce qu'ils avaient. " Il a dit : " C'était la pire des choses qu'ils aient faites. "
            Je me suis dit : " Combien vous pouvez devenir matérialiste ! " Vous voyez ?
 
L’INFLUENCE - Phoenix, Arizona, USA - Samedi 12 janvier 1963, matin
27…Lorsque vous les femmes, vous commencez à avoir envie d’être comme les autres femmes, il y a quelque chose qui cloche. Lorsque vous les hommes, vous les prédicateurs… vous cherchez à devenir comme un… à imiter quelqu’un d’autre, lorsque vous les hommes d’affaires, vous cherchez à faire les affaires en imitant quelqu’un d’autre parce qu’il prospère… La prospérité ne signifie pas toujours le succès en Christ, parfois c’est bien le contraire. Voyez-vous?
 
LA MANIERE D’UN VRAI PROPHETE - Phoenix, Arizona, USA - Samedi 19 janvier 1963, soir
49.      Et généralement, la prospérité entraîne le péché. Beaucoup de gens considèrent la prospérité comme des bénédictions. Elle pourrait l’être si nous pouvions bien la gérer. Mais généralement, elle mène au péché et déshonore Dieu.
128.    Rien que parce qu’ils prospéraient! C’est là que nous commettons une erreur. La prospérité n’est pas un signe de la bénédiction spirituelle. C’est vrai. Elle ne l’est pas du tout. Parfois, la prospérité constitue un obstacle.
 
ZACHEE, L'HOMME D'AFFAIRES - Tucson, Arizona,USA - Lundi 21 janvier 1963, soir
34.      Nous voyons donc que cet homme ne croyait pas cela, ce petit homme d'affaires de la ville de Jéricho. Il avait une affaire importante et il pensait que ça allait bien pour lui. Et il avait la faveur des sacrificateurs et de la synagogue. Il avait la faveur des églises, et des Kiwanis, et - et de beaucoup d'organisations de ce jour-là, comme nous le dirions. Cependant cela ne veut toujours pas dire avoir la faveur de Dieu.
La prospérité ne signifie pas toujours que c'est Dieu. Quelquefois, c'est l'inverse. Dieu a dit... quand tu étais dans les champs (parlant d'Israël) dans son propre sang, elle était alors disposée à Le servir. Mais quand elle s'est suffie (c'est ce qu'elle pensait), alors elle ne voulait plus rien avoir avec Lui, elle Lui a tourné le dos.
 
 
DIEU SE CACHE DANS LA SIMPLICITE - Albuquerque, New Mexico, USA - Vendredi 12 avril 1963, soir
204.    Saint François, et saint… Et ces grands réformateurs de l’époque primitive ainsi que ces hommes de cette époque-là; oh! comme ils enseignaient le baptême du Saint-Esprit ! Oh ! comme saint Martin, Irénée, ces grands hommes, ont enseigné le baptême du Saint-Esprit ! Ils ne permettaient pas à leurs fidèles d’être dans l’aisance et de s’asseoir sur des bancs en peluche et autres, comme nous le faisons aujourd’hui. Et pourtant, nous, nous appelons cela une église prospère. Les hommes considèrent parfois la prospérité comme une religion.
205.    En Californie, on dit : « Un homme n’est spirituel que s’il peut avoir trois Cadillac. » A mon avis, c’est alors qu’il s’éloigne de Dieu. C’est vrai. L’Eglise pentecôtiste d’aujourd’hui agit certainement de façon différente de l’Eglise pentecôtiste primitive.
206.    Une fois, je parlais chez les Hommes d’Affaires Chrétiens là-bas, je ne sais pas comment ils m’ont fait revenir. Je pense que c’est parce qu’ils m’aiment. Mais je – je – je ne…
207.    Je leur dis simplement ce que je – je sais que le Seigneur a dit. Je ne le dis pas pour faire le malin. Si c’est le cas, il me faudrait m’agenouiller là à l’autel. Je le dis parce que je les aime. Je les respecte.
208.    Un soir, là-bas, ils témoignaient devant les hommes d’affaires du monde, disant combien de Cadillac ils ont et ce que sont leurs petites affaires. J’ai dit : «Ces hommes n’ont pas besoin de ça. Parlez-leur de l’humilité de Christ.» J’ai dit : «Vous êtes de loin différents de l’Eglise pentecôtiste primitive. Eux vendaient tout ce qu’ils avaient, ils le donnaient aux pauvres, et ils s’en allaient prêcher l’Evangile.» J’ai dit : « Vous, vous cherchez à dire combien vous avez prospéré, combien vous avez.» Il n’est pas question de combien vous avez, mais de combien vous pouvez vous en débarrasser !
 
DIEU NE FAIT PAS VENIR UN HOMME EN JUGEMENT SANS L'AVOIR PREMIEREMENT AVERTI (AVERTISSEMENT, PUIS JUGEMENT) - Jeff, Indiana, USA - Mercredi 24 juillet 1963,soir
87.      Et maintenant, nous voyons que cet Amos, il a certainement prédit le jugement qui tomberait sur ce peuple si celui-ci ne se repentait pas. (Et - et, oh! la la, cela correspond si - si bien à notre jour.) Je pense que cette grande ville, comme je la revois au travers de celle-ci, la grande ville là-bas, comment elle s'était complètement livrée, et - et elle avait élaboré un grand système pour tout, elle était prospère. Et les gens pensaient qu'ils étaient tout à fait dans la volonté du Seigneur, parce qu'ils prospéraient. Mais ils ont découvert que Dieu n'est pas toujours l'auteur de la prospérité. Non, Dieu… Parfois, quand la prospérité entre dans les églises, celles-ci s'éloignent de Dieu.
 
L'AMNESIE SPIRITUELLE - Birmingham, Alabama, USA - Samedi, 11 avril 1964
5. Maintenant, je voudrais parler sur " L'amnésie spirituelle ". Eh bien, c'est de ce petit homme, Amos, que nous allons parler juste pour quelque temps afin d'avoir notre arrière-plan avant que nous arrivions au sujet. Ceci se passe pendant le temps de la grande prospérité de la Samarie. Israël était prospère. Ils avaient réellement suivi le monde et ils étaient prospères. La prospérité n'est pas toujours le signe d'une bénédiction spirituelle, mais parfois c'est le contraire. Les gens pensent peut-être que vous devez posséder beaucoup de biens terrestres pour montrer que Dieu vous bénit. Cela n'est pas vrai. Parfois c'est l'inverse.
 
DIEU CHANGE-T-Il DE PENSEE AU SUJET DE SA PAROLE? - Jeff, Indiana, USA - Dimanche 18 avril 1965, soir
187. Vous dites: «On ne peut croire cela sur base de la prospérité?» Vous ne pouvez pas juger Dieu d’après la prospérité; le monde prospère. Balaam a prospéré par ce moyen, mais, frère, c’est par Sa Parole qu’on juge Dieu. Il tient Sa Parole et L’identifie comme étant la Vérité. Rappelez-vous donc, mon ami, tant que vous êtes en vie, n’oubliez jamais ceci: Dieu ne change pas Sa pensée. Il vous bénira néanmoins. Il vous laissera aller avec Sa volonté permissive, mais il ne changera pas Sa pensée. Il ne changera pas Son plan. Il ne changera pas Sa Parole pour vous. Certainement pas! C’est vous qui devez changer. Vous ne pouvez pas prendre la Parole de Dieu pour La faire concorder avec votre expérience; vous devez prendre votre expérience et la faire concorder avec la Parole de Dieu. Vous voyez?
 
L’ETERNEL N’A-T-IL PARLE QU’A MOÏSE ? - West Palm Beach, Floride, USA - Lundi 30 novembre 1953, soir
11.      Vous savez, autrefois on disait que le diable est sorti de la mode, mais qu’il n’a pas laissé les affaires. C’est vrai. Il est toujours dans les affaires, seulement il est bien plus rusé aujourd’hui qu’auparavant; de même que les gens sont rusés, de même le diable l’est aussi ; il est entré furtivement en plein dedans. Voyez-vous ?
 
ISRAËL DANS SA PATRIE - 29.03.1953 JEFFERSONVILLE,IN
107     Il n'y a pas longtemps, là-bas dans l'ouest, je tenais une réunion. Je suis rentré à la maison pour dîner, avec un vieux rancher, oh, alors que certains membres de sa famille avaient été guéris. Il me fit remettre un chèque là-bas qui m'aurait acheté quarante-cinq tabernacles comme celui-ci, si je l'avais voulu. Je dis: "Je ne veux pas de votre argent!"
108     Howard, mon frère, était avec moi; il dit: "Bill, pourquoi n'as-tu pas accepté ce chèque?"
109     Je dis: "Je ne veux pas de son argent." Laissez-moi vivre jour après jour. Ce n'est pas l'argent que je recherche. Je suis un de ceux qui veulent servir le Seigneur Jésus.
110     Il se tenait là quand cette femme avait été guérie là-bas, les Melikians, en Californie. Vous l'avez vu ici dans le journal de Louisville. Lorsqu'ils vinrent ici, deux de ces agents... apportèrent un million cinq cent mille dollars, et me les offrirent quand j'habitais dans cette cabane de deux pièces. Je dis: "Je ne veux même pas le regarder. Non, monsieur. Non, monsieur." L'amour de l'argent est une racine de tous les maux. Tenez-vous éloigné de ces choses-là.
111     Ce rancher sortait de là, il dit: "Révérend Branham?"
           Je dis: "Oui, monsieur."
           Il dit: "Vous voyez ces montagnes là-bas?"
           Je dis: "Oui, monsieur."
           "À quelle distance pensez-vous qu'elles soient d'ici?"
           Je dis: "Je ne sais pas."
112     Il dit: "Elles sont à cent trente kilomètres." Il dit: "Je possède toute cette étendue et encore bien au-delà. Ce sont mes pâturages."
           Je dis: "Oh, là, là, c'est merveilleux."
113     Il dit: "Je regarde ici en bas. Voyez-vous cette ville?" Il dit: "La banque de cette ville m'appartient; je possède tout ce terrain aux alentours là, et je possède ce terrain ici." Oh, tout ce qu'il possédait!
114     Bien installé, dans sa petite voiture familiale. Je le regardai, un homme très gentil. Je posai ma main sur son épaule, je dis: "Mon frère, je voudrais vous poser une question, à vous."
           Il dit: "Très bien."
115     Je dis: "Regardez donc vers le haut par ici. Combien possédez-vous de ce côté-là?" Voyez-vous?
116     Il dit: "Frère Branham, j'ai bien peur que je n'y possède rien."
 
LA DISLOCATION DU MONDE - 15.11.1963 NEW-YORK, NY, USA
 35      Que dire si je venais ici avec toute cette grande obligation, et si le Saint-Esprit m'envoyait quelque part dans une petite église pour en prendre soin, où peut-être je devrais gagner des centaines de dollars par jour! Ils ne pourront pas le faire. Mais voyez-vous, je n'ai besoin de rien d'autre que d'un peu plus de Dieu. Je--je ne le peux pas. Ainsi s'Il m'appelle quelque part, peu importe où que ce soit, s'il y a dix personnes ou... Et j'ai prêché à cinq cent mille en une fois. Ainsi donc, n'importe quand que cela arrive, quelqu'un met... Dieu met cela sur leur coeur et qu'ils viennent tout autour et disent: «Vous savez, le Seigneur a dit que vous irez quelque part et voici un chèque pour cela.» C'est cela, par la foi, vous voyez, car Il sait de quoi nous avons besoin. Vous voyez! Et ainsi j'aime seulement vivre comme cela.
36       Et ensuite autre chose, vous savez, je crois quand nous allons à certains endroits. Beaucoup de gens qui viennent à mes réunions sont des pauvres comme je le suis moi-même, et je veux rester comme ils sont. Serait-il juste pour un prédicateur de circuler tout en ayant avec lui quelque chose de tout grand comme cela, vous savez, et des dizaines de milliers de dollars, les gaspillant par-ci et par-là; et une certaine pauvre femme se traînant avec un sac de coton sur son dos; qui ramasserait du coton pour environ trois dollars par jour, se nourrissant de la graisse et du pain de maïs! Non. Je ne peux pas supporter cela, vous voyez. Christ était le propriétaire de la terre, mais n'avait pas un endroit où reposer Sa tête; «Les renards ont des tanières.» Et Il était notre exemple. Il était ce qu'Il était censé être.
 
LE SEUL LIEU D'ADORATION AUQUEL DIEU A POURVU - Shreveport, Louisiane, USA - Dimanche 28 novembre 1965, matin
45.      Je n'ai pas pu remercier l'homme qui a payé notre - notre dîner à cet hôtel - ou à ce restaurant l'autre soir. Ma femme et moi, ainsi que ma fillette, nous étions là-bas, et quand je suis allé payer l'addition, quelqu'un l'avait déjà payée. Qui que vous soyez, je vous remercie. On m'a dit: "C'est l'homme qui est assis à l'extrémité du banc." Naturellement, il y avait là tout un groupe de gens que nous connaissions. Maintenant, je... C'est un restaurant genre Kickapoo [Indien du Kansas, Oklahoma et du Mexique - N.D.T.] quelque chose de ce genre, cet endroit-là, ce restaurant où nous étions. Qui que ce soit qui a fait cela, je vous remercie. Que Dieu vous bénisse, chacun de vous.
 
 
Edition 2005
 
 
 
QUE DIEU VOUS BENISSE 

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COMMUNIQUE ET INFO

NOS JOURS ET HEURES DE CULTE : Mercredi : de 16 h 00 à 18 h 30 Dimanche: de 9 h 00 à 13 h 00 de 17 h 00 à 18 h 30 Avenue Eperviers n°14, Quartier Plateau, Ville de Mbandaka / Equateur / RDC. Notre centre d'activité: Mission Phoenix sise Parc Joseph Kabila, Ville de Mbandaka ( en face de la Banque Centrale du Congo) / Equateur / RDC

Lien vers http://www.nouvellenaissance.com

LES EVENEMENTS RENDUS CLAIRS PAR LA PROPHETIE. 06.12.1965 (San Bernadino, Cal. U.S.A.) Page 37-38 : Puis nous voyons ces Sept Anges qui sont descendus sur le sommet de cette montagne, en Arizona, événement qui fut annoncé à travers tous les pays du monde, par les journaux. Oh, voir Jésus Lui-même dans les cieux, regardant au-dessous de Lui, et disant que le message du septième Ange (selon Apocalypse 10 :7), ces Sceaux seraient brisés et les mystères de Dieu révélés ! Les réformateurs n’ont pas vécu assez longtemps pour révéler cela, et ici, ces sept Sceaux qui ont scellé le tout doivent être ouverts en ce jour. Oh, voir tous ces grands signes et tous ces miracles qui ont été faits, lesquels ont confirmé ce qui avait été écrits et prédit – et voir qu’Il n’a jamais failli à Sa promesse, mais qu’Il a toujours accompli selon ce qui avait été écrit !

DIEU SE CACHE ET SE RÉVÈLE DANS LA SIMPLICITÉ - M17.03.1963 JEFF, IN 90 pour que nous puissions apporter consolation et foi au peuple, qui est dans l’attente, dans l’attente de la Venue de l’Époux, pour vêtir une Épouse de l’Évangile de Christ, afin que le Seigneur Jésus puisse La recevoir.

 
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