DIMES ET OFFRANDESDIMES ET OFFRANDES PREFACE
Le Paiement des dîmes et des offrandes est un devoir pour tout chrétien. Et l’utilisation de ces
Fonds ne cesse de susciter des problèmes dans nos églises établies.
Dans le souci de faire avancer le Royaume de Dieu pour la perfection de Son Epouse en ces
Derniers jours, nous avons mis dans ce traité quelques passages de la Bible et déclarations du
Message du temps de la fin par le prophète WILLIAM MARRION BRANHAM, concernant
le Paiement et l’Utilisation des Dîmes, des Offrandes, de dîme de la dîme dans l’Eglise du
Dieu Vivant. Nous croyons ainsi mettre à la disposition du Corps de Christ un outil de travail
Capable de nous aider à résoudre des problèmes qui pourraient encore survenir.
Que Dieu vous bénisse !
Genèse 14 : 18-20
Melchisédech, roi de Salem, fit apporter du pain et du vin : Il était sacrificateur du Dieu Très –Haut. Il bénit Abram, et dit : Béni soit Abraham par le Dieu Très - Haut, maître du ciel et de la terre ! Béni soit le Dieu Très – Haut, qui a livré tes ennemis entre tes mains ! Et Abraham lui donna la dîme de tout.
Deutéronome 14:22
22 Tu lèveras la dîme de tout ce que produira ta semence, de ce que rapportera ton champ chaque année.
23 Et tu mangeras devant l`Éternel, ton Dieu, dans le lieu qu`il choisira pour y faire résider son nom, la dîme de ton blé, de ton moût et de ton huile, et les premiers-nés de ton gros et de ton menu bétail, afin que tu apprennes à craindre toujours l`Éternel, ton Dieu.
24 Peut-être lorsque l`Éternel, ton Dieu, t`aura béni, le chemin sera-t-il trop long pour que tu puisses transporter ta dîme, à cause de ton éloignement du lieu qu`aura choisi l`Éternel, ton Dieu, pour y faire résider son nom.
25 Alors, tu échangeras ta dîme contre de l`argent, tu serreras cet argent dans ta main, et tu iras au lieu que l`Éternel, ton Dieu, aura choisi.
2Chroniques Chapitre 31:5
5 Lorsque la chose fut répandue, les enfants d`Israël donnèrent en abondance les prémices du blé, du moût, de l`huile, du miel, et de tous les produits des champs; ils apportèrent aussi en abondance la dîme de tout
Genèse 28 : 10-22 :
Jacob partit de Beer-Schéba, et s’en alla à Charan. Il arriva dans un lieu où il passa la nuit ; car le soleil était couché. Il y prit une pierre, dont il fit son chevet, et il se coucha dans ce lieu –là.
Il eut un songe. Et voici, une échelle était appuyée sur la terre, et son sommet touchait au ciel. Et voici, les anges de Dieu montaient et descendaient par cette échelle.
Et voici, l’Eternel se tenait au-dessus d’elle ; et il dit : Je suis l’Eternel, le Dieu d’Abraham, ton père, et le Dieu d’Isaac. La terre sur laquelle tu es couché, Je la donnerai à toi et à ta postérité.
Ta postérité sera comme la poussière de la terre ; tu t’étendras à l’occident et à l’orient, au septentrion et au midi ; et toutes les familles de la terre seront bénies en toi et en ta postérité.
Voici, Je suis avec toi, je te garderai partout où tu iras, et je te ramènerai dans ce pays ; car je ne t’abandonnerai point, que je n’aie exécuté ce que je te dis.
Jacob s’éveilla de son sommeil et il dit : Certainement, l’Eternel est en ce lieu, et moi, je ne le savais pas !
Et Jacob se leva de bon matin ; il prit la pierre dont il avait fait son chevet, il la dressa pour monument, et il versa de l’huile sur son sommet.
Il donna à ce lieu le nom de Béthel ; mais la ville s’appelait auparavant Luz.
Jacob fit un vœu, en disant : Si Dieu est avec moi et me garde pendant ce voyage que je fais, s’il me donne du pain à manger et des habits pour me vêtir,
Et si je retourne en paix à la maison de mon père, alors l’Eternel sera mon Dieu ;
Cette pierre, que j’ai dressée pour monument, sera la maison de Dieu ; et je te donnerai la dîme de tout ce que tu me donneras.
Lévitique 27 : 30-32 :
Tout dîme de la terre, soit des récoltes de la terre, soit du fruit des arbres, appartient à l’Eternel.
Si quelqu’un veut racheter quelque chose de sa dîme, il y ajoutera un cinquième.
Toute dîme de gros et menu bétail de tout ce qui passe sous la houlette, sera une dîme consacrée à l’Eternel.
Nombres 18 :20-21.
L’Eternel dit à Aaron : Tu ne posséderas rien dans leur pays, et il n’y aura point de part pour toi au milieu d’eux ; c’est moi qui suis ta part et ta possession, au milieu des enfants d’Israël.
Je donne comme possession aux fils de Lévi toute dîme en Israël, pour le service qu’ils font, le service de la tente d’assignation.
Deutéronome 12 : 5-6, 11 :
Mais vous Le chercherez à Sa demeure, et vous irez au lieu que l’Eternel, votre Dieu, choisira parmi toutes vos tribus pour y placer son nom.
C’est là que vous présenterez vos holocaustes, vos sacrifices, vos dîmes, vos prémices, vos offrandes en accomplissement d’un vœu, vos offrandes volontaires, et les premiers-nés de votre gros et de votre menu bétail.
Alors il y aura un lieu que l’Eternel, votre Dieu, choisira pour y faire résider son nom. C’est là que vous présenterez tout ce que je vous ordonne, vos holocaustes, vos sacrifices, vos dîmes, vos prémices, et les offrandes choisies que vous ferez à l’Eternel pour accomplir vos vœux.
Proverbes 3 : 9-10 :
Honore l’Eternel avec tes biens, Et avec les prémices de tout ton revenu :
Alors tes greniers seront remplis d’abondance,
Et tes cuves regorgeront de moût.
Malachie3 : 8-12 :
Un homme trompe-t-il Dieu ? Car vous me trompez,
Et vous dites : En quoi t’avons nous trompé ?
Dans les dîmes et les offrandes.
Vous êtes frappés par la malédiction,
Et vous me trompez,
La nation tout entière !
Apportez à la maison du trésor toutes les dîmes,
Afin qu’il y ait de la nourriture dans ma maison ;
Mettez-moi de la sorte à l’épreuve,
Dit l’Eternel des armées.
Et vous verrez si je n’ouvre pas pour vous les écluses des cieux,
Si je ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance.
Pour vous Je menacerai celui qui dévore,
Et il ne vous détruira pas les fruits de la terre,
Et la vigne ne sera pas stérile dans vos campagnes,
Dit l’Eternel des armées.
Toutes les nations vous diront heureux, car vous serez un pays de délices,
Dit l’Eternel des Armées.
LUC 11 : 42 :
Malheur à vous, pharisiens : parce que vous payez la dîme de la menthe, de la rue et de toutes les herbes, et que vous négligez la justice et l’amour de Dieu. C’est là ce qu’il fallait pratiquer, sans omettre les autres choses.
HEBREUX 7 : 1-10 :
En effet, ce Melchisédek était Roi de Salem, Sacrificateur du Dieu Très - Haut ; Il alla au-devant d’Abraham lorsqu’il revenait de la défaite des rois, Il le bénit,
Et Abraham Lui donna la dîme de tout ; Il est d’abord Roi de justice, d’après la signification de Son Nom, ensuite Roi de Salem, c’est-à-dire Roi de paix ; Il est sans père, sans mère, sans généalogie, Il n’a ni commencement de jours ni fin des vie, mais il est rendu semblable au Fils de Dieu ; ce Melchisédek demeure Sacrificateur à perpétuité.
Considérez combien est grand Celui auquel le patriarche Abraham donna la dîme du butin.
Ceux des fils de Lévi qui exercent le sacerdoce ont, d’après la loi, l’ordre de lever la dîme sur le peuple, c’est-à-dire sur leurs frères, qui cependant sont issus des reins des reins d’Abraham ; et lui, qui ne tirait pas d’eux son origine, Il leva celui qui avait les promesses. Or, c’est sans contredit l’inférieur qui est béni par le supérieur. Et ici, ceux qui perçoivent la dîme sont des hommes mortel ; mais là, c’est dont il est attesté qu’Il est vivant.
De plus, Lévi, qui perçoit la dîme, l’a payée, pour ainsi dire, par Abraham ; car il était encore dans rein de son père, lorsque Melchisédek alla au-devant d’Abraham.
Chapitre1 : LE PAYEMENT DES DIMES ET DES OFFRANDES.
REFLECHISSONS SUR NOS VOIES. – 06.07.1959.
(Cleveland, Tennessee, U.S.A.)
§11 : … L’argent c’est une saleté aux yeux de Dieu, s’il n’est pas utilisé pour Son Royaume où a une certaine bonne cause.
SANS ARGENT, SANS RIEN PAYER - 02.08.1959 JEFFERSONVILLE, IN, USA
93 : Aujourd’hui, les gens sont si séduits. Ils pensent que s’ils peuvent aller faire leurs prières, payer un prêtre pour qu’il dise quelques prières pour eux, payer leur entrée, s’ils projettent de construire une grande église quelque part, alors un homme riche va parrainer cela, ils continueront à vivre dans la convoitise, en ayant quelqu’un d’autre qui prie pour eux; ils pensent que c’est ce qu’il faut. Dieu ne veut pas de votre sale argent. Tout ce qu’Il veut, c’est votre dévotion et votre vie pour que vous Lui parliez. Dieu vous a donné de l’argent; ne le dépensez pas pour des choses qui ne rassasient pas. Dépensez-le pour des choses qui rassasient. Et pour apporter une vraie satisfaction... Vous ne pouvez l’obtenir à moins que vous ne parliez au Rocher.
LA PRESENCE DE DIEU NON RECONNUE. –18.06.1964.
(Auditoire Municipal)
§158 : Voici une autre chose que je veux- que je ne veux pas laisser de côté. Elle dit ceci : ‘’Je vais partir là-haut, et je vais prendre de l’argent, je vais prendre quelque dons. Et si c’est la Vérité, je vais supporter cela. Si ce n’est pas la vérité, alors je peux ramener mon argent.’’
§159 : Cette femme pouvait enseigner les pentecôtistes. Oui, Monsieur. Ils supportent ces choses-là du dehors, qui se rient et se moquent de la guérison divine, et pourtant vous supportez les programmes de radio plutôt que votre propre église, c’est juste, et vous riez et vous vous moquez des choses mêmes auxquelles vous croyez.
§160 : Mais elle dit : ‘’J’emmènerai cela. Et si ce n’est pas juste, je peux le ramener.’’
UN PROPHETE QUI ROUGIT. –25.11.1956
(Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§34 : …Nous devons prêcher l’Evangile et appeler nos couleurs à l’œuvre. C’est juste. Je ne vous donnerais pas une pièce de 10 cents pour tout programme qui ne prendrait pas Dieu en considération, qu’il s’agisse de l’O.N.U., de ‘’big-four’’, ou de quoi que ça puisse être.
LE DISCERNEMENT DE L’ESPRIT. -- 08.03.1960.
(Phx. Az . U.S.A.)
§18 : Chaque homme devrait avoir une église où il se sente chez lui [anglais : a church home- trad.]. Vous devriez avoir un endroit, et non pas simplement flotter çà et là, mais avoir un endroit où vous allez à l’église et vous l’appelez votre église, un endroit où vous payez votre dîme, et un endroit où vous aidez à soutenir la Cause. Faites votre choix, mais alors ne coupez jamais la communion avec cet autre homme parce qu’il n’appartient pas à votre groupe. Vous voyez ? Discernez son esprit et voyez s’il a le même but dans le cœur, et alors vous avez la communion l’un avec l’autre. Vous travaillez pour une grande Cause. C’est la Cause de Christ. Je crois que c’est parfaitement vrai.
QUESTIONS ET REPONSES. – 15.10.1961(Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§176-181 : Question n°161 :
Serait-il faux d’utiliser la dîme pour les fonds de construction de l’église ?
Eh bien, voici maintenant un petit point délicat pour l’église. Non. En principe la dîme va au pasteur (ministre) c’est exact. Dans la Bible ils avaient une boite qu’ils avaient placé à la porte dans l’Ancien Testament, quand la… construction. Cette boite était une caisse dans laquelle les gens mettaient l’argent pour les réparations…
Vous avez lu cela plusieurs fois dans l’Ancien Testament. Ils assuraient la maintenance des bâtiments et des choses comme cela… Toutes les réparations du bâtiment se faisaient par ce fonds. Mais un dixième de cela allait… un dixième de la dîme… Toutes les dîmes allaient à leurs sacrificateurs, leurs pasteurs. Oui, les dîmes ne doivent servir à rien d’autre.
QUESTIONS ET REPONSES DU -- 23.08.1964. Soir (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
Question 62 : UNE PERSONNE DEVRAIT-ELLE PAYER LA DIME A UN INDIVIDU, OU EST-CE QU’UN CHRETIEN DEVRAIT TRAVAILLER ?
§180 : Certainement qu’il devrait travailler. S’il y en a qui travaille. C’est bien le chrétien.
§181 : « Payer la dîme à un individu ? » Cela dépend de quel individu il s’agit. Voyez- vous ?
C’est juste. Dans Hébreux 7, la première fois qu’il nous est parlé de la dîme de manière à ce que nous… Attendez une minute, je crois que c’est la question numéro 2…
Non ! Hein, non ! Pour Frère… il est dit… « DEUX QUESTIONS POUR FRERE BRANHAM . »
§182 : Quand… Dans le septième chapitre des Hébreux, quand Abraham, revenant de la défaite des rois, rencontra Melchisédech, il lui paya la dîme. C’était Melchisédech qui est le Roi de Salem, c’est-à-dire Roi de paix et Roi de Justice, Lequel n’était, autre que Dieu Lui-même.
§183 : Mais lorsque vous payez la dîme… En fait, l’endroit où vous devez payer la dîme, c’est celui où vous recevez votre nourriture. « Apportez toutes vos dîmes à la maison du trésor, dit le Seigneur (Est-ce juste ?). Et éprouvez-moi par ce moyen, dit Dieu, si je ne vous ouvre pas les écluses des cieux, et ne verse pas sur vous la bénédiction, jusqu’à ce que vous n’ayez plus assez de place pour la recevoir. » J’encourage vivement tout homme ou toute femme qui ne paie pas la dîme à accepter cela.
§184 : Je pourrais me tenir ici jusqu’au matin, et vous raconter simplement ce qui arriva quand j’ai vu cela, et dans quelle situation j’étais alors. Mais je payais ma dîme, aussi loyalement que possible. Et lorsque je prenais de l’église ici ou mes campagnes l’argent qui me revenait, je prenais plus, je donnais le dixième. Alors je le donnais à des ministres… et je donnais le reste à des ministres. Et, quand je ne puis pas faire cela, voici ce que je fis : je gardais 10% et donnai à Dieu 90%. Puis lorsque la loi me dit que je ne pouvais pas faire cela, que je devais prendre… et que si je le faisais, tout devait être versé là-dessus, alors je dus prendre cela et le faire passer dans des œuvres missionnaires à l’étranger, etc. et prélever un salaire sur cela de 100 dollars par semaine ; et je paie ma dîme là-dessus.
§185 : Oui, Monsieur, je crois au paiement de la dîme. C’est une bénédictions de Dieu qui a été prouvée comme telle. Vous dites- : « C’est de l’Ancien Testament ». C’est aussi du Nouveau ! Oui. Monsieur !
HEBREUX CHAPITRE SEPT/ I ère partie. 15.09.1957. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§123 : Pourquoi un homme prendrait-il des dîmes s’il avait quelque… s’Il n’était jamais né et qu’Il ne mourra jamais, et qu’Il était depuis le commencement jusqu’à la fin, et qu’Il n’avait jamais ni père, ni mère, ni généalogie, et qu’Il possédait tous les Cieux et toute la terre et tout ce qu’ils renferment, pourquoi prendrait - Il la dîme ? Pourquoi demanderait - Il à Abraham de payer les dîmes ? Vous voyez quelle chose stricte que de payer les dîmes ? La dîme est une chose juste. Tout chrétien est lié par le devoir de payer la dîme. C’est vrai. Cela n’a jamais été changé !
§124 : « Et comme je peux ainsi dire, même Lévi, lui qui recevait des dîmes, avait payé des dîmes en Abraham. »
§125 : Maintenant, oh, voici quelque chose :
« Car il était encore dans les reins de son père, lorsque Melchisédech le rencontra. »
§126 : Quoi ? Lévi … Abraham était l’arrière –arrière- grand –père de Lévi. Et la Bible a dit ici que « Lévi paya les dîmes alors qu’il était dans les reins d’Abraham. » Quatre générations avant même qu’il ne soit venu au monde, il paya les dîmes à Melchisédech. Et, béni soit le Nom du Seigneur !
§127 : Alors, vous qui ne pouvez pas croire en la prédestination avant l’ordination ; et ici, quatre générations avant que Lévi ne sorte des reins d’Abraham, il paya les dîmes à Melchisédech. Je souhaiterais que nous ayons du temps pour parcourir cette Ecriture d’un bout à l’autre.
L’EGLISE CHOISISSANT LA LOI POUR LA GRACE. --16.03.1961.
(Middletown, Ohio, U.S.A.)
§31 : Ils voulaient la loi, ils voulaient quelque chose qu’ils puissent faire eux-mêmes. Ils devaient avoir des œuvres qu’ils pouvaient faire eux-mêmes. Dieu pourvoira les œuvres. Si vous vouliez simplement marcher dans la grâce vous seriez plus au travail que vous l’êtes maintenant avec votre société d’aide féminine et tout cet autre non-sens qui a été ajouté à l’Eglise. Soupers de soupe pour payer le prédicateur. Où avez-vous trouvé une chose telle que celle-là dans l’Ecriture ? Les dîmes paient le prédicateur. Il doit vivre des dîmes des gens. Mais nous devions avoir quelque chose d’autre… LA manière de Dieu est juste. La dîme et l’offrande vont à Lévi, ce qui était le ministre. Si chacun payait sa dîme, il ne vous faudrait pas ces soupers de soupe. Voyez-vous ? Vous avez adopté quelque chose d’autre et renoncé aux dîmes.
QU’EST-CE QUE LE SAINT – ESPRIT ? --16.12.1959. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§115 : Quand Dieu mettait de l’ordre, Il a dit : « Vous les lévites, je vous ai tous appelés et fait de vous des sacrificateurs. Et tous vos frères, les autres, douze tribus et, … les onze autres tribus vous paieront la dîme.
Quand vous aurez neuf boisseaux de pommes, versez-en un boisseau pour les lévites. Quand vous ferez passer vos brebis dans le... le couloir ici, prenez la dixième brebis. Peu n’importe qu’elle soit petite ou grosse, grasse ou maigre, elle appartient aux lévites.
« Maintenant, vous les lévites, quand vous recevez tout ça, alors vous aussi vous donnerez la dîme à l’Eternel. Vous ferez l’offrande agitée, les offrandes par l’élévation, les différentes offrandes. Vous donnerez la dîme à l’Eternel. »
ORDINATION DES DIACRES. -- 20.07.1958. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§1 : Et voilà, la première chose est le placement des diacres dans l’église. Et notre petite église ici est souveraine. Elle n’a aucune dénomination ou quelque chose pour envoyer ses diacres, elle choisit ses propres diacres. Elle choisit son PASTEUR, elle choisit ses ADMINISTRATEURS, elle choisit toutes choses qui entrent et qui sortent de l’église. PERSONNE n’a le dernier mot sur quoi que ce soit ; cela revient à l’église… Et l’église, ce sont ceux qui viennent et supportent l’église avec leurs présences, par leur dîme et leurs offrandes ; ce sont seulement eux qui ont le « Ainsi dit » légal (légitime) dans le placement de telles choses.
§25 : Maintenant, avec vos têtes inclinées, non seulement vos têtes, mais aussi vos cœurs, et comme tout membre de cette église… QUICONQUE VIENT ICI REGULIEREMENT, SUPPORTE CETTE EGLISE AVEC SES DIMES ET SES OFFRANDES EST CONSIDERE COMME UN MEMBRE DE CETTE EGLISE. Pendant que seuls le pasteur et moi – le pasteur associé (frère Neville) et moi parcourons du regard. Je voudrais demander si cette église trouve frère Taylor comme étant un homme juste et éligible, avec le meilleur de votre pensée, s’il peut être choisi comme diacre sur ce groupe de gens ? Vous le ferez savoir en levant votre main. (Frère Branham attend quelque temps –Ed). Très bien. Maintenant, s’il y a un avis contraire, voudriez-vous lever votre main. (Frère Branham attend quelque temps). Merci.
CHRIST EST REVELE DANS SA PROPRE PAROLE. -- 22.08.1965. (Jeff. Ind. U.S.A.)
§13 : Je me souviens d’avoir été malade à un certain moment dans ma jeunesse. Je suis sorti de l’hôpital avec une dette d’environ deux mille dollars. Il y avait à l’époque la pharmacie de Monsieur Swaniger ; je lui devais une facture de trois à quatre cents dollars pour mes médicaments. Il ne me connaissait même pas, et il les livrait de toute façon ; il n’a jamais refusé de les livrer. Je lui ai dit : « Je suis en dette avec vous. » Et j’ai dit… Non pas Swaniger, mais je crois qu’il s’agissait plutôt de Monsieur Mason, là à l’avenue Court et de la rue Spring. Et j’ai dit : « Je suis en dette avec vous. Et je … je suis encore terriblement faible, mais j’essaie d’aller travailler. Maintenant, si je ne peux vous payer… » Je venais de devenir Chrétien . J’ai dit : « Monsieur Mason, j’ai en premier lieu, un devoir envers Dieu, je Lui dois ma dîme. Je veux premièrement Lui payer ma dîme. » Et j’ai dit : « Et mon devoir suivant, c’est de payer mes dettes. Mon père est souvent malade, et il … et nous avons… nous sommes une famille de dix enfants. Mais, ai-je ajouté, je … Si je ne peux pas vous payer plus de vingt-cinq cents sur le montant de cette facture à chaque jour de paie… Si je n’arrive même pas à rembourser ces vingt-cinq cents, je passerai vous le dire. Je vous dirai : Je … je ne peux pas le faire cette fois-ci. » Et, avec le secours de Dieu, j’ai remboursé jusqu’au dernier sou. Voyez-vous ? Mais c’est ce que je veux dire, voyez-vous ?
LE MARIAGE DE L’AGNEAU. -- 21.01.1962. (Phx. Az. U.S.A.)
§57 : Et c’est la même chose quand vous venez à Christ. « Seigneur, si Tu peux me recevoir dans Ton Royaume, je Te promets… » Vous y êtes. Je T’aimerai. Je Te serai fidèle. Je Te servirai jour et nuit. » C’est trop mauvais que nous oublions cela. « Je Te servirai jour et nuit. Je jeûnerai, je prierai, je Te serai loyal. J’apporterai mes dîmes dans la maison du trésor. Je prierai plusieurs fois par jour. Je ferai n’importe quoi. Et j’engagerai tout mon amour pour Toi. » C’est ce que vous devriez faire. C’est exactement vrai, c’est là que vous promettez cela, et cela devrait venir de votre cœur. Si vous promettez cela à votre mari, et que vous ne voulez pas le dire du fond de votre cœur, vous n’êtes absolument pas en train de vivre correctement avec lui. C’est en quelque sorte une affaire cristallisée.
§81 : C’est ce que font beaucoup trop de soi-disant Chrétiens. Ils partagent leur amour avec le monde – en jouant, en dansant, en jouant à l’argent, en restant à la maison pour regarder la télévision au lieu d’aller dans une réunion de prière toutes sortes de choses du monde qui ont pris la place de l’amour de Dieu dans le cœur de l’église. Elle est sortie de ses gonds. Elle prendra ses dîmes qu’elle devrait donner à l’église, elle les dépensera pour d’autres choses là dans le monde. Elle … au lieu d’aimer Dieu et qu’elle devrait le faire et de vivre pour Dieu, et d’aimer d’aller à l’Eglise, vous devez presque la persuader à venir.
Oh là, je sais ici il n’y a pas longtemps, un ministre m’a dit qu’il avait envoyé tellement de prières… tellement de cartes pour amener les gens à signer qu’ils s’engageaient à venir à l’école de Dimanche au moins six mois sur chaque année.
INFLUENCE . --15.03.1964. (Beaumont, Texas, U.S.A.)
§60 : J’étais en train de lire l’histoire de Martin Luther. Et l’histoire dit que ce n’était pas tellement un mystère que Martin Luther puisse protester contre l’église catholique et s’en tirer, mais c’était de garder sa tête froide au dessus de tout le fanatisme qui avait suivi son réveil. C’est vrai. Gardez vous pur et propre envers votre appel. Rester avec la Parole de Dieu et ne bougez pour rien. Restez, demeurez dans votre appel. S’il vous a donné un travail là - dehors comme fermier, cultivez bien. Que Dieu vous y bénisse, et payez votre dîme et quoi que ce soit… vos offrandes… pour aider le ministre à avancer. S’il vous a fait mécanicien. Il vous a béni dans ce travail, restez y et remerciez- Le pour cela. Vous restez juste où Dieu vous appelle.
VOYONS DIEU.-- 2.11.1959. (San José, Californie, U.S.A.)
§28 : Mais vous savez, moi je sens comme ceci : qu’un membre d’une église, son premier devoir est de supporter son église avec sa dîme et ses offrandes. Si vous êtes membres de ces bonnes églises qui sont représentées ici, vous supportez votre église. C’est votre premier devoir envers Dieu. « Apportez vos dîmes et offrandes dans la maison du trésor. » Et la maison du trésor, vous savez certainement ce que c’est, c’est là où vous recevez votre nourriture. Ainsi, c’est là où vous recevez votre nourriture spirituelle, et votre obligation c’est envers votre église et non envers un évangéliste comme moi.
TA SEMENCE POSSEDERA LA PORTE. -- 21.01.1962. (Phx. Az. U.S.A.)
§153 : Inclinons nos têtes juste un moment pour la prière. Oh , église, comment je me sens quand je finis de prêcher comme cela. L’Esprit me quitte et je regarde en arrière, je vois que des gens mettraient réellement la main dans la poche et priveraient leurs enfants de nourriture pour me la donner. Je vois des petites femmes là-dedans, peut-être avec les cheveux courts. Que feraient-elles ? Elles feraient pour moi n’importe quelle chose au monde qu’elles pourraient faire. Des hommes vivant avec une femme comme cela, et moi je le mets simplement en pièces avec cette Parole, je le choque, sa conscience est abattue. Et pourtant cet homme sortira pour travailler comme un esclave et m’envoyer sa dîme. C’est vrai.
POURQUOI ? -- 09.03.1960 (Phx. Az. U.S.A.)
§51 : Sonder les Ecritures, mes amis, s’affilier à l’église ne suffit pas. Maintenant, s’affilier à l’église, c’est bien. Je crois que toute personne devrait s’affilier à une église. Je crois absolument que toute personne devrait se tenir à son poste de devoir, et … quand son pasteur est là en train de prêcher ou des évangélistes ou quelque chose, je pense qu’ils devraient se tenir à leur poste de devoir. Ils devraient supporter cette église avec tout ce qu’ils ont en eux, par leurs dîmes, leurs offrandes, avec tout ce qu’ils sont appelés à faire. Soyez de bonne volonté et joyeux, si votre pasteur vous demande de faire quelque chose dans votre église. Vous devriez le faire. C’est bien. Mais ne laissez simplement pas cela être l’unique chose. Soyez d’abord vacciné. C’est ce que j’essaie de vous dire : recevez d’abord le Saint-Esprit, alors le reste vient de façon correcte. Alors vous allez entrer dans tout ce que vous désirez dans quelque église que vous … de votre choix.
REVETIR TOUTE L’ARMURE DE DIEU. -- 07.06.1962. (Serthern Pines. Nc. U.S.A.)
§119 : Voilà comment c’est aujourd’hui. Les hommes se lèvent juste et mettent leur nom dans un livre, ceux qui serrent la main d’un pasteur… Mais quand il se tient au bureau et que le chef fait passer un verre, ils le prendront. Ils ont peur de perdre leur poste.
Quand il s’agit de payer vos dîmes à votre église, vous avez peur de le faire parce que vous craignez de mourir de faim, même si Dieu a promis qu’Il prendrait soin de vous. Toutes ces choses ! Et quand vous venez à l’église et que le Saint-Esprit tombe au milieu du peuple, quelque chose dans votre cœur vous dit : « C’est ça ! C’est la Parole » ; Quand vous voyez le baptême et toutes ces autres choses démontrées dans la Parole, vous avez peur de prendre cela. Qu’est-ce qui se passe ? Vous manquez de courage, le courage spirituel de se tenir débout.
LE FIDELE ABRAHAM.-- 15.04.1959 (Los Angeles, Ca, U.S.A.)
§66 : Observez quand il est revenu. Ils ont eu un très grand jubilé ; le moment du retour. Et il y avait tous les rois autour remerciant Abraham et puis il sont rencontré un autre Roi, Melchisédek. Il était le Roi de Salem qui était Jérusalem. Le Roi de Paix. Le Roi de Justice. Qui était ce grand roi ? Je désire vous poser une question. Qui était ce grand Roi ? Il n’avait pas de père. Il n’a jamais eu une mère. Il n’a jamais eu un commencement de jours ni fin de vie. Qui était ce Roi qui rencontra Abraham revenant de la défaite des rois ? Et vous qui ne croyez pas au paiement de la dîme, regardez ceci. La prêtrise Lévitique payait les dîmes. Et la Bible dit que Lévi paya la dîme quand il était dans les reins d’Abraham, et c’était son arrière grand-père. Et quand Lévi était dans les reins d’Abraham, lorsqu’Abraham paya la dîme à Melchisédek, la Bible imputa à Lévi le paiement de la dîme. Comment devriez-vous vivre, vous les gens. Si vos péchés sont visités à vos enfants, qu’en est-il de vos bénédictions ?
DIEU MAL COMPRIS -- 23.07.1961 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
Question 136 : Est-ce qu’un chrétien peut aller au ciel s’il ou elle ne paie pas la dîme ?
§43 : Maintenant, celle-là en est une à laquelle je ne pourrais pas répondre par les Ecritures.
§44 : Mais, pour ce qui est de ce « Père, Fils et Saint-Esprit »… si ce pasteur [minister]
est sincère, faites-le - nous savoir, voyez-vous, nous serions heureux, frère Neville et moi-même… Frère Beeler, frère Colins ou n’importe lequel des prédicateurs [ministers] ici qui est ordonné à ce ministère, peut… peut le faire.
Bon, mais revenons à ceci : Est-ce qu’un chrétien n’ira pas au ciel parce qu’il ne paie pas la dîme ?
§45 : Je … je ne pourrais pas répondre « oui » ou « non » à cela. Mais je crois réellement que tout chrétien est tenu de payer ses dîmes, car c’est un commandement du Seigneur. Et « heureux celui… ceux qui gardent tous Ses commandements, afin d’avoir le droit d’entrer dans … la Vie, l’Arbre de Vie ». Donc, je crois réellement que payer la dîme est essentiel à l’expérience chrétienne. Car… J’aborderai cela avec une autre question dans quelques instants, je sais qu’il y en a une autre qui se rapporte à cela.
Question 146 : Frère Branham, ne pensez-vous pas que chaque personne qui prétend être chrétienne se doit de payer la dîme.. d’apporter ses dîmes dans la maison du trésor du Seigneur ? S’il vous plaît, donnez des passages bibliques là-dessus.
§111 : Très bien, si vous… Cela est exact, la Bible dit bien dans Malachie au chapitre 4 : « Un homme trompe-t-il Dieu ? Et vous dites, En quoi T’avons- nous trompé ? Dans les dîmes et les offrandes. Apportez à Ma maison du trésor toutes vos dîmes et offrandes, et mettez – Moi à l’épreuve, dit l’Eternel, et vous verrez si Je n’ouvre pas les écluses des Cieux, et ne répands pas sur vous la bénédiction en abondance (jusqu’à ce qu’il n’y ait plus assez de place) . »
§112 : Voilà un défi pour n’importe quel individu ! Et si seulement j’avais le temps, et que je ne prenne pas ce petit passage biblique que je désire aborder d’ici dix minutes, j’aimerais vous donner mon témoignage là-dessus, et vous dire que, même lorsque j’étais affamé, que ma mère et les miens étaient affamés, et que mon père était malade, je prélevais d’abord mes dîmes pour les donner à Dieu, et vous auriez dû voir ce qui s’est passé. Jamais de ma vie je n’ai vu quelqu’un, homme ou femme, même si vous ne gagnez qu’un dollar par semaine, si vous apportez dix cents sur cet argent, et les placez dans votre maison du trésor, ou l’église que vous fréquentez … si Dieu ne bénit pas cela, traitez-moi d’hypocrite. Oui, monsieur. C’est un défi à n’importe qui. Et tout chrétien, - cela répond à cette autre question, - tout chrétien devrait payer la dîme ! C’est exact.
Cela devrait être fait.
LA PORTE DU CŒUR. -- 12.03.1960 (Phx. Az. U.S.A.)
§2 : Ces deux semaines ont été vraiment courtes pour moi. Sachant que demain clôturera cette rencontre. Je disais juste à Frère Shore combien j’apprécie cette excellente coopération.
Et vous tous les frères, et toutes les sœurs, et tous ceux qui viennent, les Four Square, l’Eglise de Dieu. Les Noms de Jésus, le Tabernacle de la Foi, et tous, les Assemblées, et chacun, nous apprécions certainement votre coopération.
Et maintenant, demain, il y a des visiteurs ici, et je voudrais que vous trouvez ces églises où vous … votre propre église de votre propre dénomination et que vous y alliez ; l’église de votre choix, où que vous souhaitiez aller … Il y aura des services dans toutes ces églises demain.
Et maintenant vous ne … nous, ici, nous entrons simplement avec gentillesse, comme ça, et pour visiter…
Evidemment, si vous n’avez pas d’église, nous serions heureux de vous avoir demain soir. Mais si vous avez une église qui tient un service demain soir, c’est votre devoir ; c’est votre poste de devoir à votre église. Nous ne voulons pas que quelqu’un apporte de l’argent, s’il le place dans sa propre église pour supporter l’une de ces réunions. Non, monsieur. C’est… Vos dîmes et offrandes vont à votre propre église.
CROYEZ - VOUS QUE JE PEUX FAIRE CECI ? 09.05.1951 (Los Angeles, Ca, U.S.A.)
§11 : Et un certain frère m’a donné, l’autre jour, pour aller là-bas, une boîte de mouches de pêche et d’autres choses, parce qu’il y avait bonne pêche là-bas. J’apprécie cela. Il les a faites de sa propre main. Cela pourrait… cela semble simplement réel. Quelqu’un m’a envoyé quelques boîtes de candi. Un m’a envoyé cette chaîne de crainte l’autre jour. Certains d’entre eux m’ont envoyé une dîme dans une enveloppe. Oh, vous ne savez pas comment je … je ne peux simplement pas vous atteindre personnellement pour dire : « Merci ».
REVELATION DE JESUS CHRIST, Age de Pergame -- 07.12.1960. Jeff. Ind. U.S.A.)
§130 : Les dîners de gala, les bals dans les sous-sols, et toutes ces mondanités destinées à récolter de l’argent pour pouvoir payer le pasteur et le reste, cela n’entre pas dans le plan de Dieu ! Si l’on apprenait simplement aux gens à payer leur dîme, cela suffirait. C’est cela, le plan de Dieu !
Dieu a un plan, mais l’homme veut faire son plan, hybridant le plan de Dieu !
COMME L’AIGLE EVEILLE SA COUVEE. -- 04.08.1960
(Yakima, Wa, U.S.A.)
§75 : … C’est comme cela qu’est l’aigle quand il est en quelque sorte dépaysé au milieu des poules. Voyez ? Alors, elle se dirigea vers un vieux gros tas de fumier, commença à gratter et dit : « Cluck, cluck , cluck, cluck : nous allons avoir une … nous … nous allons avoir un bon souper ici ce soir, nous devons payer le pasteur. Nous devons avoir une espèce de vente pour payer le… »
Quand elle en arrive à une situation comme cela, l’église devrait fermer ses portes.
Payez vos dîmes et le pasteur sera payé. « Nous aurons un jeu de banco ; nous aurons toutes ces autres choses ici ».
Ce petit aigle partit et dit : « When, je ne pouvais pas supporter cela. Oh là là, Hum Hum. »
MONTRE - NOUS LE PERE ET CELA NOUS SUFFIRA. -- 31.07.1960
(Yakima, Wa, U.S.A.)
§6 : …Mais je n’ai besoin d’argent ; nous devons simplement payer les dépenses, c’est tout ce qu’on vous demande de faire. Je … Je souhaiterais les payer moi-même ; je ne voudrais pas demander pour cela.
Et je … Je n’ai jamais pris une offrande dans ma vie. Je me rappelle une fois, je suis arrivé à un moment difficile. Combien savent ce que cela signifie ? Ma femme est assise ici cet après-midi ; elle est d’un naturel un peu timide. Elle m’a regardé quand j’ai dit ceci. Mais je suis entré juste en venant de …j’étais en train de travailler. J’ai été pasteur d’une … du tabernacle à Jeffersonville pendant dix-sept ans sans jamais avoir un seul centime de salaire. D’autre part, je mettais l’argent que je pouvais épargner dans les offrandes, et je payais toujours mes dîmes et ainsi de suite.
SENTINELLE, QU’EN EST – IL DE LA NUIT ? 30.11.1958
(Jeff. Ind. U.S.A.)
§71 : Juste avant de quitter la maison, le téléphone sonna… continua à sonner. Frère Arganbright, je l’ai entendu discuter avec quelqu’un ; il disait : « Non, je ne voudrais pas faire cela ». Juste comme j’entrais dans la voiture, il y avait une – une petite station wagon parquée. Qui était-ce, rien que mon petit frère mexicain et son épouse. Tous les deux juste en train de crier et de louer Dieu. Il dit : « Frère Branham, je vous ai apporté ces dîmes. »
Oh ! dis-je, « Frère, je ne peux pas accepter cela ». J’ai dit : « Je ne pourrais simplement pas le faire ».
Il dit : « Mais je les ai apportées pour vous ». Il dit … j’ai dit : « Je vous ai dit de les mettre sur la facture de Ricky ».
Il dit : « Ce matin, quand je suis allé donner ces dîmes au docteur pour mettre sur la facture de Ricky, le docteur a dit : « Vous ne lui devez rien ». Il a dit : « Je n’ai rien à faire avec cela ». Il dit : « C’est un grand miracle ». Il dit : « Je … vous ne me devez pas un seul penny ».
Alors il dit : « Prenez ça, Frère Branham. Le Seigneur m’a dit que vous deviez prendre cela ». Je pensai : « Oh, je ne peux pas ». J’ai dit : « Seigneur, je ne sens pas que je devrais le faire. » Alors quelque chose me vint : « Jésus se tenant un jour, regardant les hommes riches déposer la grande abondance de leur argent. Oh, ils en avaient beaucoup, aussi ils donnaient beaucoup. Et une petite veuve vint avec trois pennies et c’est tout ce qu’elle avait. C’était toute l’économie qu’elle avait. Et elle mit cela dedans. Maintenant, qu’aurions-nous fait, « Oh, sœur, ne faites pas cela, huh huh, vous savez, nous n’avons pas besoin de cela. Ne mettez pas cela. C’est toute votre économie ». Mais Jésus la laissa simplement aller de l’avant et le faire. Car il y a plus de bénédiction à donner qu’à recevoir. J’ai la petite dîme. Je ne sais pas quoi faire avec. Je la place quelque part dans une œuvre pour la gloire de Dieu quelque part, le mieux que je peux. Qu’est-ce ? C’est la gloire de Dieu. C’est la puissance de Dieu.
LES ESPRITS SEDUCTEURS. -- 24.07.1955 (Jeff. Ind. U.S.A.)
§73 : Aujourd’hui ils essaient de remplacer la dîme de Dieu. Ils essaient d’adopter quelque chose. Ils essaient de la faire différemment. Ils descendent et organisent des jeux de banco dans les églises, jouent à la loterie. La loterie ne remplacera jamais la dîme de Dieu. Soupers, vente de couverture et du pique-nique pour accroître l’argent à payer différentes dettes. Cela ne prendra jamais la place des éternelles dîmes et offrandes de Dieu ; jamais. Pourtant nous essayons de faire cela.
QU’EST-CE QU’UNE VISION. -- 08.04.1956 (Chicago , Il, U.S.A.)
§4 : Il n’y a qu’une chose que je peux dire et ce n’est pas exactement quelque chose à dire, mais une prière : « Que Dieu vous bénisse ». Si je ne suis jamais capable, et Dieu ne me laisse jamais faire cela dans cette vie, de montrer mon appréciation pour tous ces cadeaux venant de chacun… Même une petite fille a mis là dedans une petite enveloppe, et c’était sa dîme à peu près 8 cents, je pense que c’était cela. Elle me l’a envoyé comme cadeau d’anniversaire, sa dîme. De cela à ces grands cadeaux-ci. Oh, que Dieu vous le rende richement, mes chers frères et sœurs. Je ne pensais pas que vous aviez une telle considération de moi. J’apprécie vraiment cela.
ET ALORS JESUS VINT. -- 28.08.1957(Jeff . Ind. U.S.A.)
§8 : Les écoles ont fermé les portes pour voir le roi. Les enseignants voulaient se montrer patriotiques, aussi ils ont donné à chaque enfant un drapelet, un drapelet Canadien ou Anglais, pour agiter lorsque le roi passerait. Et j’aime Jésus, parce que qu’Il remarque chaque petite chose que nous faisons. Vous dites : « Frère Branham… »
Il me semble avoir vu l’homme qui compte la collecte. Vous pourriez n’avoir eu que quelques pennies [centimes] à mettre dans la collecte, mais Jésus a vu cela. Vous pourriez ne pas… Vous direz : « Eh bien, je n’ai pas fait grand chose pour Lui ». Mais quoi que vous ayez fait, Il l’a vu.
La femme qui avait mis juste quelques sous dans la collecte, Jésus dit qu’elle en mit beaucoup plus que les riches à cause de sa dîme, et y mit toutes ses économies. Peu importe que cela soit peu, que notre service doit être petit et bref, à cause du temps et de la condition, Jésus verra notre sincérité. Et je suis sûr qu’Il répondra.
QUESTIONS ET REPONSES. -- 15.10.1961 (Jeff . Ind. U.S.A.)
§117 : Je sais que les gens prennent leur dîme et la donnent à une veuve. C’est faux. Si vous avez quelque chose à donner à la veuve, donnez-lui, mais ne lui donnez pas l’argent de Dieu. Ce n’est pas à vous pour commencer. C’est l’argent de Dieu.
LA SEPARATION TOTALE D’AVEC L’INCREDULITE. -- 21.01.1964
(Phx. Az. U.S.A.)
§173 : Mais le Seigneur ne m’a pas dit de faire cela. Et je Lui ai promis, dans cette tempête de neige là-bas dans le Colorado, de ne pas… des années avant cela. J’ai dit : « Seigneur, je conduirai l’homme vers le gibier, mais je ne tuerai plus le gibier pour l’homme ». Non. A moins que ce soit une urgence et que nous devrions avoir cela.
Et vous vous souvenez, les garçons, le soir avant que nous quittons. Pauvre vieux frère là-bas, qui n’arrivait pas à trouver un cerf. Quel est son nom ? Palmer, il s’approcha, et plaça dans ma main une dîme de dix dollars. Il dit : « Frère Branham, voici ma dîme, mets-là dans l’église » ; Il dit : « Voulez-vous me trouver un cerf ? » Oh, je…
LA SOIXANTE DIXIEME SEMAINE DE DANIEL. -- 06.08.1961. dimanche matin
(Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§14 : Maintenant, pensez-vous que ces gens qui sont ici… En regardant, j’en vois qui viennent de Chicago, et de différents endroits, qui font des centaines et des centaines de milles en voiture, rien que pour assister à la réunion. Et, quand ils arrivent, il n’y a pas de place pour s’asseoir. La salle n’est pas climatisée. Il faut rester debout dans un vieux bâtiment surchauffé, à s’éponger la sueur. En prenant l’argent de la table des enfants, pour pouvoir venir ici écouter le Message. Vous voulez me dire qu’il n’y aurait pas… de l’autre côté de cette rivière, quelque part, un endroit où ils iront u de ces jours ? Bien sûr que oui. Ca c’est être fidèle ! Ces gens-là sont des gens qui paient leur dîme. Non seulement ils viennent, mais ils apportent leurs dîmes et leurs offrandes, ils les apportent à la maison du Seigneur, ils essaient de faire ce qui est bien. Que Dieu bénisse abondamment des gens si fidèles ! Que la miséricorde et la grâce de Dieu soient avec eux.
DEPUIS CE TEMPS-LA. --16.07.1960 (Klamath Falls. Or, U.S.A.)
§28 : Merci, petite sœur, pour cette dîme. En tant que ministre, je suis censé recevoir la dîme. Aussi, je vous remercie très gentiment, ma petite amie. Et puisse Dieu bous bénir. Et ne laissez pas votre maman vous dire que vous êtes grasse. Vous ne l’êtes pas. Voyez-vous ? Très bien. Elle a dit dedans ici (je n’avais pas lu cela) elle dit : « Maman dit que je suis grasse, mais je ne le suis pas ». Je ne crois pas non plus que vous l’êtes. Aussi, si vous l’êtes, que Dieu vous donne le désir de votre cœur, chérie, c’est une prière, si cela signifie quelque chose à Dieu pour vous.
BAUME EN GALAAD. 18.02.1961. (Long Beach, Ca, U.S.A.)
§17 : …S’ils ont un poste de devoir, tenez-vous-y à cela. Soyez à votre poste de devoir à votre église, où que vous allez, et payez la dîme là-dedans, et aimez votre pasteur et priez pour lui. Et si vous avez besoin qu’on prie pour vous, demandez-lui, s’il est un homme de Dieu, il priera pour vous. Et Il répondra à sa prière de la même manière qu’à la mienne ou à celle de n’importe qui d’autre, car après tout, c’est votre propre foi en Dieu qui fait le travail. C’est vrai, exactement juste.
LES PORTES DANS LA PORTE. -- 06.02.1965. (Flagstaff, Az, U.S.A.)
§20 : Est-ce juste ? Vous avez entendu cette chanson. Soyez démodé. N’essayez pas de vous conformer dur quelqu’un d’autre. Il est votre Exemple. Essayez d’être semblable à Lui, et l’Esprit en vous vous aidera de faire cela. Rendez votre vie semblable à la Sienne.
§202 : Oui, il y a une porte là. Je veux faire ressortir une autre porte. Je me retrouve tellement emmêlé. Il y a une autre porte là, juste après cette porte, en allant du côté de la main droite, et cette porte là est la porte menant vers votre vie privée. Oh ! Oh, vous ne voulez pas qu’Il se mêle de cela. « Maintenant, si je désire sortir pour aller à une petite réception de cocktail, qu’est-ce que cela vous fait ? Quelle église va me dire ce… qu’il y a à dire ce que je sois faire ?Heuh – heuh. Vous y êtes, voyez ». Un dixième de mon salaire ? Qui va me dire ce … qu’il y a à dire ? C’est ma propre vie privée ! Je gagne cet argent. J’ai ma propre vie. Je porterai des culottes (courtes) si je le veux. C’est mon propre privilège d’Américain ». C’est vrai. Sûrement. Juste.
§203 : Mais si tu es un agneau, et non pas une chèvre, voyez, ce sont les agneaux qu’ils sont en train de chercher. Ils seront séparés un jour.
SE RANGER DU COTE DE JESUS. -- 01.06.1962.(Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§1 : …Quelque part à Louisville où vous vous avez l’habitude de manger et ça s’appelle… Voyons. Restaurant Dogpatch. J’en ai eu un aujourd’hui. Lorsque n’importe qui mange là-bas, après, ils prennent l’argent que vous leur avez payé et ils en envoient la dîme à l’église.
C’est quelque part au 319, Rue West Jefferson. Je pense que c’est pour cette raison que Billy a mis ceci ici, c’était afin qu’on puisse s’en apercevoir. C’est très gentil.
UNE DELIVRANCE TOTALE. -- 11.07.1959 (Jeff. Ind. U.S.A.)
§39 : Frère Fred et moi, nous avions essayé ça, avec de l’argent que Frère Fred avait, que je n’avais pas voulu accepter à titre individuel. Et donc, nous avions décidé de donner ça aux Canadiens, de ne même pas ramasser d’offrande, mais ça n’a pas vraiment été un succès. Les réunions se sont bien passées, mais, vu que nous n’avions pas ramassé d’offrande… Peu m’importe que l’église vaille cent milliards de dollars, on le doit quand même à Dieu, de ramasser une offrande. Ça fait partie de l’adoration. Et vous volez ça… Autant je suis contre l’argent et ces choses-là, j’ai découvert que, quand un homme a tort, autant admettre qu’on a tort; en effet, Frère Fred et moi, nous avons constaté que ça n’a pas vraiment donné un bon résultat.
§45 : …Et aussi un autre très cher frère qui était aussi auparavant canadien et qui était aussi homme d’affaire et qui peut prouver au monde que vous ne pouvez jamais trop donner à Dieu… lui et son ami ont crée une fondation pour financer la construction d’un endroit ou pour la mission à l’étranger. Et ils m’ont appelé à Okland pour une réunion et ils ont déclaré l’argent et qu’ils parraineraient tout là avec leur fondation. Frère Fred avait… Et moi-même avons essayé cela quand on avait l’argent que frère Fred avait et que je ne voulais pas prendre en tant qu’individu. Et alors, nous avons décidé de le donner aux gens du Canada, et de ne même pas prendre d’offrande. Mais ceci n’a pas très bien marché.
§46 : Les réunions étaient bonnes, amis parce que nous n’avons pas pris d’offrandes, peu m’importe si l’église vaut cent milliards de dollars, VOUS DEVEZ TOUJOURS CELA A DIEU, DE PRELEVER UNE OFFRANDE. CELA FAIT PARTIE DE L’ADORATION. Et alors, vous devez obéir à cela, et autant que j’étais contre les choses comme cela… Passez simplement le sachet de l’offrande.
LES IMAGES DU CHRIST. -- 25.05.1959 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§56 : O Seigneur, Tu es Dieu, et Tu es Dieu pour toujours. Et nous sommes si heureux de savoir que Tu as promis que Tu aurais un reste lorsque Tu viendras vers la terre. Peu importe ce qui va ou ce qui vient, il y aura des gens qui seront prêts. Et nous savons qu’il y a une dîme que l’homme donne à Dieu, et qu’il y a une parmi le peuple. Peut-être dirions –nous un dixième de toute la moisson du monde, au travers des âges qu’il y aura ces élus-là qui ont été appelés.
REVELATION DE JESUS-CHRIST Age de Philadelphie --10.12.1960 (. Jeff. Ind. U.S.A.)
§275 : Voyons ce qu’Il dit maintenant au chapitre 3, verset 12, afin d’être certains de ne pas l’oublier : ‘’Celui qui vaincra, Je le ferai une colonne dans le temple de mon Dieu, et il ne sortira plus jamais dehors.’’ (L’Epouse se tient là avec l’Epoux ! Oh !)
§276 : Oh ! si nous avions le temps d’étudier cela ! Je le ferai le livre qui paraîtra. Plus loin dans l’Apocalypse, il est dit : ‘’Les rois de la terre lui apporteront leur gloire.’’ C’est donné en type avec la tribu de Lévi : toutes les autres lui apportaient la dîme, vous voyez ? Chaque nouvelle lune, chaque sabbat, ils montaient pour adorer. Quel jour glorieux ce sera !
QUESTIONS ET REPONSES SUR LES 7 SCEAUX. -- 24.03.1963
(Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§84 : Si vous bâtissez une maison, allez, construisez-la. Si Jésus vient demain, vous serez trouvé fidèle, à votre poste. Si vous bâtissez une église, allez-y, construisez-la. J’aimerais mieux placer mon argent dans quelque chose comme ça, plutôt que d’être trouvé avec l’argent dans ma poche. Voyez ?
JEHOVAH – JIREH / 1ère partie. -- 05.07.1962 (Crass Valley, Cal. U.S.A.)
§125 : Il faut que l’église Pentecôtiste s’éloigne de tous ses credo et dogmes, qu’elle cesse d’agir comme le monde, de paraître comme le monde et parler comme le monde. Vous restez à la maison le mercredi soir pour regarder ‘’Nous aimons Susie’’ au lieu de venir à la réunion de prière. Vous payez vos dîmes au dehors à quelque prédicateur pour un programme de radio afin de se moquer de la chose même que vous soutenez et toutes ces bêtises qui se font au nom de la Pentecôte, c’est une disgrâce.
VISIONS ET PROPHETIES. -- 04.04.1956 (Chicago. Illinois. U.S.A.)
§4 : Il y seulement une seule chose que je peux die, et ceci n’est pas exactement ce qu’il faut dire, mais plutôt une prière : ‘’Que Dieu vous bénisse.’’ Si je ne serai jamais capable, et que si Dieu ne pourra jamais me permettre de faire cela dans cette vie, pour montrer mon appréciation pour tous ces dons de tout le monde… Même une petite fille avait mis une petite enveloppe là-dedans, et c’était sa dîme d’environ 8 cents, je pense que c’était cela. Elle me l’a envoyé comme un cadeau d’anniversaire de ma naissance, sa dîme. Depuis cela, jusqu’à ces grands cadeaux ici. Oh, que Dieu vous le rembourse richement, mes chers frères et sœurs. Je juste… Je n’ai pas pensé que vous pensiez autant à moi. J’apprécie vraiment cela.
LE NOM DE JESUS.-- 28.09.1958. (Jeff. Ind. U.S.A.)
§73 : …J’ai dit : ‘’Ce que les gens m’envoient. Je fais face à l’instant même à des gens qui m’envoient continuellement la dîme. Je ne leur demande jamais cela, ce sont eux qui le font ! C’est le Saint-Esprit, Il est capable de prendre soin des siens !’’
CITERNES CREVASSEES. -- 26.07.1964, soir (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§99 : Il se passe quelque chose de semblable parmi les gens d’aujourd’hui, ils sont prêts à recevoir ce qu’ils peuvent obtenir mais ils ne veulent rendre aucun service de retour. Israël était alors prêt à boire de l’eau du Rocher, mais Il ne voulait pas rendre à Dieu le service qui Lui était dû.
§100 : Et Il est toujours en train de nous servir. Vous savez, sans Lui nous ne pouvons même pas respirer. Sans le service de Dieu, nous ne pouvons pas respirer. C’est vous dire combien nous dépendons de Lui. Et malgré cela, nous avons le cœur partagé si nous devons faire quelque chose pour Lui, s’Il nous demande de faire quelque chose, d’aller voir quelqu’un de prier pour lui ou de l’aider. Cela nous brise presque de devoir faire cela. Et nous ne voulons rien faire pour Lui rendre service.
ELIE ET L’OFFRANDE DE FARINE - 10.03.1960 PHŒNIX, AZ, USA
§92 : N’importe quel croyant en Dieu partagera avec un autre jusqu’à ce qu’il n’ait plus rien. Oui. C’est ce qu’il y a chez les pentecôtistes, ils vont jusqu’à donner leur propre chemise pour la Cause. C’est juste. C’est la vérité. C’est remarquable, c’est là une des choses les plus extraordinaires chez eux. Ce sont les plus grands donateurs du monde, car ils savent que ces biens terrestres ne signifient pas grand-chose. Ils amassent leurs trésors dans les cieux, parce qu’ils iront là-haut un de ces jours.
SEPTIÈME SCEAU, LE - E24.03.1963 JEFFERSONVILLE, IN, USA
§23 : Plusieurs généreux donateurs de cette église, qui ont aidé à accomplir cela, comme notre Frère Dauch et notre Sœur Dauch, assis ici, et bien d’autres qui ont donné très généreusement pour le soutien de cette cause. Et je pense qu’en ce moment, c’est presque déjà tout payé. Alors, nous sommes très reconnaissants de ça.
JÉHOVAH-JIRÉ I - 02.04.1964 LOUISVILLE, MS, USA
§130 : Il y a quelques mois, j’étais avec mon bon ami John Sharrit à Phœnix. Je demeure à Tucson, comme vous le savez. Et je me trouvais à Phœnix, chez frère John Sharrit, un très bon frère chrétien. Il était très très pauvre, et le Seigneur l’a béni. La première fois que je suis allé à Phœnix, il y a des années, il n’avait pas d’enfants. Mais il en voulait. Ils étaient pauvres; il travaillait à concasser le béton et gagnait quelque vingt-cinq cents, trente cents l’heure. Et il était venu à l’église, et il avait cru chaque parole du message. Il m’avait demandé: «Prieriez-vous pour moi?» Il a maintenant cinq enfants.
§131 Et ça, et à part ça, il donne entre trois et quatre millions de dollars chaque année à la cause de Christ. C’est vrai. J’étais ici avec lui, il n’y a pas longtemps, et on regardait sa ferme à coton. Il a acheté tout le conté, et mille cinq cents Mexicains s’occupent de la ferme. Et, il y a quinze ans, il concassait le béton pour vingt-cinq cents l’heure.
HONTEUX DE LUI - 11.07.1965 JEFFERSONVILLE, IN, USA
§101 : Frère Carl Williams m’appela et dit: «Frère Branham, mon ami, j’ai parcouru toute cette foule jusqu’à ce que mes mains soient remplies de billets de cent dollars pour que vous ayez votre billet aller et retour jusqu’ici». Juste pour un jour! Vous voyez, ces gens… Cette Parole s’enfonce parfois là où nous n’y penserions pas. Vous voyez? Peu importe que le monde soit contre cela, que la dénomination soit contre cela, Dieu l’a authentifié comme étant la Vérité.
L’ARCHE, - 22.05.1955 JEFFERSONVILLE, IN, USA
§11 : J’étais en Floride il n’y a pas longtemps. Un certain soir, j’ai rencontré un cher frère bien-aimé, du nom de frère Jackson, Gail Jackson. Il est un de mes convertis à la guérison. Donc, j’étais très en arrière financièrement. Habituellement, vous savez, avec les offrandes et les autres dons, je ne tiens pas les gens au courant. Si le Seigneur pourvoit, très bien; s’Il ne le fait pas, alors, nous allons chercher ailleurs. Puis Gail est arrivé et il a dit au gérant: «Eh bien, comment vont les finances?»
Il répondit: «Oh, juste mille dollars environ, un peu plus peut-être, quinze cent, pour arriver.»
Il dit: «Le problème c’est que vous ne savez pas comment vous y prendre avec les gens du Sud.» Alors il s’est levé et a dit: «Puis-je m’occuper de l’offrande de ce soir?»
Il dit: «Oui, mais pas de quête, parce que frère Branham nous disputerait pour cela.»
Il dit: «Nous ne quêtons jamais.»
Alors il est monté là, et il a juste dit quelques mots, et il y eut deux mille dollars dans l’offrande. Il a dit: «Vous voyez, frère Baxter, vous ne savez seulement pas comment vous y prendre avec les gens du Sud, c’est tout. Alors c’est comme ça. Vous devez connaître les gens du Sud. Vous devez connaître les coutumes des gens du Nord. Vous devez les connaître. Et je pense qu’un indigène, connaissant leurs propres coutumes et leur propre tribu, c’est une bien meilleure manière que… c’est une bien meilleure personne à mettre avec ses propres gens, que tous ces faits sur mesure que nous avons …?… Alors, je suis très reconnaissant pour les frères.
UN HOMME QUI FUIT LA FACE DE L’ÉTERNEL, - 17.02.1965 JEFF, IN, USA
§13 : S'il y a des étrangers avec nous, c'est un principe chez nous de ne jamais quêter, quémander, soutirer l'argent des gens. On fait passer le plateau à offrandes, et c'est seulement... C'est un geste religieux. J'ai souvent essayé de ne même pas du tout faire passer le plateau à offrandes, mais ça ne marche pas. Voyez? C'est que donner, ça fait partie de notre religion. C'est une partie de notre devoir. Peu importe si c'est juste une pièce de dix cents, ou quoi que ce soit, ou une pièce d'un cent, c'est...
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§16 : Mais je pense à ceux qui se tiennent là, et les gens qui disent: «Qui veut donner cinquante dollars? Qui veut donner vingt dollars?» Je–je pense que c'est dégradant pour votre–pour votre intelligence. Je–je pense que les gens comprennent qu'il faut de l'argent pour–pour organiser des–des réunions. Et je ne leur ai jamais laissé faire une chose pareille, les administrateurs. J'ai dit: «Quand vous devrez faire ça, alors il sera temps que je retourne au Tabernacle. Alors on n'aura pas besoin de le faire.» Mais je–je crois vraiment qu'il faut faire passer le plateau à offrandes pour–pour que le culte soit complet.
Chapitre 2 : UTILISATION DES DIMES ET OFFRANDES
COMPTE A REBOURS . -- 09.09.1962. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§8 :… Je sais ceci est enregistré, et quand je dis certaines choses ici, je réalise que je ne parle pas seulement à cette assemblée, mais à travers le monde entier. Et je … parce que ces bandes vont vers beaucoup, beaucoup de pays et ils les ont jusque dans les tribus africaines là-bas.
Ils s’assoient, et le prédicateur les prend et il les interprète pour ces gens là-bas, qui ne connaissent même pas leur main droite de leur main gauche. Voyez-vous ?
ET TU NE LE SAIS PAS. --15.08.1965. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§18 : Je n’ai pas l’occasion de dire ça quand la salle est pleine à craquer et tout, mais je suis vraiment reconnaissant à Dieu pour un pasteur comme Frère Orman Neville. Fidèle, aussi fidèle que possible à la Cause, et on ne l’entend jamais murmurer. J’étais assis là –derrière… J’ai eu une bonne conversation d’une demi-heure avec lui, pendant que j’avais le plaisir d’écouter Frère Mann, à qui j’en dirai plus long là-dessus quand on sera dans le Colorado cette année. Alors, pendant qu’on avait le plaisir d’écouter son message, j’ai eu une bonne conversation avec Frère Neville. Je lui ai dit : ‘’Je n’ai jamais eu l’occasion de parler aux gens de notre brave pasteur.’’ J’ai dit : « Est-ce que les gens prennent bien soin de vous ? »
Il a dit ; ‘’ça ne pourrait pas être mieux.’’
Et j’ai dit : ‘’Eh bien, je suis bien content d’entendre ça.’’
§19 : Quand un pasteur est satisfait, et que les gens sont satisfaits, ça fait vraiment une bonne église, et alors Dieu est satisfait. Et je pense que de les voir tous satisfaits, surtout dans ce jour-ci, avec le Message que nous portons, je pense que ça montre l’unité du Message avec les gens, et avec Dieu. Voyez ?
LE SCEAU DE DIEU.-- 16.02.1961. (Long Beach, Californie, U.S.A.)
§90 : Six années plus tard, c’est par le train que je me rendis dans la direction de Phœnix, et descendis à Memphis. Dans le train, la nourriture est chère. Par exemple, une tartine coûte 55 cents. Je suis donc sorti rapidement pour acheter une saucisse, car, je ne pense pas que l’argent que les chrétiens ont offert, doive être dépensé à la légère et sans discernement.
LE BAPTÊME DU SAINT-ESPRIT, - M28.09.1958 JEFFERSONVILLE, IN, USA
§71 : Je me tenais là avec ces inspecteurs fédéraux. Cet inspecteur est venu là et a dit: «Nous n’essayons d’aucune façon de dire que vous êtes malhonnête, vous étiez simplement ignorant du fait que quand quelqu’un vous donnait de l’argent, cet argent vous appartenait premièrement. Vous avez signé un chèque, dit-il, émanant de Mr Miner Arganbright, venant de – venant de la Californie, de l’Association des Hommes d’Affaires Chrétiens, un chèque de tant de milliers de dollars. Et le même jour, vous avez retiré cela de votre banque et vous avez acheté quatre ou cinq billets d’avion pour un voyage outre-mer, d’une valeur de quelque vingt-quatre mille dollars.
J’ai dit: «Oui, monsieur.»
Il dit: “Vous devez l’impôt sur cette somme.”
Eh bien, j’ai dit: «Nous étions juste dans la même banque et il m’a donné le chèque, et je l’ai passé à la banque, et immédiatement j’ai écrit pour acheter les tickets.»
Il a dit: «Si vous avez eu le chèque une minute, eh bien, même pour la moitié d’une minute de temps, cela était votre propriété. Si vous l’avez eu pendant une demi-minute, il était à vous pendant cette demi-minute avant de devenir la propriété de l’église. Vous devez l’impôt là-dessus.» «Mais il l’a donné à l’église. Il a payé la taxe là-dessus et il l’a donné à l’église.»
«Il vous l’a donné!»
J’ai répliqué: «Si vous payez la taxe sur cet argent qui va ensuite à l’église, alors vous ne pouvez plus imposer de taxe là-dessus.»
Il m’a répondu: «Nous n’imposons pas votre église, nous vous taxons, à vous!»
J’ai alors dit: «Eh bien, ai-je dit, l’homme qui a apposé sa signature, le responsable fédéral des taxes sur les revenus, m’a dit d’agir ainsi!»
Il me répliqua: « Il n’est plus dans le gouvernement.»
J’ai dit: «Ceux qui ont écrit la constitution ne sont plus dans le gouvernement, pourtant est-ce que la constitution est toujours valable?» Un jour, vous ne travaillerez plus vous-même avec le gouvernement, que dites-vous alors? J’ai dit: «Quelle sorte de gouvernement servons-nous donc? Certainement. Et alors, l’autre homme a dit: «Monsieur Branham, dit-il, nous avons découvert ici... Laissez-moi vous montrer que nous savons où vous avez dépensé chaque centime.»
J’ai dit: «très bien!»
Il a dit: «Voici un endroit où vous avez eu une réunion au Canada, à Alberta, et il vous a été donné une offrande d’amour de trois mille dollars.»
J’ai dit: «Oui, monsieur!» Il a ajouté: «Le dimanche suivant, ou plutôt le dimanche précédent, vous êtes sorti et vous avez découvert une vieille église. Les gens venaient adorer dans cette église et elle n’avait plus de toit. Alors vous avez donné les trois mille dollars à ces gens pour bâtir une église.»
J’ai dit: «C’est exact.»
Il a dit: «Mais vous devez l’impôt sur cette somme.» Il a dit: «Vous l’avez donné à l’église, voyez-vous, mais, dit-il, il vous appartenait avant d’appartenir à cette église.» Il a ajouté: «N’est-il pas vrai qu’un certain homme (je ne citerai pas son nom parce que beaucoup d’entre vous le connaissent) a eu sa maison incendiée dans la campagne par ici et vous reveniez de votre réunion et vous aviez mille cinq cent dollars?» Maintenant, ça peut paraître une grosse somme d’argent pour quelqu’un d’entre vous tous, mais c’est à peine ce qu’il me faut pour quinze jours de nourriture ou de repas, ça me coûte plus de cent dollars par jour, que je prêche ou pas, pour m’occuper du bureau et du reste. Et il a dit: «Vous aviez mille cinq cents dollars et cet homme était... avait perdu dans l’incendie sa maison, et il avait six enfants et vous lui avez donné les mille cinq cents dollars.» C’est vrai, ils avaient mon chèque devant eux. J’ai répondu: «C’est exact. Qu’aurez vous fait à ma place? Un homme vivant avec cinq enfants dans une tente, la température étant de zéro degré et couvrant la neige le sol? Vous pensez que je pouvais être installé tranquillement dans une maison décente sachant que cet homme et ses petits enfants sont en train de geler là malgré tous les vêtements qu’ils peuvent avoir sur eux et sachant que l’argent pouvait les aider?
Il me dit: «N’est-il pas vrai qu’un homme est mort dans une rue par ici. Et il venait du Kentucky et n’avait même pas d’argent pour payer son enterrement, et vous avez enterré l’homme. Et vous et votre femme avez pris de l’argent et vous êtes allés aux magasins J.C Penney (il sortit le chèque là) et avez dépensé plus de deux cents dollars, rien que pour des vêtements pour ses enfants?»
J’ai dit: «C’est exact.»
Il a dit: «Est-ce exact qu’une vieille dame habitant dans telle ville (qui vit à New Albany)... Vous lui avez donné trois cent et quelques dollars pour payer une facture en retard à l’épicier et on allait lui couper les vivres, et vous avez payé presque cinq cents dollars pour son loyer au moment où on allait la jeter dehors en plein hiver, et vous avez continué à payer son – son loyer jusqu’au mois de juin suivant, puis avez encore pris à votre charge les dépenses d’épicerie qu’elle pouvait faire qui s’élevaient à mille quatre cents dollars?» J’ai dit: Je me rappelle très bien ce cas, une vieille maman de quatre-vingts ans ayant une fille malade et un fils prédicateur vivant en Géorgie, souffrant de rhumatisme et gisant sur un lit sans aucun soutien. Qu’auriez-vous fait à ma place?»
J’ai dit: «Oui, je le fait.»
Il a dit: «Est-ce que votre conseil d’administration connaissait ces choses?»
J’ai dit: «Non, monsieur, ils ne le savaient pas.»
«Est-ce que votre femme le savait?»
J’ai dit: «Non, monsieur, ils ne le savaient pas.»
Il a dit: «Alors, pourquoi avez vous agi ainsi?»
LE COMPTE A REBOURS. -- 09.09.1962 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§8 : Et quand vous êtes ici, je vois par les dîmes et les choses que vous payez, que vous avez confiance en nous, sachant que cela contribuera au Royaume de Dieu. Maintenant, nous sommes responsables, vous voyez et nous devons en donner les comptes. Aussi nous voulons prendre garde à tout ce que nous faisons ; pour tout faire aussi parfaitement que nous le pouvons, de la façon dont le Seigneur le désire, car nous ne savons pas quand est-ce qu’Il nous appellera pour répondre et pour donner les comptes de tout ce qui nous est parvenu.
UN JOUR V, UN JOUR VICTOIRE. -- 21.04.1963 (Sierra Vista, Az, U.S.A.)
§8 : J’ai attendu avec impatience le temps où je pourrai venir ici, pour rencontrer notre précieux frère et vous le peuple. J’ai reçu vos dîmes que le frère m’a envoyées de nombreuses fois depuis cette petite assemblée ici, de tels trésors, je les garde précieusement dans mon propre être, parce que je sais que je devrai répondre un jour de la destination de ces choses-là. Certainement que j’apprécie vraiment et que je veux exprimer ma reconnaissance vis-à-vis de votre loyauté, de la pensée que vous avez eue sachant que les dîmes que vous avez… et vous rencontrant dans des maisons comme ceci, et voulant que les dîmes que vous avez soient utilisées au mieux de votre connaissance, pour soutenir le ministère. Et alors depuis ce moment-là, je dois en être responsable, et je désire être un bon intendant pour notre Seigneur, lorsque je vais répondre en ce jour –là des choses que nous avons faites sur la terre.
LE PECHE IMPARDONNABLE. -- 24.10.1954 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§145 : Ainsi maintenant, réunissons-nous, soyons un groupe de gens ici dans ce cieux petit tabernacle, non parce que si vous voulez enlever mon nom de là devant, c’est – on l’a simplement mis là. Appelez cela juste comme vous voulez, appelez ceci église si vous voulez ; ça ne doit pas être un Branham Tabernacle, Branham n’a rien à faire avec cela. Rien du tout, rien, on a simplement mis mon nom là-bas parce que le contrat était en mon nom là, et ils ont cloué cela là. Et je suis descendu là et j’ai travaillé durant la crise économique et ils ont apporté leurs dîmes, au lieu que je les garde sans travailler, j’y ai mis mes propres dîmes, offrandes et des sommes d’argent et nous avons construit le Tabernacle ici. Et c’est bâti avec les aumônes des gens qu’ils me donnaient pour me faire vivre avec. J’ai travaillé et j’ai remis cela dans le Tabernacle. Et c’est la raison pour laquelle nous appelons cela Branham Tabernacle.
L’ATMOSPHERE SPIRITUELLE. -- 29.01.1956 (Owensboro, Ky, U.S.A.)
§2 : Je regardais juste de l’autre côté de la rue, là où vous allez construire une nouvelle église, ou quelque chose là-bas, dont il me parlait ce matin à la table du déjeuner. Et c’était merveilleux de vous voir progresser comme cela. Cela montre simplement que vous … vous soutenez la chose juste. Et le serviteur de Dieu essaie de son mieux pour donner le meilleur qu’il peut au peuple de Dieu. Je … toute église appréciera un pasteur comme cela, tel que vous voyez que vos finances, vos dîmes, vos offrandes, ainsi de suite, vous êtes… vont droit au Royaume de Dieu, pour améliorer le Royaume de Dieu, faire une meilleure place, pas pour lui-même, pour vous. Il… il a le troupeau à l’esprit. Le berger a toujours cela à l’esprit.
L’EGLISE CHOISISSANT LA LOI POUR LA GRACE. --16.03.1961
(Middletown, Ohio, U.S.A.)
§31 : Ils voulaient la loi, ils voulaient quelque chose qu’ils puissent faire eux-mêmes. Ils devaient avoir des œuvres qu’ils pouvaient faire eux-mêmes. Dieu pourvoira les œuvres. Si vous vouliez simplement marcher dans la grâce vous seriez plus au travail que vous l’êtes maintenant avec votre société d’aide féminine et tout cet autre non-sens qui a été ajouté à l’Eglise. Soupers de soupe pour payer le prédicateur. Où avez-vous trouvé une chose telle que celle-là dans l’Ecriture ?
Les dîmes paient le prédicateur. Il doit vivre des dîmes des gens. Mais nous devions avoir quelque chose d’autre… La manière de Dieu est juste. La dîme et l’offrande vont à Lévi, ce qui était le ministre. Si chacun payait sa dîme, il ne vous faudrait pas ces soupers de soupe. Voyez-vous ? Vous avez adopté quelque chose d’autre et renoncé aux dîmes.
LE SIGNE. -- 01.09.1963. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§444 : Regardez, je me rends bien compte que, savez-vous, ce sont vos dîmes et vos offrandes qui me procurent de quoi vivre. C’est grâce à votre soutien, à vous de cette Eglise, que je peux trouver des gens à qui prêcher. C’est grâce à votre amour, et à vos « Amen », et à votre communion fraternelle, et à vos bonnes paroles, partout où vous allez, au milieu de ce monde, dans les différents Etats de cette nation… Ce sont vos paroles qui aident à propager ce Message. C’est à vous. Nous sommes associés dans ceci, avec Christ. Nous sommes frères et sœurs ; et Il est notre Roi. Et je vous aime.
QU’ENTENDS-TU, ELIE ? -- 12.04.1959. (Los Angeles, Ca, U.S.A.)
§4 : Je prends vos dîmes et je paie mon voyage. Alors, je sais que c’est dépensé pour le Royaume de Dieu, quand je répondrai au jour du jugement, je peux dire avec un cœur sincère que je l’ai utilisé au mieux de ma connaissance. C’est d’une même manière que cette offrande va aller. Merci pour tout ce que vous avez fait ce soir.
LA REINE DU SUD. -- 20.06.1958.(Greensville, South Caroline, U.S.A.)
§5 : Billy vient de me dire qu’on a prélevé une offrande d’amour. Est-ce juste ? Une offrande d’amour pour moi. J’apprécie cela. Je … ; je ne suis pas venu pour cela ; je ne demande jamais cela. Je n’ai jamais prélevé une offrande de toute ma vie. Je n’ai jamais prélevé une offrande. J’ai été (Pasteur) pendant 27 ans, et je n’ai jamais pris une offrande de ma vie, ou jamais reçu un seul penny de salaire dans ma vie. Je vis simplement des aumônes des gens.
J’ai travaillé 17 ans comme garde forestier et comme électricien, dans la compagnie de service public et j’étais pasteur au Tabernacle Baptiste de Jeffersonville, prenant la dîme qu’on y donnait, sans jamais la voir, la passait directement à l’église, et construisant l’église et ainsi de suite. Et je payais les dîmes et offrandes à l’église, 17 ans sans un seul sous. Je souhaitais avoir un travail et où je pouvais aller avec une pioche et une pelle ou un marteau, ou quelque chose d’autre, à peu près tout ce que je pouvais avoir assez de bon sens pour faire, creuser un trou ou au autre travail, un travail électrique, et ne voulais pas avoir à prélever une offrande à aucun moment. Si je pouvais le faire, je le ferai avec joie.
LE SIGNE DU MESSIE. -- 29.03.1959. (soir) (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§31 : Ces petites offrandes que vous me donnez, savez-vous ce qu’il en advient ? Il y a quelques semaines je suis allé à Porto Rico et en Jamaïque où on a enregistré quarante mille convertis en neuf soirées. Qu’est-ce qui a fait cela ? Votre dîme. Quand j’ai quitté, le maire de … le juge de l’île s’est levé et a dit : « Nous avons des évangélistes qui sont venus ici et ont pris de grosses offrandes, et ont coûté beaucoup d’argent ». Mais dit-il : « quand Frère Branham est venu, il n’a pas demandé un sou, ne nous a jamais de payer la facture de son hôtel. Et il a payé son propre billet, aller et retour ». Qu’est-ce qui a fait cela ? Votre argent. Je veux être sûr que je l’ai dépensé correctement. Ainsi, à la barre du jugement quand je me tiendrai devant vous et devant Dieu pour rendre compte de cela, cela a été bien fait. Je l’ai pris moi-même, aussi longtemps que je suis capable de partir, pour faire le mieux que je peux pour Sa gloire.
LA SECONDE VENUE. -- 20.02.1955 (Matin)(Phx. Az. U.S.A.)
§6 : Et maintenant, et enfin, nous ne sommes pas ici pour récolter l’argent. Je pense que nous n’avions pas demandé une offrande dans la réunion. Mais aussi tôt que la…
Je n’ai jamais pris une offrande dans ma vie, jamais dans ma vie ai-je pris une offrande. Et … mais dans mon église, là où j’étais pasteur, comme un ministre baptiste, durant 12 ans, je n’avais jamais reçu aucun sous comme salaire, mais- j’ai travaillé pour les autres. Le Seigneur me gardait en bonne santé, je pouvais travailler, aussi pourquoi ne pas travailler et être pasteur.
Maintenant, ceci n’est pas le modèle pour tout pasteur, parce que … ? … Un ministre de l’Evangile ne peut pas sortir et travailler, et prier, et après venir dans son église… ? Il obtient la visite parmi ses membres et ainsi de suite. Et la petite dîme et les choses venant des membres et leurs offrandes pouvaient certainement aider à prendre soin de lui. Et je pense que l’ouvrier mérite son salaire. Mais dans notre cas, j’ai travaillé dans la conservation … ? … le travail. Et je pouvais faire un travail public.
ABANDONNANT TOUT. -- 23.01.1962. (Tempe, Az. U.S.A.)
§26 : …Maintenant, Père, nous prions pour cette église. Nous sommes très contents que cet endroit… Quand nous relisons dans les jours primitifs où les chrétiens très haïs et qu’ils ne pouvaient pas avoir une église, qu’ils étaient tellement pauvres qu’ils ne pouvaient pas construire n’est fût - ce qu’une si ils l’avaient, et voir cela… où avaient l’occasion de … et alors, aujourd’hui, voir les grandes bonnes structures évoluant, propre, où les gens sont … peuvent entrer à l’intérieur et adorer Dieu. Nous sommes très reconnaissants pour ceci, et pour le sacrifice que les gens avec leurs dîmes et offrandes et contributions, ont construit cette maison pour le Seigneur.
LE FIDELE ABRAHAM. -- 24.04.1959 (San José, Ca, U.S.A.)
§11 : Je crois que c’était un certain grand homme, peut-être T.L. Osborn, ou quelqu’un qui une fois dit que personne n’avait le droit d’entendre l’Evangile deux fois pendant qu’un autre ne l’a pas entendu une seule fois. Et c’est juste. Mais vous voyez. Les Américains ont l’argent. Eux ne l’ont pas. Je suis un homme pauvre. Je n’ai aucun capital. Et je continue ainsi, je n’ai jamais pris une offrande de toute ma vie, jamais, juste ce que les gens m’envoient librement. Alors je prends cela et je garde cela ensemble, comme je peux, et alors, dès que j’en ai suffisamment amassé, je décolle simplement vers les païens, et je prêche l’Evangile avec, ainsi… Je vous demanderai votre dîme, à vous qui me la donnez.
ECOUTEZ-LE. -- 24.04.1959. (San José, Ca, U.S.A.)
§ : Et ce soir, j’apprécie certainement votre excellente offrande d’amour, qu’on me donnera après la réunion. Je vous promettrai qu’il n’y aura de cigarettes, pas de whisky, rien de faux. Cela ira pour la prédication de l’Evangile en Australie, et partout où le Seigneur m’enverra. Et un soldat né dans le Royaume là-bas, ce sera à votre crédit le jour où … Je ne fais que suivre la conduite de l’Esprit. Et c’est… je dois faire cela. Et c’est vous qui m’envoyez… votre argent, c’est votre dîme qui m’envoie.
DEMONOLOGIE. Domaine Physique. -- 06.06.1953.(Connersville, Ind. U.S.A.)
§32 : Aussitôt que je réunis suffisamment d’argent, je m’y rends aussi, c’est ce que je fais de chaque penny que j’obtient, et toutes choses, Dieu sait en dehors de ce que je peux manger. Et la plupart des gens me donnent des vêtements. Et juste en dehors de ce par quoi je peux à peine vivre moi-même, aussi strictement que possible simplement, je mets simplement cela directement dans le fonds missionnaire que le Gouvernement a permis, je ne paye même pas d’impôt sur revenus pour cela. Jusqu’à ce que j’obtienne trois, quatre à cinq mille dollars, et je traverse jusque là et je prêche l’Evangile aux gens pour qui je sais à répondre ce jour-là. Et je saurai ce pour quoi je réponds.
§33 : J’avais l’habitude, lorsque j’entrais dans une ville, et y tenais une grande réunion, quand on en retira beaucoup d’argent et on avait de grandes campagnes et des milliers de dollars, je donnais cela à la Croix-Rouge et ainsi de suite. Maintenant, maintenant, non pas pour leur claquer la porte, mais les voyant venir dans la rue, dans des voitures coûtant quatre mille dollars, portant des boutons ayant des gros diamants, et fumant des cigares, et faisant cinq cent dollars la semaine sur l’argent que les malades… Non, monsieur ! Bien sûr que non. Et en plus de ceci, aussitôt que vous sortez de la ville, ils disent « Un Saint Comédien » et toutes choses comme cela, se moquant et ridiculisant la religion que nous soutenons, Non, monsieur !
§34 : Je prends cela moi-même, et devant Dieu comme mon juge, je mets cela dans le travail de l’Evangile là-bas, ainsi je sais qu’en ce jour là ou je… Lorsque j’aurais à donner les comptes de ma gestion, c’est donner correctement. C’est tout à fait juste, parce que je réalise que je traite Dieu de la manière dont je traite les gens. C’est juste mon attitude envers vous qui est mon attitude envers Christ. Et votre attitude à mon égard est la même chose, envers Christ, c’est vrai.
ECOUTEZ-LE. --13.03.1960 (Phx. Az. U.S.A.)
§8 : Maintenant, je désire tous vous remercier de… On vient de me dire à l’instant … Frère David et mon secrétaire, frère Mercier, viennent de me dire que vous avez fait deux offrandes à mon intention dans cette réunion. Merci, mes chers amis ! Cette offrande d’amour sera versée à la fondation du Branham Tabernacle et sera utilisée pour financer les réunions. Je reçois un salaire de cent dollars par semaine. Ainsi, cela ira pour le Royaume de Dieu ; Dans chacune de ces églises : Dans l’église de frère Outlaw, ce matin, et dans l’église de frère Fuller, dimanche passé, j’ai essayé de les empêcher de le faire mais, au moment où je passai la porte, frère Fuller mit un chèque dans ma main. J’ai oublié de combien il était exactement environ cent dollars, je crois, comme offrande missionnaire. Et, ce matin, l’église de frère Outlaw a donné cent dollars cinquante comme offrande missionnaire aussi. Elle est entre les mains du secrétaire qui la fera parvenir à la fondation qui nous envoie outre-mer prêcher l’Evangile. Je prie qu’un jour, au ciel cela devienne du mortier pour votre demeure éternelle de l’autre côté. Nous vous remercions tous de votre bienveillante coopération et d’avoir acheté les bandes et les livres. Ils se financent presque à eux-mêmes.
Quelque fois, nous devons laisser les campagnes acquérir les livres, parce que, si quelqu’un n’a pas d’argent et qu’il désire le livre, il peut l’avoir de toute façon gratuitement, c’est vrai. Ce n’est pas l’idée de … Simplement, afin que je puisse avoir de quoi les réimprimer. Et les frères qui les vendent ont un très petit salaire. Ils travaillent à plein temps pour la fondation de l’église et pour l’église elle-même. Si vous désirez un reçu pour vos dons, nous avons maintenant un numéro à Washington D.C. où vous pouvez obtenir officiellement une réduction de vos impôts.
L’ORDRE DE L’EGLISE. -- 26.12.1963. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§99 : Eh bien, premièrement… Si vous alliez chez moi et que vous regardiez mes registres, vous verriez le nombre de personnes qui ont passé en disant : « Je suis le Révérend tel et tel, de telle et telle église. J’ai eu des problèmes sur la route et j’ai besoin d’un jeu de pneus ».
S’il se trouvait que je revenais justement d’une réunion où j’avais reçu une offrande ou quelque chose comme cela, je la lui donnais, afin qu’il aille s’acheter un jeu de pneus.
QUESTIONS ET REPONSES N°3 -- 30.08.1963 (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§265 : Un médecin, qui est un bon médecin, aiderait un homme peu importe si celui-ci a centime ou non, un vrai médecin. Voyez-vous ? Et je pense qu’un ministre, n’importe qui, nos services devraient nous profiter les uns les autres, parce que nous rendons la vie un peu plus agréable l’un pour l’autre.
§266 : Je – lorsqu’ils m’ont dit que je devrais recevoir de cette église cent dollars par semaine comme salaire, eh bien, cela m’a presque brisé le cœur. Maintenant… je sais que madame Wilson, et probablement son fils, et ceux qui sont ici se souviennent qu’il y a des années, j’ai prêché ici pendant dix sept ans et je n’avais jamais pris un centime de ma vie. Tout – tout moindre sou, tout ce que je pouvais recevoir, je le versais directement là-dedans. Voyez-vous ? Et lorsqu’ils m’ont dit que je devais prendre cela pour tenir des réunions, c’est comme si cela m’avait abattu. Voyez-vous ? Bien entendu, je crois que c’est en règle, mais simplement en ce qui me concerne, (Voyez-vous ?), je ne désire rien, pas d’argent, la seule chose que je désire, c’est – c’est votre – votre amitié et la grâce de Dieu pour nous.
IL Y A ICI UN PLUS GRAND QUE SALOMON - 25.06.1958 SOUTHERN PINES, NC, USA
§6 : Comment Oral Roberts pourrait-il rester ici deux nuits ou quatre nuits avec une offrande d'Amour de deux cents dollars? Non pas parce qu'il ne voudrait pas venir, mais il ne peut pas venir. Il s'est placé sous de telles obligations, qu'il a besoin de plusieurs milliers de dollars par jour pour opérer chaque jour de la semaine. La dernière fois c'était sept mille, maintenant c'est probablement plus que cela, avec ses nombreuses stations de télévision. Il ne pourrait pas venir ici. Il aimerait bien pouvoir le faire.
Oral Roberts est un homme bon. Je le connais, il viendrait--il viendrait ici de tout son coeur, mais il ne peut pas le faire. Et quand vous l'invitez, il répond: «Je ne peux pas le faire; il doit y avoir plusieurs centaines d'églises qui coopèrent.»
Il ne dit pas cela pour être indifférent; il dit cela parce qu'il ne peut pas le faire; il a de tels engagements.
Mais vous voyez, je n'ai jamais laissé mon ministère devenir comme cela. Il est vraiment petit. Mes engagements sont d'environ deux cents dollars par jour dans mon bureau, à la maison, c'est environ cent dollars par jour. Ainsi donc, je peux aller n'importe où. Et puis si le Seigneur veut que je prêche pour cent mille, cinq cent mille, Il le place sur le coeur de quelqu'un, et ils m'envoient. Je n'ai pas besoin de me soucier de l'argent. Je n'en ai pas besoin, je n'ai donc pas besoin de m'en soucier. Ainsi je...
LA DISLOCATION DU MONDE, - 15.11.1963 NEW-YORK, NY, USA
§29 : C'est pourquoi je n'ai jamais permis, ou je ne pense pas que le Saint-Esprit voudrait me laisser posséder de grandes choses, là où il y aurait de grands... Or c'est en ordre pour ceux qui veulent faire cela. Je ne les condamne pas. C'est bien. Mais en arriver à posséder des 'télécasts' qui couvrent toute la nation, devoir mendier l'argent des gens, et faire cela, ils doivent faire cela, car ils doivent payer pour cela. Des radiodiffusions, c'est--c'est en ordre, c'est bien, mais ce n'est pas pour moi. J'aime seulement... Eh bien! Cela me ferait très mal. Et je ne pourrais pas faire cela. Je ne le pourrais pas.
§36 Et ensuite autre chose, vous savez, je crois quand nous allons à certains endroits. Beaucoup de gens qui viennent à mes réunions sont des pauvres comme je le suis moi-même, et je veux rester comme ils sont. Serait-il juste pour un prédicateur de circuler tout en ayant avec lui quelque chose de tout grand comme cela, vous savez, et des dizaines de milliers de dollars, les gaspillant par-ci et par-là; et une certaine pauvre femme se traînant avec un sac de coton sur son dos; qui ramasserait du coton pour environ trois dollars par jour, se nourrissant de la graisse et du pain de maïs! Non. Je ne peux pas supporter cela, vous voyez. Christ était le propriétaire de la terre, mais n'avait pas un endroit où reposer Sa tête; «Les renards ont des tanières.» Et Il était notre exemple. Il était ce qu'Il était censé être.
§37 :Or, je n'essaie pourtant pas de condamner cela. J'essaie simplement de vous parler de moi-même. C'est pourquoi, je n'ai jamais tenté d'entreprendre quelque chose de grand, n'ayant pas d'argent, vous savez. Et vous ne pouvez rien entreprendre de grand de toutes façons. La plus grande chose qu'il y a, nous allons vers Cela, vous voyez; et c'est Dieu. Et je crois que nous sommes tous identiques et restons comme cela. Nous sommes enfants de Dieu.
IL Y A ICI UN PLUS GRAND QUE SALOMON - 25.06.1958
SOUTHERN PINES, NC, USA
§10 : J'ai trois enfants, une femme, une mère veuve, une belle-mère qui est veuve, j'ai de grandes obligations, le bureau et ainsi de suite. J'envoie des milliers de tissus de prière par semaine autour du monde, et nous avons dix bureaux différents, dans dix nations étrangères qui opèrent grâce à ce petit endroit. Et alors, les gens, s'ils ne m'envoient pas d'argent, par la poste, je vais devoir plier bagage, sur le champ, c'est tout. Parce que je ne pourrais pas tourner, parce que je dois payer des centaines de dollars par jour, et je... l'année passée, j'ai passé les six derniers mois constamment sur le champ; chaque campagne m'a arriéré par des centaines de dollars, chaque fois, en campagne. Vous voyez donc ce que je--veux dire.
MONSIEUR, EST-CE LE SIGNE DE LA FIN? - E30.12.1962 JEFFERSONVILLE, IN, USA.
§124 : J'ai appelé Tucson. Frère Norman a trouvé un endroit. Je ne sais pas où je vais. Je ne sais que faire. Je suis dans un... Je me tiens là, sans savoir que faire. Je quitte une maison pour laquelle je n'ai pas de loyer à payer. Mon salaire est de cent dollars par semaine. Je dois presque payer cent dollars par mois pour une maison. Je suis ici avec mes frères et sœurs dans un endroit où l'on m'aime. Et je vais je ne sais où. Je ne sais pourquoi. Je ne peux vous dire pourquoi. Mais je sais une chose, c'est suivre simplement ce qu'Il dit de faire. Je ne sais pas de quel côté me diriger, ce qu'il faut faire, cela ne me. . .
RECONNAÎTRE VOTRE JOUR ET SON MESSAGE - M26.07.1964 JEF, IN, USA
§3 : C’est un privilège d’être ici ce matin. Je suis très heureux de vous voir tous. Et Frère Woods, Frère Roy Roberson, bien d’autres frères, ont travaillé fidèlement pendant les deux derniers jours, à climatiser le bâtiment, en vue de ceci; en effet, dimanche passé, ils ont vu combien vous avez souffert. Ils avaient un peu d’argent dans les caisses de l’église, alors ils se sont mis au travail, ils l’ont mis à profit pour que vous soyez bien, ils ont utilisé l’argent que vous avez mis dans l’offrande, pour que vous puissiez être assis, à écouter le Message. C’est beaucoup plus frais aujourd’hui que ça l’était à ce moment-là. Donc, nous sommes reconnaissants à Dieu, et à vous ici, d’avoir cette occasion.
JÉHOVAH-JIRÉ II - 03.04.1964 LOUISVILLE, MS, USA bb097837
§111 : Et j’ai amené les médecins, et les cas. Il a dit: «Eh bien, l’argent est…»
§112 : J’ai dit: «Je prendrai cet argent comme offrande missionnaire. On enverra outre-mer quelqu’un qui croit l’Évangile.»
Chapitre 3 : LA DIME DE LA DIME.
Nombres 18 : 20-26, 28 :
L’Eternel dit à Aaron : Tu ne posséderas rien dans leur pays, et il n’y aura point de part pour toi au milieu d’eux ; c’est moi qui suis ta part et ta possession, au milieu des enfants d’Israël.
Je donne comme possession aux fils de Lévi toute dîme en Israël, pour le service qu’ils font, le service de la tente d’assignation.
Les enfants d’Israël n’approcheront plus de la tente d’assignation, de peur qu’ils ne se chargent d’un péché et qu’ils ne meurent.
Les Lévites feront le service de la tente d’assignation, et ils resteront chargés de leurs iniquités. Ils n’auront point de possession au milieu des enfants d’Israël : ce sera une loi perpétuelle parmi vos descendants.
Je donne comme possession aux Lévites les dîmes que les enfants d’Israël présenteront à l’Eternel par élévation ; c’est pourquoi je dis à leur égard : Ils n’auront point de possession au milieu des enfants d’Israël.
L’Eternel parla à Moïse, et dit :
Tu parleras aux Lévites, et tu leur diras : Lorsque vous recevez des enfants d’Israël la dîme que je vous donne de leur part comme votre possession, vous en prélèverez une offrande pour L’Eternel, une dîme de la dîme.
C’est ainsi que vous prélèverez une offrande pour l’Eternel sur toutes les dîmes que vous recevrez des enfants d’Israël, et vous donnerez au sacrificateur Aaron l’offrande que vous en aurez prélevée pour l’Eternel.
Néhémie 10 : 38
Le sacrificateur, fils d’Aaron, sera avec les Lévites quand ils lèveront la dîme ; et les Lévites apporteront la dîme de la dîme à la maison de notre Dieu, dans les chambres de la maison du trésor.
QU’EST-CE QUE LE SAINT-ESPRIT ? – 16.12.1959. (Jeff. Ind. U.S.A.)
§115 : Lorsque Dieu mit de l’ordre, Il dit : « Vous tous Lévites, je vous ai appelés et faits sacrificateurs. Et tous vos frères, les autres onze tribus vous paieront la dîme ». « Quand vous avez neuf boisseaux de pommes, versez un boisseau aux Lévites. Quand vous faites passer vos moutons dans le couloir ici, ramassez le dixième mouton. Peu m’importe si c’est un petit ou un gros, un gras ou un médiocre. Il appartient aux Lévites. Maintenant, Lévites, quand vous recevez tout ceci, alors vous donnez aussi la dîme au Seigneur. »
QUESTIONS ET REPONSES. – 23.08.1964. (Soir) (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
§184 : Je pourrais me tenir ici jusqu’au matin, et vous raconter simplement ce qui arriva quand j’ai vu cela, et dans quelle situation j’étais alors. Mais je payais ma dîme, aussi loyalement que possible. Et lorsque je prenais de l’église ici ou mes campagnes l’argent qui me revenait, je prenais plus, je donnais le dixième. Alors je le donnais à des ministres… et je donnais le reste à des ministres. Et, quand je ne pus pas faire cela, voici ce que fis : je gardais 10 % et donnai à Dieu 90 % . Puis lorsque la loi me dit que je ne pouvais pas faire cela que je devais prendre… et que si je le faisais, tout devait être versé là-dessus, alors je dus prendre cela et le faire passer dans des œuvres missionnaires à l’étranger, etc. Et prélever un salaire sur cela de 100 dollars par semaine ; et je paie ma dîme là-dessus.
Chapitre 4 : LA TRESORERIE DE L’EGLISE LOCALE.
ORDRE DE L’EGLISE.-- 10.1958. (Branh. Tab. Jeff. Ind. U.S.A.)
Office du trésorier :
La responsabilité du trésorier est de pourvoir à un rapport exact du statut financier des fonds actuels dans la trésorerie. Ce rapport doit être rendu au Pasteur ou au conseil des administrateurs sur leur demande d’un tel rapport. Aucun autre office dans l’église ne peut avoir accès à cette information. Le pasteur peut obtenir une telle information du rapport des administrateurs qui lui est donné par le trésorier.
Le trésorier s’assiéra chaque réunion des administrateurs pour prendre des notes et des minutes des actions prises par le conseil des administrateurs.
Il n’a aucune autorité pour faire part ou porter à la connaissance d’aucun office agissant dans l’église le statut financier ou toute information à ce sujet, à moins qu’il ne s’agisse du pasteur ou du conseil des administrateurs.
Il ne sera pas un consultant dans les problèmes spirituels et il n’y a pas besoin qu’il assiste aux réunions des diacres, à moins que cela ne soit demandé par le pasteur.
REGLEMENT D’ORDRE INTERIEUR- STATUT DE BRANHAM TABERNACLE de1933
Le Secrétaire – trésorier :
Il doit tenir d’une façon complète et permanente une série détaillée d’enregistrement par semaine, par mois par an ; pour TOUT ARGENT reçu et dépensé : faire un rapport détaillé à l’église, montrer l’état des finances, le matin du premier dimanche qui suit la fin de la quinzaine. Plus souvent, si l’église le désire.
Egalement pour faire les comptes rendus de chaque réunion de Conseil d’Administration et qui entrent comme un enregistrement permanent, dans un registre permanent des comptes rendus tenu par le secrétaire dans ce but.
LES EVENEMENTS MODERNES RENDUS CLAIRS PAR LA PROPHETIE.-- 6.12.1965.
(San Bernadino, Californie, U.S.A.)
§189 : Amis, vous qui venez d’emprunter ce couloir et qui aviez mis cette offrande là-dedans il y a un moment ; vous qui nourrissez mes enfants, qui les habillez. Vous qui aviez mis votre argent (que vous avez gagné avec peine) dans ce plateau d’offrande, savez-vous où cela va ? Cela m’aide à aller outre-mer chez les païens qui n’ont jamais rien entendu à propos de Dieu. C’est ce que je fais avec cela, chaque sou, Dieu est mon Juge. Il y a ici quelques uns de mes… L’homme qui est assis juste ici est dans la trésorerie de mon église. Je touche cent dollars par semaine, et c’est tout. Le reste va pour sponsoriser les réunions d’outre-mer là où ils ne peuvent pas venir. Pasteur MOBONGA LOBO Michée
EL SHADDAI TABERNACLE/MBANDAKA
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